128 Sorties Culturelles à Faire Autour de Nérigean
Toutes les sorties culturelles à faire à Nérigean et dans les environs. Activités, ateliers culturels et visites.
Parce que la culture, c'est comme la confiture, c'est meilleur quand on la partage ! Préparez-vous à plonger dans un océan de découvertes artistiques, historiques et musicales à Nérigean et dans les environs.
Toutes les sorties culturelles à faire à Nérigean et dans les environs. Activités, ateliers culturels et visites.
Édifice composite avec un chevet construit au-dessus d'une crypte à demi enterrée, classée Monument Historique. Cet ensemble appartient à une construction du 11e siècle, modifiée au début du 12e siècle par l'adjonction de colonnes adossées permettant le voûtement de l'ensemble du choeur de l'église haute. La travée droite du choeur est ornée d'un ensemble peint du 16e siècle (évangélistes). Au 19e siècle, reconstruction de la nef et de la façade occidentale, et restauration du choeur. L'église est inscrite à l'Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
La paroisse est fondée au XIe Siècle. Cette église romane est dédiée au patron des vignerons. La façade est ornée d'une statue, mutilée, en marbre polychrome. Le clocher-pignon abrite une cloche datée de 1636. En pierre, le bénitier date de 1614. Toujours placés à l'entrée d'une église car les fidèles sont invités à se signer avant d'y accéder.
Croix du cimetière datant du 16ème siècle. Inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1945.
Situé au pied de l'église Notre-Dame de Grézillac, ce reposoir du XVIIe siècle se compose de colonnes cannelées (au nombre de quatre) couronnées par des chapiteaux de style corinthien. Le tout sert de support à un baldaquin en pierre (dont le bandeau est sculpté de rosaces et de volutes). Plus tard (au XIXe siècle), une croix en fer forgé a été ajoutée au reposoir, de même qu'une statue de la Vierge.
Jardin de soins et de découverte de la nature Conceptrice de ce jardin, Magalie Costes sera ravie de partager avec vous sa passion pour les oiseaux et la préservation de la biodiversité. Découvrir et vous ressourcer au milieu du vivant, un pur moment de bien-être entre forêt et jardin sauvage.
L'Église Saint-Seurin, de fondation romane, est un ancien prieuré qui a appartenu à l'abbaye de la Sauve-Majeure (dont il est fait mention à la fin du XIe siècle). Son clocher-mur, qui date du début du XVIIIe siècle, est percé de deux baies. Au-dessus du portail se trouve une statue de la Vierge datant du XVIe siècle (dans une niche en forme de coquille). L'abside semi-circulaire se compose d'une voûte en cul-de-four. L'église est dédiée à Saint-Seurin (évêque de Bordeaux au Ve siècle).
Cette église fut bâtie par les templiers puis remaniée à deux reprises. Nef romane du 12e siècle. Abside de style roman, mais datant vraisemblablement du 15e siècle. Bas-côté nord couvert d'une voûte en étoile et baies du mur sud datant du 16e siècle comme l'indique la date portée 1582. Porche et voûte de la nef du 19e siècle.
Au coeur de l'Entre-deux-Mers, à 18 km du centre de Bordeaux, bienvenue au Château de Camarsac, fière forteresse du XIIe siècle dressée sur un promontoire et entourée de son vignoble. La légende veut que le Prince Noir, fils du roi d'Angleterre Edouard III, y ait séjourné. Aujourd'hui, ce site chargé d'histoire est dirigé par Thierry Lurton, qui vous propose de le découvrir au cours de différentes visites thématiques. Visite classique des chais avec découverte des extérieurs du château, dont les magnifiques communs construits au XVIIIe siècle, suivie d'une dégustation de trois vins parmi les différentes AOC Bordeaux élevées sur place.
Idéalement installé à quelques kilomètres de Bordeaux, le Haras du Sudre s'étend sur un domaine de 34 hectares de bois et de prairies. Boxes, carrière, paddocks, rond d'Avrincourt et prairies permettent à ces deux cavaliers diplômés d'état d'exercer pleinement leurs différentes activités dédiées au cheval (poneys club, vente de chevaux).
Une agglomération monastique s'est développée du XIe au XIVe siècle autour de l'imposante abbaye bénédictine de la Sauve-Majeure. Le pèlerinage favorise la croissance urbaine du bourg. L'abbatiale qui possède un plan bénédictin à 5 chapelles échelonnées est dominée par son clocher gothique. Elle est renommée pour la sculpture romane de son chevet, oeuvre des plus grands sculpteurs. Le bourg qui s'est développé autour de l'abbaye comportait deux paroisses l'une avec l'église Saint-Jean ; l'autre avec l'église Saint-Pierre. Aujourd'hui, l'église Saint-Pierre, du XIIIe siècle entouré de son cimetière médiéval, possède un décor sculpté et peint en relation avec le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Entre les deux sanctuaires, s'ordonnent des rues où on observe des maisons anciennes rénovées au XIXe siècle. L'ancienne prison communale et la halle sont de la même époque.
La croix du cimetière de Branne (datée du XVIIe siècle) se compose d'une colonne torse cannelée surmontée par un chapiteau de style corinthien. Le tout est couronné d'une croix pattée aux motifs de carrés gravés et de disques. Cette croix de cimetière était, à la base, placée dans l'ancien cimetière de Branne (près de l'ancienne église romane, détruite au XIXe siècle pour laisser place à la nouvelle église Saint-Étienne, de style néogothique).
