Amoureux de Nanteuil en Vallée, préparez-vous à vivre des escapades romantiques sous le signe du charme. Des dîners aux chandelles aux promenades au clair de lune.

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12 Idées de Sorties en Amoureux à Nanteuil en Vallée.

Nanteuil en Vallée, ville des amoureux : sorties romantiques, parcs paisibles et instants magiques à deux.

12 Idées de Sorties en Amoureux à Nanteuil en Vallée.
Les Jardins de l'Argentor

Les Jardins de l'Argentor

Lovés dans la vallée de l'Argentor, dans un village labellisé "Petites Cités de caractère", ces jardins offrent un espace de quiétude où diversité des végétaux et esthétique se mêlent.

MUSÉE DE L'ECOLE JULES FERRY

MUSÉE DE L'ECOLE JULES FERRY

Reconstitution d'une salle de classe. Redevenez, l'espace d'un instant, l'élève du 19ème siècle. Ancienne école primaire ayant conservé bâtiments et matériels caractéristiques de l'école laïque depuis 1884 jusqu'en 1974. Cette visite permet de mieux comprendre l'importance de l'instruction publique telle qu'elle a été développée depuis la promulgation de la loi de 1884 sur l'enseignement public et obligatoire.

Le jardin des Arts

Le jardin des Arts

Ce lieu vous invite à découvrir un espace floral et arboré, qui propose des oeuvres d'art au gré des allées. Il est situé dans un quartier historique de la ville, avec une vue sur le château historique (propriété privée) du quartier de Plaisance.

Eglise Saint Pierre

Eglise Saint Pierre

Église romane avec un portail et un clocher intéressant. Inscrite au titre des monuments historiques depuis 1926. La porte de l'église a 3 bandeaux ornés de moulures et 2 arcades. La longueur du fond de l'abside (extrémité en demi-cercle) à la porte est de 25m, la longueur des bras de la croix est de 15m et la largeur de la nef est de 5m50. L'abside est percée de 3 fenêtres romanes ornées intérieurement de moulures. Le transept, galerie transversale de l'église qui sépare le choeur de la grande nef, est également percée d'une fenêtre romane. Le clocher, en forme de coupole, s'élève au centre de la croix et est soutenu par des pilastres carrés sur lesquels des colonnes rondes sont installées. Les bases de ces colonnes sont ornées de moulures. Ce clocher est octogonal, en pierre de taille et percé de baie romanes.

MÉGALITHES EN RUFFÉCOIS  LA GROSSE PÉROTTE (CLASSÉE MH 1889)

MÉGALITHES EN RUFFÉCOIS LA GROSSE PÉROTTE (CLASSÉE MH 1889)

Ce dolmen comme son voisin La Petite Pérotte était à l'époque néolithique un monument funéraire. Il faisait partie d'un ensemble plus vaste de constructions semblables et de tailles variées recouvertes de tertres de pierres et de terre appelés tumulus. Beaucoup ont aujourd'hui dispaprès voir servi de carrière de pierre. La Grosse Pérotte est couverte d'une table pesant environ 100 tonnes ! Sous cette énorme pierre supportée par des piliers verticaux parfaitement équarris et ajustés se trouvait la chambre funéraire aujourd'hui comblée. Au Ve millénaire avant JC, les hommes avaient sculpté une hache sur l'une des parois du monument.

MÉGALITHES EN RUFFÉCOIS : LA MOTTE DE LA JACQUILLE (CLASSÉ MH 2014)

MÉGALITHES EN RUFFÉCOIS : LA MOTTE DE LA JACQUILLE (CLASSÉ MH 2014)

Découvrez le plan type d'un tumulus de type angoumoisin datant du Ve millénaire avant j. C ! Grâce à l'aménagement du site réalisé en 2014, après avoir gravi le tumulus, vous découvrez le long couloir autrefois couvert menant à la chambre funéraire. Sa table de couverture ayant elle aussi disparue, vous pouvez admirer la qualité et la juxtaposition des éléments de pierre formant ses murs. Unique en Europe ! Une porte de pierre tournant sur des gonds fermait la chambre. Dans un but de protection, ce dispositif exceptionnel est conservé au Musée d'Angoulême. La dalle de seuil creusée pour faire pivoter le vantail est, lui, encore en place. Un point de vue aménagé au sommet du tumulus vous permet d'embrasser le vaste paysage sur lequel se dressent encore de nombreux sites archéologiques du Néolithique.

