Parce que la culture, c'est comme la confiture, c'est meilleur quand on la partage ! Préparez-vous à plonger dans un océan de découvertes artistiques, historiques et musicales à Douzy et dans les environs.
Toutes les sorties culturelles à faire à Douzy et dans les environs. Activités, ateliers culturels et visites.
Sommer et l'aviation Autour du Biplan de Roger Sommer 1910, reconstitué grandeur nature, le Musée des Débuts de l'Aviation propose à ses visiteurs une biographie du pilote et constructeur de 1908 à 1912, de nombreux documents photographiques ainsi qu'une importante collection de cartes postales d'époque. Bar à l'aérodrome. Plusieurs maquettes d'avions à l'échelle 1/4e.
Modeste seigneurie qui remonte au XIIème siècle, La Moncelle a changé de main à plusieurs reprises avant d'entrer dans la Principauté de Sedan et de devenir une des maisons de campagne des La Marck et des La Tour d'Auvergne aux XVIème et XVIIème siècles. A la fin du XVIIIème, les Montagnac en furent les derniers seigneurs avec droit de haute justice. Les guerres franco-allemandes n'épargneront pas La Moncelle qui eut particulièrement à souffrir des combats dans la vallée de Givonne le 1er septembre 1870. La résistance héroïque des forces françaises ce jour-là entre la Ramorie et Montvillers, face aux Saxons et aux Bavarois qui les submergeaient fut très meurtrière et pendant plusieurs jours après la capitulation on regroupa des centaines de corps soit dans les charniers improvisés, soit dans les cimetières des communes. Le monument du Souvenir Français qui se trouve ici au coeur du cimetière a été érigé à la mémoire d'environ 300 braves morts pour la France le 1er septembre 1870. En apercevant juste à côté de ce monument les tombes de deux officiers saxons, on se met à espérer que la réconciliation entre les ennemis d'hier en Europe sera un exemple pour le monde entier.
La nouvelle église, de style néogothique, fut inaugurée solennellement, le 28 avril 1904, par le Cardinal Langénieux, archevêque de Reims. Elle est importante et beaucoup plus grande que l'ancienne. Elle possède des vitraux lumineux inspirés de l'art nouveau. Offerts par des bienfaiteurs, ces vitraux évoquent les vies de Saint-Martin et de Saint-Louis et l'un d'entre eux, représentant un groupe d'officiers, rend hommage aux soldats qui se sont sacrifiés dans la défense de Bazeilles en 1870.
Le 1er septembre 1870, la bataille de Sedan commence, dès 4 heures du matin, par l'attaque des Bavarois contre Bazeilles. A 5 heures 45, le Maréchal de Mac Mahon arrive à cheval sur la hauteur de la Rapaille entre Balan et La Moncelle. Vers 6 heures, alors qu'il observe les positions françaises et allemandes, un éclat d'obus tirés de Pont-Maugis le blesse grièvement. Au cours de son évacuation, il fait porter un message au Général Ducrot, commandant le 1er Corps d'Armée, pour lui demander de le remplacer à la tête de son armée. Son message ne parviendra à son destinataire qu'à 7 heures et demie.
Il a été construit à partir de 1878 par l'État sur des terrains qu'il avait lui-même achetés à la commune et à des particuliers. Il a été terminé en 1890. Il renferme les ossements d'environ 3000 soldats français et allemands. En application d'une convention en date du 1er mars 1951, entre le ministère des Anciens Combattants (Bureau Sépultures) et le Comité, c'est à ce dernier d'assumer le coût (onéreux) de son entretien. Sa terrasse a dû être refaite entièrement en 1999. Il suffit pour le visiter de le demander au gardien de la maison.
Durant la guerre de 1870, des soldats de l'Infanterie de Marine se postèrent dans cette auberge afin d'opposer une ultime résistance aux soldats bavarois lors des combats du 1er septembre. L'édifice garde encore la véracité des événements à travers ses structures. Le musée est situé dans l'ancienne auberge où se déroula l'action de résistance héroïque d'une cinquantaine d'hommes de la Division d'Infanterie de Marine lors des combats de Bazeilles les 31 août et 1er septembre 1870. Les traces de cet évènement ont été préservées, notamment la pièce immortalisée par le célèbre tableau d'Alphonse de Neuville. Les objets présentés sont issus en grande partie du champ de bataille ainsi que de dons des descendants des militaires. Le musée présente un aperçu général de la guerre, de la bataille de Sedan et du déroulement des combats dans le village. A l'issue de la visite, vous pouvez vous rendre à l'Ossuaire de Bazeilles, situé dans le cimetière de la commune. Sont également visibles, à droite de la Maison de la Dernière Cartouche, un lieu où reposent 19 soldats et au centre du village, le monument commémoratif des ces événements. Tous les ans, une cérémonie se déroule au sein du village afin de commémorer l'acte de bravoure des hommes de cette Arme.
