Amoureux d'Empuré, préparez-vous à vivre des escapades romantiques sous le signe du charme. Des dîners aux chandelles aux promenades au clair de lune.
Découvrez des sorties romantiques à Empuré : dîners intimes, balades au clair de lune et escapades en amoureux.
Eglise romane de la seconde moitié du XIIème siècle, située dans l'ancien diocèse de Poitiers, elle est dédiée à saint Maixent, saint du Poitou qui fut attiré dans la région par la renommée de saint Hilaire. L'église d'Empuré est caractéristique des petites églises romanes rurales de ce secteur avec une façade sobre à modillons et un plan simple : un rectangle se terminant par une abside semi-circulaire couverte de lauzes. Très sobre, le décor sculpté se développe surtout au chevet et sur la façade de l'église. Les murs de l'abside sont scandés par des contreforts plats romans et trois baies encadrées par des colonnettes à chapiteaux sculptés. A l'origine, l'église était voûtée. Subsistent encore aujourd'hui sur les murs gouttereaux, les colonnes qui recevaient les arcs doubleaux soutenant la voûte en pierre. On remarque également l'inclinaison du haut des murs qui correspond au départ de la voûte. Le choeur, lui, est encore surmonté de sa voûte en cul-de-four. On ignore le décor intérieur à l'époque romane : les peintures murales mises au jour, datant de la fin du Moyen-Âge. La sculpture, végétale ou géométrique, se limite aux chapiteaux. Enfin, le choeur attirait l'oeil, seul espace dont les murs étaient soulignés d'arcades romanes et largement éclairé par des baies.
Site archéologique des Châteliers : vestiges d'une villa gallo-romaine, occupée du Ier siècle avant J.-C. au Ve s. après J.-C. Plus de 800 m² de structures et 450 m² de peintures murales ont été mises au jour. A proximité du site, un espace découverte dédié à la fresque antique est aménagé ; il accueille toute l'année scolaire, groupes et jeunes publics. Un jardin antique initie le visiteur à découvrir la composition, l'ambiance, le décor et les plantes qui formaient l'environnement des villas. Le reste de l'année, la villa est en accès libre.
Le jardin d'Embourie, outil pédagogique et lieu de flânerie, est conçu comme une évocation d'un jardin d'agrément au sein d'une riche villa gallo-romaine. Découvrez pas à pas, aux détours d'un buisson, différents espaces où le visiteur se laisse entraîner dans les allées d'un paysage hérité de la Gaule romaine. Il donne l'occasion aux visiteurs d'imaginer la vie privée des riches gallo-romains et de découvrir les plantes cultivées et leur place au coeur de la vie quotidienne de l'époque.
Plus de 40 années de fouilles archéologiques ont mis au jour l'espace résidentiel d'une ancienne exploitation agricole antique.
L'église de Theil-Rabier, dédiée à sainte Radegonde, est située dans l'ancien diocèse de Poitiers. Élevée dans la seconde moitié du XIIème siècle, même si elle a connu de nombreux remaniements, notamment au XVème siècle, elle conserve encore son authenticité. Composée d'une nef unique de deux travées suivie d'une abside semi-circulaire, la vision que nous avons aujourd'hui de l'église correspond à celle du XIIème siècle. La toiture en lauzes a été refaite suite à l'effondrement de la voûte en pierre mais elle reprend très certainement la disposition de l'époque romane. A l'extérieur sur les murs gouttereaux, subsistent les traces d'arrachement des contreforts plats romans, remplacés depuis par de puissants contreforts pour contrebuter la poussée de la voûte et de sa toiture. Il faut également s'imaginer le cimetière qui se développait autour de l'église et qui a entièrement dispaujourd'hui. Le décor reste très sobre : seuls les chapiteaux sont sculptés, l'un d'entre-eux dévoile une tête sortant du feuillage. Des traces de peintures sont encore visibles sur les chapiteaux et dans le choeur. Sainte-Radegonde est une sainte très populaire et honorée dans nos régions de Poitou et de Saintonge. Née en 520 dans le lointain Thuringe (en Allemagne), elle fut contrainte d'épouser Clothaire Ier, roi des Francs. Elle demanda a quitter la cour afin de prendre l'habit religieux. Son mari lui fit bâtir le monastère Sainte-Croix à Poitiers, où on peut découvrir l'église Sainte-Radegonde construite sur son tombeau.
Visite libre du jardin monastique médiéval toute l'année. Visite libre des espaces d'exposition en période estivale. Escape Game en juillet et août
Ce lieu vous invite à découvrir un espace floral et arboré, qui propose des oeuvres d'art au gré des allées. Il est situé dans un quartier historique de la ville, avec une vue sur le château historique (propriété privée) du quartier de Plaisance.
Ce dolmen comme son voisin La Petite Pérotte était à l'époque néolithique un monument funéraire. Il faisait partie d'un ensemble plus vaste de constructions semblables et de tailles variées recouvertes de tertres de pierres et de terre appelés tumulus. Beaucoup ont aujourd'hui dispaprès voir servi de carrière de pierre. La Grosse Pérotte est couverte d'une table pesant environ 100 tonnes ! Sous cette énorme pierre supportée par des piliers verticaux parfaitement équarris et ajustés se trouvait la chambre funéraire aujourd'hui comblée. Au Ve millénaire avant JC, les hommes avaient sculpté une hache sur l'une des parois du monument.
Découvrez le plan type d'un tumulus de type angoumoisin datant du Ve millénaire avant j. C ! Grâce à l'aménagement du site réalisé en 2014, après avoir gravi le tumulus, vous découvrez le long couloir autrefois couvert menant à la chambre funéraire. Sa table de couverture ayant elle aussi disparue, vous pouvez admirer la qualité et la juxtaposition des éléments de pierre formant ses murs. Unique en Europe ! Une porte de pierre tournant sur des gonds fermait la chambre. Dans un but de protection, ce dispositif exceptionnel est conservé au Musée d'Angoulême. La dalle de seuil creusée pour faire pivoter le vantail est, lui, encore en place. Un point de vue aménagé au sommet du tumulus vous permet d'embrasser le vaste paysage sur lequel se dressent encore de nombreux sites archéologiques du Néolithique.