PRIEURE NOTRE DAME

PRIEURE NOTRE DAME

Commentaire historique : Au quatrième quart du 8e siècle, Rogier, comte de Limoges, et sa femme Euphrasie, fondent le prieuré bénédictin de Charroux et lui font don de biens importants parmi lesquels se trouve la terre d'Alloue. A une date indéterminée, les abbés de Charroux y établissent un prieuré. Toujours est-il que le 23 avril 1121, Guillaume 1er, évêque de Poitiers, fait don à l'abbaye de Charroux de l'église d'Alloue, ce qui pourrait signifier qu'avant cette date, le prieuré et l'église étaient indépendants. Le prieur-seigneur d'Alloue avait droit de basse, moyenne et haute justice. Le prieuré fut pillé en 1356. Un terrier, daté de 1547, recopié en 1701, dénombre les biens du prieuré d'Alloue, une vingtaine de maisons dans le bourg et près de 125 tenures dans la paroisse et les paroisses voisines. Au 16e siècle, le prieuré comprend 4 occupants et le prieur. Le prieuré est figuré sur un plan de 1740 : les différents corps de bâtiments figurés sont ceux d'une ferme. A cette période l'ensemble des corps de bâtiments sont entourés de douves qui se rejoignent dans la Charente au sud. Une poutre est datée 1742 dans la " salle d'audience ", salle du logis du prieur accolée à l'élévation ouest de l'église ; cette date est vraisemblablement une date de réfection de la charpente. Puis le prieur n'est plus résident et le prieuré s'éteint en 1781. Il est vendu comme bien national à la Révolution. Il est devenu et restera une propriété privée. Le logis du prieur était dans l'alignement du mur nord de l'église et une cour le précédait, entre les deux tours, sur rue. C'est à l'emplacement de cette cour que sera construite, au 19e siècle, une nouvelle habitation, adossée à l'ancien logis, et communiquant désormais avec elle. L'église n'est pas antérieure à la fin du 12e siècle ou au début du 13e siècle. Bien qu'ayant subi des remaniements au fil du temps, les premières mentions de travaux dans les archives datent de 1831 : toiture, charpente, voûte. En 1862, des réparations sont faites au clocher. Après son classement comme monument historique en 1929, de nouvelles campagnes de restauration seront effectuées comme la réfection totale de la toiture (un coq est même installé en 1986) et la remise en état du portail. Les travaux sont terminés en 1989. Datation(s) principale(s) : limite 12e siècle 13e siècle ; Temps modernes ; Epoque contemporaine Date(s) : 1742 Justification de la datation : porte la date Commentaire descriptif : L'église est de plan allongé. Elle est constituée d'un vaisseau de cinq travées avec une voûte en berceau brisé (en brique) avec des doubleaux en pierre portés par des colonnes encadrant les arcades en arc brisé des murs latéraux. Les chapiteaux ont un simple décor de bouton aux angles. Le toit de cette partie est à longs pans. Le carré sous clocher est couvert d'une coupole octogonale sur pendentifs, son toit est en pavillon. Le choeur est à sept pans éclairés chacun d'une étroite fenêtre largement ébrasée avec une base à gradins ; sa voûte est en cul-de-four et elle est couverte d'une croupe ronde. Dans le mur sud du carré se trouve un escalier en vis menant au clocher. Dans le mur sud de la nef se trouve une niche coupée par une cloison verticale. Dans la partie droite a été creusée une embrasure de tir à mire verticale et ouverture ronde. Une tribune est installée sur la première travée ouest. Le portail au nord est constitué de sept voussures en arc légèrement brisé, reposant sur des colonnettes. Le décor est