Chef-d'oeuvre de l'art roman du XIIe siècle, inscrite par l'UNESCO sur la liste du patrimoine mondial au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, l'abbaye de La Sauve-Majeure représente un magnifique témoignage d'architecture religieuse ayant traversé les siècles. Elle déploie un paysage à ciel ouvert sur plus de deux hectares et présente des décors sculptés de toute beauté : animaux fabuleux, héros, récits bibliques se racontent sur les chapiteaux de l'église et du chevet. Bienvenue sur ce site envoûtant, hors du temps, à 30 minutes de Bordeaux. Profitez de l'offre spéciale visite + dégustation qui permet de visiter l'abbaye et de déguster 3 vins du territoire à la maison des vins de l'Entre-deux-Mers.
On trouve des traces d'une halle à Branne (à l'emplacement de la place du Marché) dans le cadastre de la fin du XVIIe siècle. En 1770, le Roi de France Louis XV autorise (par le biais d'une lettre patente) la tenue d'un marché sous la halle, tous les jeudis. À cette époque, la halle est la propriété de la famille Durfort-Civarc. Elle finira par être cédée à la commune au milieu du XIXe siècle. La halle actuelle, qui date de 1895, a été construite selon un plan rectangulaire. Elle se compose de 20 colonnes moulurées en fonte (qui reposent sur des pierres de taille). Le tout est surmonté d'une couverture à deux pans et deux croupes (avec des tôles ondulées). Le marché hebdomadaire de Branne se tient toujours sur cette place, et sous la halle, les jeudis matins.
Au Moyen-âge (à partir du XIIe siècle), Branne possédait déjà un pont en bois, servant à franchir la Dordogne. Un droit de passage payant était alors en vigueur (supprimé en 1890). Un nouveau pont, en métal, est construit à partir de 1911. Les Allemands le font sauter en 1944. Suite à cet épisode, une restauration du pont est décidée.
Au bord de la Dordogne, près d'un pont qui existe dès le Moyen où est perçu un péage, se trouve le bourg de Branne, qui s'est développé grâce à son port. Les magnifiques quais en pierre du XIXe siècle, où se trouve une statue de la Vierge, témoignent de la prospérité du trafic sur la rivière.
L'église Saint-Étienne, de style néogothique, a été achevée en 1877 (en lieu et place d'une petite église romane) et consacrée en 1878. Cette nouvelle église a été financée en grande partie par les dons des paroissiens et du curé de Branne, l'abbé Lapeyre (véritable maître d'oeuvre du projet). L'édifice possède une nef entourée de deux bas-côtés de quatre travées (recouverts par des voûtes sur croisée d'ogives). Le maître-autel (en pierre et marbre), imaginé par l'abbé Lapeyre, s'inspire de celui de la Sainte-Chapelle. Au niveau de la façade, trois portails sont surmontés par deux hautes flèches octogonales. L'édifice est soutenu, sur ses flancs, par des arcs-boutants (avec des culées ornées de pinacles). L'église se termine, à l'est, par un chevet à abside principale à pans et deux absidioles. Venez découvrir ce monument symbole de l'essor de la ville et de la volonté d'un homme.
Ancienne chapelle et seul vestige du Château de Condat, elle se présente comme un édifice à nef unique de style gothique. A l'extérieur, le portail est surmonté d'une vierge à l'enfant, tandis qu'à l'intérieur, les clefs de voûte représentent les armes de France, la Vierge et l'Enfant Jésus ou encore un archevêque. Elle abrite notamment une vierge à l'enfant en pierre du XVème siècle classée Monument Historique. La chapelle a été entièrement peinte au début du XXème siècle. Miraculeusement, la présence de Viollet-Leduc à Bordeaux a permis de lui offrir les peintures identiques à celles de la Sainte-Chapelle et de la rendre presque aussi célèbre que sa grande soeur parisienne. Toute l'année pour les groupes. Uniquement les samedis et dimanches après-midi en Juillet et août.
À quelques 15 km de Bordeaux en direction de Libourne, le Château de Vayres, ancienne propriété du roi Henri IV, est un site historique remarquable à plus d'un titre. L'origine féodale de cette importante place forte défensive se retrouve dans le donjon carré, le castelet et les tours. C'est au XVIIème siècle que Vayres prend l'apparence d'un château Renaissance. Remarquez sa façade classique, le raffinement de la galerie principale que l'on doit à l'architecte du Phare de Cordouan, son escalier monumental à double révolution au-dessus des douves. Exceptionnelle collection de tapisseries. Au Château de Vayres, déambulez aussi dans les élégants jardins à la française qui surplombent la rive gauche de la Dordogne. Un parcours d'énigmes sur l'histoire des châteaux forts passionne petits et grands et, chaque été, le Festival de Cape et d'Épée réunit les fines lames de la région.
Église Saint-Léon du XVIe et XVIIIe siècle. Huit contreforts à base moulurée, dont quatre aux angles, divisent l'édifice surmonté d'un clocher pignon percé d'arcades, en trois travées. Magnifique fenêtre gothique et autel en pierre peint en faux marbre. Ensemble de la 1re moitié du 17e siècle. Cadre au-dessus de l'autel de la Vierge et porte murée dans le mur nord de la 2e moitié du 17e siècle. Tribune, sacristie, clôture et portail du cimetière de la 1re moitié du 19e siècle. Les dates portées : 1624 et 1773 ne semblent pas correspondre à des campagnes de travaux. Inscrite Monument Historique depuis 1925.
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