Ce char est un engin de reconnaissance (EBR) monté sur pneumatiques, et non sur chenilles, qui appartenait à un régiment emblématique de Sedan, le 12ème Régiment de Chasseurs à cheval, dissous en 1984, dont le terrain de manoeuvre se trouvait sur le territoire de Daigny. Après la dernière guerre, les e. B.R. et leurs équipages succédèrent aux chevaux et à leurs cavaliers dont ils reprirent la mission d'aller en avant-garde reconnaître les positions de l'ennemi. Sedan a été une ville de garnison, et principalement de cavalerie, pendant près de six siècles, du début du XVème siècle à la fin du XXème, et la ville comme ses environs en gardent de nombreuses traces qui forment une partie importante de notre patrimoine historique. La vallée de la Givonne, vallée frontalière immémoriale, ayant souvent eu à se défendre au cours des siècles contre des bandes armées, a vu s'ériger le long de son cours quatre maisons fortes, Givonne, Daigny, La Moncelle et Bazeilles dont il ne reste malheureusement plus que les deux dernières. Elle a également souffert des guerres franco-allemandes qui par trois fois en 75 ans ont ravagé la région sedanaise, mais c'est le drame du 1er septembre 1870 dont elle conserve lesstigmates les plus cruels : des centaines de cadavres gisaient à Daigny, comme dans les communes voisines le soir de la bataille et une partie seulement purent être regroupés dans les cimetières, les autres ayant dispdans des charniers dispersés.
Découvrir une histoire C'est à Mouzon que se trouve la dernière usine française de fabrication industrielle du feutre de laine. Pendant plus de 150 ans, l'industrie textile se développe grâce à l'impulsion de la Famille Sommer. Le Musée du feutre, labellisé Musée de France, voit le jour en 1988. Il témoigne de la glorieuse époque de l'industrie textile durant les «Trente Glorieuses»Découvrir une technique Le feutre est un isolant thermique, phonique. C'est une matière imperméable utilisée dans de nombreux domaines. Témoin du passé industriel, le Musée présente la reconstitution d'une chaine de feutrage en modèle réduit. On y trouve également un atelier où scolaires, étudiants et artistes peuvent travailler le feutre à la main. Découvrir un art Depuis sa création, le Musée s'est affirmé comme un lieu d'expérimentation. En invitant des artistes contemporains, le musée aborde les multiples aspects de la création autour du feutre : stylisme de mode, design, mobilier, sculpture, oeuvres murales...
A quelques pas de l'abbatiale de Mouzon, se trouve une ancienne abbaye de moines bénédictins. Fondée en 971 par l'archevêque de Reims, elle est composée de trois bâtiments : - un bâtiment principal (actuelle Maison de retraite), - un Colombier (Office de Tourisme) - de dépendances (Musée du Feutre).Jusqu'en 1671, les murailles de la ville ainsi qu'un fossé entourent le tout. Jusqu'en 1789, les moines vivent des produits des terres agricoles (données par l'archevêque), de la forêt, des rivières, des moulins et des plantes aromatiques cultivées dans le jardin de l'abbaye. Après 1789, l'établissement est transformé en hospice civil, le jardin est conservé. Au fil du temps, il se transforme en jardin d'agrément, entretenu par le jardinier de la maison de retraite.
Construite en 1230, sur les vestiges de l'abbaye romane, l'église est édifiée dans le pur style gothique. Fin XIIème siècle, l'archevêque de Reims envisage de créer un évêché à Mouzon. On va alors démolir le choeur de l'église pour en construire un plus grand, plus beau, plus élancé, car le "Premier Art Gothique" est en passe de supplanter l'art roman. Après un violent incendie, en 1212, l'architecte en charge de la reconstruction va jouer la cohérence en réutilisant ces principes du « Premier Art Gothique ». En 1852, de nouvelles restaurations sont effectuées par Emile Boeswillwald, contemporain de Viollet Le Duc, notamment la destruction de la grande verrière flamboyante. En 1918, elle échappe à l'incendie provoqué par les allemands lors de leur retraite. A découvrir :- Les orgues de Christophe Moucherel datant de 1725. Ils sont classés Monuments Historiques tout comme l'Abbatiale Notre Dame. - Une curiosité : la petite ouverture de 60 cm de haut et de quelques centimètres de large dans le mur nord de la chapelle Ste Jeanne d'Arc... C'est le logement de la recluse.
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