géométrique. Deux colonnes encadrent ce portail surmonté d'un haut fronton triangulaire sommé d'une croix et percé en son centre d'une niche contenant une statuette de saint André. Les quatre faces supérieures du clocher sont chacune percée de deux baies jumelles couvertes en arc brisé ; chaque angle est renforcé d'un contrefort plat. Egalement, chaque angle du chevet polygonal est renforcé d'un contrefort. Le prieuré s'est implanté à l'ouest et au sud de l'église. Il est entouré de douves sèches à l'ouest et bordé par la Charente au sud. Les différents corps de bâtiments sont distribués autour d'une cour. Au nord se trouve le logis composé de l'ancien logis du prieur (élévation sur cour) doublé au nord d'une habitation plus récente flanquée de deux tours. A la tour nord-ouest s'adjoint une tourelle d'escalier. Dans l'ancien logis, la pièce accolée à l'élévation ouest de l'église est percée d'une baie biaise (hagioscope) placée à gauche de la cheminée ; cette baie permettait une vue sur l'intérieur de l'église. Sous l'ancien logis du prieur se trouve une cave voûtée servant de cellier. L'ancien logis est couvert d'un toit à longs pans brisés et croupe en ardoise pour les brisis. Tous les autres corps de bâtiments sont couverts en tuile creuse. A l'entrée ouest de la cour se trouvent un pont et un passage couvert, à porte en arc brisé, passage surmonté d'une pièce nantie d'une cheminée. Un corps de bâtiment, actuellement une galerie, relie ce passage à la tour d'escalier sud-ouest. Sur son mur ouest se trouvent des meurtrières de différents modèles. Accolé à la tour se trouve ce qui devait être l'ancienne cuisine du prieuré. Une cheminée moulurée a été conservée au rez-de-chaussée et une fenêtre à meneau et traverse a été refaite à l'identique sur l'élévation sur cour. Un autre corps de bâtiment, une habitation, prolonge la cuisine. Certaines de ses baies ont conservé un encadrement en cavet et un appui saillant. La porte du mur sud de la cour, séparant celle-ci des jardins en bordure de rivière, est couverte en arc brisé. Sur le côté est de la cour se trouvent : à l'angle sud-est, une buanderie et un four, puis un corps de bâtiment à étage et comble à surcroît, avec, sur l'élévation sur cour, une baie à encadrement en cavet et une autre à appui saillant mouluré, et une demi travée et une fenêtre à meneau et traverse murées sur l'élévation postérieure est. Une grange relie ce bâtiment à l'élévation sud de l'église. Un puits, devant le four, complète l'ensemble. Un jardin a été aménagé en bordure de rivière ainsi qu'un potager à l'est. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : calcaire ; moellon ; enduit ; brique Matériau(x) de couverture : tuile creuse ; ardoise Parti de plan : plan allongé Vaisseau(x) et étage(s) : 1 vaisseau ; 1 étage carré Type et nature du couvrement : cul-de-four ; coupole en pendentifs ; voûte en berceau brisé Parti d'élévation extérieure : élévation à travées Type de la couverture : toit à longs pans ; toit en pavillon ; croupe ronde ; toit à longs pans brisés Emplacement, forme et structure de l'escalier : escalier dans-oeuvre : escalier en vis, en maçonnerie Représentation : chronogramme ; fronton ; croix Inscription(s) portée(s) sur l'édifice : " 1742 " Etat de conservation : restauré Intérêt de l'oeuvre Date(s) et nature de la protection MH : 1929/09/16 : classé MH Précisions sur la protection : Eglise Notre-Dame : classement par arrêté du 16 septembre 1929. Intérêt de l'oeuvre : à signaler Observations : Seule l'église est classée MH.

