Amoureux de Ruffec, préparez-vous à vivre des escapades romantiques sous le signe du charme. Des dîners aux chandelles aux promenades au clair de lune.
Sorties en amoureux à Ruffec : activités complices, endroits charmants et souvenirs inoubliables.
Ce lieu vous invite à découvrir un espace floral et arboré, qui propose des oeuvres d'art au gré des allées. Il est situé dans un quartier historique de la ville, avec une vue sur le château historique (propriété privée) du quartier de Plaisance.
Lovés dans la vallée de l'Argentor, dans un village labellisé "Petites Cités de caractère", ces jardins offrent un espace de quiétude où diversité des végétaux et esthétique se mêlent.
Ce dolmen comme son voisin La Petite Pérotte était à l'époque néolithique un monument funéraire. Il faisait partie d'un ensemble plus vaste de constructions semblables et de tailles variées recouvertes de tertres de pierres et de terre appelés tumulus. Beaucoup ont aujourd'hui dispaprès voir servi de carrière de pierre. La Grosse Pérotte est couverte d'une table pesant environ 100 tonnes ! Sous cette énorme pierre supportée par des piliers verticaux parfaitement équarris et ajustés se trouvait la chambre funéraire aujourd'hui comblée. Au Ve millénaire avant JC, les hommes avaient sculpté une hache sur l'une des parois du monument.
Eglise romane de la seconde moitié du XIIème siècle, située dans l'ancien diocèse de Poitiers, elle est dédiée à saint Maixent, saint du Poitou qui fut attiré dans la région par la renommée de saint Hilaire. L'église d'Empuré est caractéristique des petites églises romanes rurales de ce secteur avec une façade sobre à modillons et un plan simple : un rectangle se terminant par une abside semi-circulaire couverte de lauzes. Très sobre, le décor sculpté se développe surtout au chevet et sur la façade de l'église. Les murs de l'abside sont scandés par des contreforts plats romans et trois baies encadrées par des colonnettes à chapiteaux sculptés. A l'origine, l'église était voûtée. Subsistent encore aujourd'hui sur les murs gouttereaux, les colonnes qui recevaient les arcs doubleaux soutenant la voûte en pierre. On remarque également l'inclinaison du haut des murs qui correspond au départ de la voûte. Le choeur, lui, est encore surmonté de sa voûte en cul-de-four. On ignore le décor intérieur à l'époque romane : les peintures murales mises au jour, datant de la fin du Moyen-Âge. La sculpture, végétale ou géométrique, se limite aux chapiteaux. Enfin, le choeur attirait l'oeil, seul espace dont les murs étaient soulignés d'arcades romanes et largement éclairé par des baies.
Découvrez le plan type d'un tumulus de type angoumoisin datant du Ve millénaire avant j. C ! Grâce à l'aménagement du site réalisé en 2014, après avoir gravi le tumulus, vous découvrez le long couloir autrefois couvert menant à la chambre funéraire. Sa table de couverture ayant elle aussi disparue, vous pouvez admirer la qualité et la juxtaposition des éléments de pierre formant ses murs. Unique en Europe ! Une porte de pierre tournant sur des gonds fermait la chambre. Dans un but de protection, ce dispositif exceptionnel est conservé au Musée d'Angoulême. La dalle de seuil creusée pour faire pivoter le vantail est, lui, encore en place. Un point de vue aménagé au sommet du tumulus vous permet d'embrasser le vaste paysage sur lequel se dressent encore de nombreux sites archéologiques du Néolithique.
Le jardin d'Embourie, outil pédagogique et lieu de flânerie, est conçu comme une évocation d'un jardin d'agrément au sein d'une riche villa gallo-romaine. Découvrez pas à pas, aux détours d'un buisson, différents espaces où le visiteur se laisse entraîner dans les allées d'un paysage hérité de la Gaule romaine. Il donne l'occasion aux visiteurs d'imaginer la vie privée des riches gallo-romains et de découvrir les plantes cultivées et leur place au coeur de la vie quotidienne de l'époque.
Site archéologique des Châteliers : vestiges d'une villa gallo-romaine, occupée du Ier siècle avant J.-C. au Ve s. après J.-C. Plus de 800 m² de structures et 450 m² de peintures murales ont été mises au jour. A proximité du site, un espace découverte dédié à la fresque antique est aménagé ; il accueille toute l'année scolaire, groupes et jeunes publics. Un jardin antique initie le visiteur à découvrir la composition, l'ambiance, le décor et les plantes qui formaient l'environnement des villas. Le reste de l'année, la villa est en accès libre.
Reconstitution d'une salle de classe. Redevenez, l'espace d'un instant, l'élève du 19ème siècle. Ancienne école primaire ayant conservé bâtiments et matériels caractéristiques de l'école laïque depuis 1884 jusqu'en 1974. Cette visite permet de mieux comprendre l'importance de l'instruction publique telle qu'elle a été développée depuis la promulgation de la loi de 1884 sur l'enseignement public et obligatoire.
Plus de 40 années de fouilles archéologiques ont mis au jour l'espace résidentiel d'une ancienne exploitation agricole antique.
