Amoureux de Chasseneuil sur Bonnieure, préparez-vous à vivre des escapades romantiques sous le signe du charme. Des dîners aux chandelles aux promenades au clair de lune.
Chasseneuil sur Bonnieure, le lieu idéal pour les couples : sorties romantiques, jardins envoûtants et moments complices.
Hôtel 2NN. chaîne LOGIS hôtel cosy et restaurant gourmand . Ancien relais postal. Chambres spacieuses toutes équipées. Restaurant traditionnel avec terrasse en cour privative. Salon pour accueil des réunions ou repas de groupes
Fondée au 13ème siècle, cette église est l'un des rares édifices d'architecture gothique en Angoumois. Son intérieur, très spacieux, est éclairé par une très belle rosace du 16ème siècle. Une élégante balustrade ajourée et un clocher surmonté d'une flèche octogonale avec quatre clochetons complètent la façade de cet édifice. A voir : la chapelle des Bienheureux, le chevet et ses vitraux. A ne pas manquer : la crèche illuminée de décembre à février. Retrouvez l'histoire de ce site grâce à la signalétique patrimoine.
La vallée de la Tardoire est riche en grottes et abris occupés par l'homme préhistorique ; en témoignent les signes abstraits et animaux gravés de la grotte du Placard. Elle offre un rare témoignage artistique de l'homme préhistorique encore accessible au public. la visite se fait par petits groupes, une passerelle permet d'accéder à la paroi, gravée il y a 20 000 ans. Nouveauté 2021 : Venez découvrir notre nouvel espace de découverte. Pour une immersion garantie, nous vous proposons une visite à 360 de la grotte, des vidéoprojections, des fac-similés, la reconstitution de la paroi ornée. Petits et grands peuvent aussi s'initier au tir au propulseur et expérimenter les techniques pour allumer un feu. Visites de l'espace découverte en accès libre, visites guidées de la grotte du Placard toutes les 30 minutes sur réservation obligatoire.
Cet ancien prieuré dépendant de l'abbaye de Saint-Cybard d'Angoulême probablement dès l'époque de Charlemagne. L'église, commune au prieuré et à la paroisse, date principalement du XIème siècle. Elle a été élevée selon les mêmes principes de construction que l'abbatiale de Cellefrouin. la nef est entièrement couverte d'une nef en berceau continu et le bras sud du transept voûté d'un berceau plein cintre. On note des différences entre ces 2 espaces : la hauteur de la voûte, l'articulation des murs ... Le bras nord aurait pu, quant à lui, être détruit sous réserve qu'il ait seulement existé. Des restaurations récentes ont restitué la couverture en lauzes, telle qu'elle était probablement à l'origine. La façade écran est rythmée par les quatre contreforts qui laissent peu de place au portail d'entrée. On remarque toutefois le motif des claveaux, imbriqués en losange au dessus de la porte, que l'on trouve e part ailleurs en Angoumois. Si le chevet est rectangulaire à l'extérieur, il présente une abside voûtée en cul-de-four à l'intérieur. Seule l'abside possède des éléments sculptés sur les deux impostes de part et d'autre de la fenêtre axiale : un motif de palmette inversée d'où partent deux rinceaux, unique en Angoumois. L'église fait apparaître des décors muraux du XII au XVIIème siècle comportant notamment des personnages et une litre funéraire ornée de blasons sur l'ensemble de l'édifice.
A la découverte de la Préhistoire, pour petits et grands !
Reconstitution d'une salle de classe. Redevenez, l'espace d'un instant, l'élève du 19ème siècle. Ancienne école primaire ayant conservé bâtiments et matériels caractéristiques de l'école laïque depuis 1884 jusqu'en 1974. Cette visite permet de mieux comprendre l'importance de l'instruction publique telle qu'elle a été développée depuis la promulgation de la loi de 1884 sur l'enseignement public et obligatoire.