EGLISE SAINT HILAIRE

EGLISE SAINT HILAIRE

Historique Commentaire historique : Vicairie perpétuelle de l'ancien diocèse de Poitiers, l'église Saint-Hilaire d'Epenède dépendait de l'abbaye de Charroux. Elle pourrait dater, pour ses plus anciens éléments, du XIIe ou du début du XIIIe siècle. Selon la tradition, l'église aurait été incendiée à la Révolution. Toujours est-il que la voûte de sa nef a disp(remplacée par un lambris), que le couvrement du choeur est refait en 1846 et son clocher en 1875 par l'entrepreneur Villesat, de Ruffec, sur plans de l'architecte Varin. Le 20 mars 1877 un mandat de paiement est adressé à M. Rouaud, entrepreneur à Pleuville, pour des travaux à l'église : ouverture de deux croisées dans l'église sous le clocher, pose de persiennes ou abat-sons aux ouvertures du clocher. En 2002, la petite baie de la travée droite du choeur a été démurée, l'autel a été reconstruit et déplacé, le dallage a été reconstitué. Les vitraux sont en cours de restauration. Datation(s) principale(s) : 12e siècle (?) ; 13e siècle ; 19e siècle Justification de la datation : daté par travaux historiques Auteur(s) : Varin (architecte) ; Villesat (entrepreneur) ; Rouaud (entrepreneur) Justification de l'attribution : attribué par source Description Commentaire descriptif : L'église est de plan allongé, d'un seul vaisseau de quatre travées, couvert d'un lambris, et d'un choeur composé d'une travée droite et d'une partie semi-circulaire couverte d'une voûte à cinq pans dont le toit est en croupe polygonale. L'élévation extérieure sud est sommée d'une corniche à modillons à décor géométrique ; le toit repose sur une sablière apparente. Sur toutes les élévations se trouvent des reprises d'appareil. Sur l'élévation sud s'ouvre le portail à trois rouleaux et une archivolte retombant sur des chapiteaux à tailloir mouluré, à corbeille à décor floral et astragale moulurée. Les bases des colonnettes sont prismatiques. A droite de la première baie du portail se trouve une petite baie murée, à linteau monolithe et qui semblerait être un vestige d'une baie jumelle. L'élévation nord est consolidée par un contrefort dont seule la partie supérieure est visible. Les parties basses sur le choeur et la nef, de l'élévation nord, sont masquées par des dépendances montant à mi hauteur de l'élévation de l'église. Le clocher, de plan rectangulaire, présente quatre faces se terminant en gables surmontés d'amortissements en fleurons. Il est couvert en ardoise. Les faces est et ouest sont percées de trois arcatures tandis que les faces sud et nord ne le sont que de deux. Les baies sont protégées par des abat-son en bois. Aux angles du clocher se trouvent des gargouilles en pierre. Au sommet du clocher se dresse une croix en ferronnerie. Le sol de l'église est en dalles de pierre. Intérieurement, à droite du choeur, dans le mur sud, se trouve un double lavabo. Sur le même mur, dans la travée droite du choeur, est ouverte une meurtrière, largement ébrasée intérieurement et chanfreinée extérieurement. Le choeur est accessible par deux marches. A l'ouest se trouve une tribune en bois. A l'étage est déposée une chaire et au rez-de-chaussée, à gauche, un confessionnal. Les élévations gauche et droite de la nef sont ornées d'arcatures en arcs brisés, séparées par des colonnettes au-dessus desquelles des chapiteaux à décor rustique portent le départ des arcs doubleaux des voûtes disparues. La double sacristie est au nord. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : calcaire ; granite ; pierre de taille ; moellon ; enduit partiel Matériau(x) de couverture : tuile creuse ; ardoise Parti de plan : plan allongé Type et nature du couvrement : lambris de couvrement ; voûte de type complexe Type de la couverture : toit à longs pans ; croupe ; croupe polygonale Technique du décor : sculpture Représentation : personnage profane ; ornement géométrique ; ornement végétal ; ornement animal Précision sur la représentation : Chapiteaux au nord et au sud de la nef : animaux, personnages féminin et masculin, décor floral. Chapiteaux du portail : décor géométrique. Intérêt de l'oeuvre Date(s) et nature de la protection MH : 1965/05/24 : inscrit MH partiellement Précisions sur la protection : Eglise Saint-Hilaire (à l' exception du clocher moderne) (cad. C 186) : inscription par arrêté du 24 mai 1965.