L'église de Theil-Rabier, dédiée à sainte Radegonde, est située dans l'ancien diocèse de Poitiers. Élevée dans la seconde moitié du XIIème siècle, même si elle a connu de nombreux remaniements, notamment au XVème siècle, elle conserve encore son authenticité. Composée d'une nef unique de deux travées suivie d'une abside semi-circulaire, la vision que nous avons aujourd'hui de l'église correspond à celle du XIIème siècle. La toiture en lauzes a été refaite suite à l'effondrement de la voûte en pierre mais elle reprend très certainement la disposition de l'époque romane. A l'extérieur sur les murs gouttereaux, subsistent les traces d'arrachement des contreforts plats romans, remplacés depuis par de puissants contreforts pour contrebuter la poussée de la voûte et de sa toiture. Il faut également s'imaginer le cimetière qui se développait autour de l'église et qui a entièrement dispaujourd'hui. Le décor reste très sobre : seuls les chapiteaux sont sculptés, l'un d'entre-eux dévoile une tête sortant du feuillage. Des traces de peintures sont encore visibles sur les chapiteaux et dans le choeur. Sainte-Radegonde est une sainte très populaire et honorée dans nos régions de Poitou et de Saintonge. Née en 520 dans le lointain Thuringe (en Allemagne), elle fut contrainte d'épouser Clothaire Ier, roi des Francs. Elle demanda a quitter la cour afin de prendre l'habit religieux. Son mari lui fit bâtir le monastère Sainte-Croix à Poitiers, où on peut découvrir l'église Sainte-Radegonde construite sur son tombeau.
Visite libre du jardin monastique médiéval toute l'année. Visite libre des espaces d'exposition en période estivale. Escape Game en juillet et août
Église romane avec un portail et un clocher intéressant. Inscrite au titre des monuments historiques depuis 1926. La porte de l'église a 3 bandeaux ornés de moulures et 2 arcades. La longueur du fond de l'abside (extrémité en demi-cercle) à la porte est de 25m, la longueur des bras de la croix est de 15m et la largeur de la nef est de 5m50. L'abside est percée de 3 fenêtres romanes ornées intérieurement de moulures. Le transept, galerie transversale de l'église qui sépare le choeur de la grande nef, est également percée d'une fenêtre romane. Le clocher, en forme de coupole, s'élève au centre de la croix et est soutenu par des pilastres carrés sur lesquels des colonnes rondes sont installées. Les bases de ces colonnes sont ornées de moulures. Ce clocher est octogonal, en pierre de taille et percé de baie romanes.
Cet ancien prieuré dépendant de l'abbaye de Saint-Cybard d'Angoulême probablement dès l'époque de Charlemagne. L'église, commune au prieuré et à la paroisse, date principalement du XIème siècle. Elle a été élevée selon les mêmes principes de construction que l'abbatiale de Cellefrouin. la nef est entièrement couverte d'une nef en berceau continu et le bras sud du transept voûté d'un berceau plein cintre. On note des différences entre ces 2 espaces : la hauteur de la voûte, l'articulation des murs ... Le bras nord aurait pu, quant à lui, être détruit sous réserve qu'il ait seulement existé. Des restaurations récentes ont restitué la couverture en lauzes, telle qu'elle était probablement à l'origine. La façade écran est rythmée par les quatre contreforts qui laissent peu de place au portail d'entrée. On remarque toutefois le motif des claveaux, imbriqués en losange au dessus de la porte, que l'on trouve e part ailleurs en Angoumois. Si le chevet est rectangulaire à l'extérieur, il présente une abside voûtée en cul-de-four à l'intérieur. Seule l'abside possède des éléments sculptés sur les deux impostes de part et d'autre de la fenêtre axiale : un motif de palmette inversée d'où partent deux rinceaux, unique en Angoumois. L'église fait apparaître des décors muraux du XII au XVIIème siècle comportant notamment des personnages et une litre funéraire ornée de blasons sur l'ensemble de l'édifice.
Une visite empreinte de calme et de sérénité. Les jardins du Chaigne sont situées au coeur des coteaux de Grande Champagne, dans la région attachante du Cognac en Charente. Labellisés "Jardin remarquable" depuis 2009 par le ministère de la Culture et de la Communication. Les coteaux de vignes qui les entourent forment un écrin dont les courbes douces ont un air de Toscane. Aucune rupture entre les espaces dédiés aux jardins et les vignes, l'oeil du visiteur passant des uns aux autres. Les jardins vous offrent de découvrir différentes ambiances, de la rigueur des jardins à la française par exemple à l'harmonie des parterres à l'anglaise, en passant par le parcours parfumé des essences méditerranéennes. Visite sur rendez-vous les mercredi, samedi et dimanche. Venir aux Jardins du Chaigne : Touzac est à 10 km de Châteauneuf, Barbezieux et Segonzac. A 20 minutes de Cognac et d'Angoulême. A Touzac, à partir de l'église, prendre la route du cimetière, la dépasser de 500 m, au croisement à 4 voies tourner à gauche. A 500 m, prendre le 2ème chemin sur la gauche. Suivre les panneaux "Jardins du Chaigne"