Commentaire historique : Le prieuré de Manot dépendait du chapitre de Saint-Martial de Limoges. L'église date en grande partie du XIIe siècle. Le choeur et la majeure partie de l'élévation de la nef datent de ce siècle. Le logis du prieuré a disparu. Il était probablement situé à l'emplacement actuel du château de Manot, au sud de l'église. La destruction des bâtiments du prieuré pourrait dater de 1569, pendant les guerres de Religion. Probablement au XVe siècle, les murs de la nef ont été surélevés en grès et des ouvertures, dont la fonction semble défensive, ont été percées au sommet des murs gouttereaux. L'église a été restaurée à de nombreuses reprises, notamment en 1744. En 1841, la façade a été reprise en sous-oeuvre. En 1881-1882, les murs intérieurs de l'église ont été enduits et le sol a été recouvert d'une dalle de béton. Une tribune a été construite en 1882 par Marcelin Soulié, entrepreneur à Confolens, avec les matériaux d'une maison attenante détruite. L'église a été restaurée entre 1980 et 1991 : les murs intérieurs ont été recouverts d'un enduit avec pierres apparentes et la façade a été reprise. Datation(s) principale(s) : 12e siècle ; 15e siècle (?) ; 19e siècle Auteur(s) : Soulié Marcelin (entrepreneur) Remploi : remploi Description Commentaire descriptif : Le prieuré de Manot occupe une colline dominant la vallée de la Vienne. L'église est construite en granite et en grès, sauf quelques chapiteaux sculptés dans du calcaire. Elle est constituée d'une nef unique de trois travées, d'une travée droite sans transept et d'une abside semi-circulaire. La façade ouest comprend un avant-corps en saillie, contenant le portail. Le fronton de l'avant-corps est surmonté d'une niche, présentant les vestiges d'une croix en remploi. Cette niche contenait autrefois la petite cloche. Le portail est couvert en plein cintre, constitué de deux voussures en boudins sur des colonnes à chapiteaux sculptés. Les chapiteaux sont en calcaire. Au-dessus du portail, une grande arcature en plein cintre est ornée d'une moulure ronde. Les sculptures en calcaire ont été martelées et elles ont probablement été déplacées. Trois baies étroites ont été percées ultérieurement. La façade est épaulée à chaque angle par des contreforts. Un chapiteau en remploi est situé sur la façade, au sud du portail. Les murs de la nef, renforcés par des contreforts plats, présentent une différence de matériaux entre la partie inférieure et la partie supérieure, indiquant une surélévation des murs. De petites ouvertures rectangulaires, au sommet des murs, avaient un rôle défensif. La nef est éclairée par deux petites fenêtres en plein cintre au nord, une petite et deux grandes fenêtres en plein cintre avec un ébrasement important au sud. La nef est divisée en trois travées. La voûte en berceau brisé en pierre est soutenue par des doubleaux qui retombent sur des pilastres plats sans chapiteau. Un cordon en quart de rond souligne le départ de la voûte. L'ancienne porte d'accès au clocher est murée, elle est encore visible au départ de la voûte au sud, près de l'arc triomphal. La porte actuelle est à l'angle sud-ouest. Le faux carré du transept est encadré par quatre colonnes rondes engagées sur pilastres. L'arc triomphal est composé de quatre voussures qui retombent sur autant de pilastres. Les chapiteaux sont ornés de bourgeons. La colonne sud-est possède une base torsadée. La base de la colonne nord-est a été tronquée pour placer la table de communion. Le faux carré est voûté d'une coupole, sur pendentifs au nord et sur trompes au sud. Le mur nord est percé de deux baies superposées. Une porte est percée sur le mur sud, probablement pour accéder au logis dispdu prieuré. Le clocher carré a reçu un étage moderne, couvert par un toit presque plat. L'abside est semi-circulaire, voûtée en cul-de-four. Le choeur est éclairé par trois baies en plein cintre. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : granite ; grès ; moellon ; enduit Matériau(x) de couverture : tuile creuse Type et nature du couvrement : coupole à trompes ; coupole en pendentifs ; voûte en berceau brisé ; cul-de-four Type de la couverture : toit à longs pans ; toit en pavillon Technique du décor : sculpture Représentation : Christ ; Evangéliste ; personnage biblique ; saint ; lion ; ange ; griffon ; animal fantastique Précision sur la représentation : Les chapiteaux illustrent une psychomachie. Ils représentent au nord un bouc jouant de la harpe, des griffons et au sud, Samson et le lion. Au-dessus du portail, le Christ en majesté assis est encadré par les symboles des Evangélistes et deux anges thuriféraires. Plus bas, une frise est décorée de six personnages nimbés. Le chapiteau en remploi sur la façade au sud du portail représente un sagittaire. Intérêt de l'oeuvre Date(s) et nature de la protection MH : 1985/10/28 : inscrit MH Précisions sur la protection : Eglise Saint-Martial (cad. B 424) : inscription par arrêté du 28 octobre 1985.
Lovés dans la vallée de l'Argentor, dans un village labellisé "Petites Cités de caractère", ces jardins offrent un espace de quiétude où diversité des végétaux et esthétique se mêlent.
Une visite empreinte de calme et de sérénité. Les jardins du Chaigne sont situées au coeur des coteaux de Grande Champagne, dans la région attachante du Cognac en Charente. Labellisés "Jardin remarquable" depuis 2009 par le ministère de la Culture et de la Communication. Les coteaux de vignes qui les entourent forment un écrin dont les courbes douces ont un air de Toscane. Aucune rupture entre les espaces dédiés aux jardins et les vignes, l'oeil du visiteur passant des uns aux autres. Les jardins vous offrent de découvrir différentes ambiances, de la rigueur des jardins à la française par exemple à l'harmonie des parterres à l'anglaise, en passant par le parcours parfumé des essences méditerranéennes. Visite sur rendez-vous les mercredi, samedi et dimanche. Venir aux Jardins du Chaigne : Touzac est à 10 km de Châteauneuf, Barbezieux et Segonzac. A 20 minutes de Cognac et d'Angoulême. A Touzac, à partir de l'église, prendre la route du cimetière, la dépasser de 500 m, au croisement à 4 voies tourner à gauche. A 500 m, prendre le 2ème chemin sur la gauche. Suivre les panneaux "Jardins du Chaigne"