EGLISE PRIEURALE SAINT MICHEL

EGLISE PRIEURALE SAINT MICHEL

Cet ancien prieuré dépendant de l'abbaye de Saint-Cybard d'Angoulême probablement dès l'époque de Charlemagne. L'église, commune au prieuré et à la paroisse, date principalement du XIème siècle. Elle a été élevée selon les mêmes principes de construction que l'abbatiale de Cellefrouin. la nef est entièrement couverte d'une nef en berceau continu et le bras sud du transept voûté d'un berceau plein cintre. On note des différences entre ces 2 espaces : la hauteur de la voûte, l'articulation des murs ... Le bras nord aurait pu, quant à lui, être détruit sous réserve qu'il ait seulement existé. Des restaurations récentes ont restitué la couverture en lauzes, telle qu'elle était probablement à l'origine. La façade écran est rythmée par les quatre contreforts qui laissent peu de place au portail d'entrée. On remarque toutefois le motif des claveaux, imbriqués en losange au dessus de la porte, que l'on trouve e part ailleurs en Angoumois. Si le chevet est rectangulaire à l'extérieur, il présente une abside voûtée en cul-de-four à l'intérieur. Seule l'abside possède des éléments sculptés sur les deux impostes de part et d'autre de la fenêtre axiale : un motif de palmette inversée d'où partent deux rinceaux, unique en Angoumois. L'église fait apparaître des décors muraux du XII au XVIIème siècle comportant notamment des personnages et une litre funéraire ornée de blasons sur l'ensemble de l'édifice.

EGLISE PAROISSIALE SAINT-MAIXENT

EGLISE PAROISSIALE SAINT-MAIXENT

Eglise romane de la seconde moitié du XIIème siècle, située dans l'ancien diocèse de Poitiers, elle est dédiée à saint Maixent, saint du Poitou qui fut attiré dans la région par la renommée de saint Hilaire. L'église d'Empuré est caractéristique des petites églises romanes rurales de ce secteur avec une façade sobre à modillons et un plan simple : un rectangle se terminant par une abside semi-circulaire couverte de lauzes. Très sobre, le décor sculpté se développe surtout au chevet et sur la façade de l'église. Les murs de l'abside sont scandés par des contreforts plats romans et trois baies encadrées par des colonnettes à chapiteaux sculptés. A l'origine, l'église était voûtée. Subsistent encore aujourd'hui sur les murs gouttereaux, les colonnes qui recevaient les arcs doubleaux soutenant la voûte en pierre. On remarque également l'inclinaison du haut des murs qui correspond au départ de la voûte. Le choeur, lui, est encore surmonté de sa voûte en cul-de-four. On ignore le décor intérieur à l'époque romane : les peintures murales mises au jour, datant de la fin du Moyen-Âge. La sculpture, végétale ou géométrique, se limite aux chapiteaux. Enfin, le choeur attirait l'oeil, seul espace dont les murs étaient soulignés d'arcades romanes et largement éclairé par des baies.

Espace muséographique et d'expositions

Espace muséographique et d'expositions

Visite libre du jardin monastique médiéval toute l'année. Visite libre des espaces d'exposition en période estivale. Escape Game en juillet et août

LES JARDINS DU CHAIGNE

LES JARDINS DU CHAIGNE

Une visite empreinte de calme et de sérénité. Les jardins du Chaigne sont situées au coeur des coteaux de Grande Champagne, dans la région attachante du Cognac en Charente. Labellisés "Jardin remarquable" depuis 2009 par le ministère de la Culture et de la Communication. Les coteaux de vignes qui les entourent forment un écrin dont les courbes douces ont un air de Toscane. Aucune rupture entre les espaces dédiés aux jardins et les vignes, l'oeil du visiteur passant des uns aux autres. Les jardins vous offrent de découvrir différentes ambiances, de la rigueur des jardins à la française par exemple à l'harmonie des parterres à l'anglaise, en passant par le parcours parfumé des essences méditerranéennes. Visite sur rendez-vous les mercredi, samedi et dimanche. Venir aux Jardins du Chaigne : Touzac est à 10 km de Châteauneuf, Barbezieux et Segonzac. A 20 minutes de Cognac et d'Angoulême. A Touzac, à partir de l'église, prendre la route du cimetière, la dépasser de 500 m, au croisement à 4 voies tourner à gauche. A 500 m, prendre le 2ème chemin sur la gauche. Suivre les panneaux "Jardins du Chaigne"

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Cinéma Nanteuil en Vallée

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Sorties sport Nanteuil en Vallée

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Nos Idées de Sorties et de Visites par Ville à Proximité de Nanteuil en Vallée :

3251 Sorties et Visites à Saint Médard2362 Sorties et Visites à Montrollet
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2076 Sorties et Visites à Chassenon2035 Sorties et Visites à Étagnac
2001 Sorties et Visites à Saint Coutant1974 Sorties et Visites à Verneuil
1940 Sorties et Visites à Saulgond1921 Sorties et Visites à Pressignac
1889 Sorties et Visites à Lesterps

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