105 Sorties Culturelles à Faire Autour de Bezaumont
Toutes les sorties culturelles à faire à Bezaumont et dans les environs. Activités, ateliers culturels et visites.
Parce que la culture, c'est comme la confiture, c'est meilleur quand on la partage ! Préparez-vous à plonger dans un océan de découvertes artistiques, historiques et musicales à Bezaumont et dans les environs.
Toutes les sorties culturelles à faire à Bezaumont et dans les environs. Activités, ateliers culturels et visites.
Le monument de Notre-Dame des Airs consiste en une tour à base carrée de 17 mètres de hauteur, surmontée d'une statue en fonte de la Vierge, haute de trois mètres. L'intérieur est organisé en chapelle et trois plaques de marbre sont fixées aux murs ; elles rappellent les noms des enfants de Dieulouard morts pour la Patrie. Elles précisent aussi que ce monument a été élevé juste après la guerre de 1914-1918 et que le curé de la paroisse avait formulé un voeu pendant ce conflit. Bâti au bord de la falaise calcaire qui domine Scarpone et la vallée de la Moselle, l'édifice est visible de très loin et il a l'objet d'un éclairement nocturne qui le met en valeur. A cet emplacement existait dans les temps anciens un ermitage dédié à Ste Madeleine si bien que le lieu-dit est nommé « les roches de la Chapelle ».
Bienvenue à la centrale de Blénod ! Découvrez ce site de production d'électricité au gaz naturel implanté au coeur de la région Grand-Est. Les Estivales de la centrale de Blénod ! Du 7 juillet au 31 août, la Centrale à Cycle Combiné Gaz de Blénod vous accueille au coeur de nos installations tous les mercredis et vendredis pour profiter d'une expérience hors du commun ! Au programme cet été ? VISITE de la centrale accompagné d'un guide-conférencier, ANIMATION Escape game à ciel ouvert, pour comprendre le monde industriel et la production d'électricité tout en s'amusant ! Plus de renseignements en écrivant à visite-blenod@edf. Fr
Construit en 997, le château passe dans le temporel de l'évêque de Verdun. Il subit de nombreux sièges par les Messins, Charles le Téméraire et les Huguenots. L'édifice se compose d'une grande enceinte polygonale datant du Xème siècle comportant 7 tours circulaires et une tour carrée. L'ensemble, qui a été remanié au XVIème siècle est imbriqué au milieu de maisons adossées à ses murailles hautes de 20 mètres. Cette visite se fait à présent une seule fois dans l'année le dimanche des journées du Patrimoine en septembre, dans une fête organisée par la municipalité : les remparts, l'église, le couvent, le château. Tout est gratuit et avec un guide.
Le Musée des Amis du Vieux Pays est situé dans le château médiéval en partie restauré de Dieulouard. Il présente les vestiges gallo-romains du site de Scarpone et la reconstitution d'un petit cimetière d'inhumations gallo-romain sous tuiles. La grande voie romaine de Lyon à Trèves par Metz, traversait la Moselle à Dieulouard, l'antique Scarpone. Cette agglomération installée sur la basse terrasse alluviale était divisée en îlots, reliés par des ponts de pierre et de bois et demeurait en haut Moyen-Âge un lieu stratégique du franchissement de la Moselle. - Ouvert tous les dimanches de mars à novembre (14h/18h) - Visites guidées pour groupes (min. 10 pers.) sur rendez-vous.
Lorsque Dudon construisit le château en 997, il fit ériger en même temps à côté une chapelle dédiée à St Sébastien. Plusieurs fois au cours du Moyen Age, elle fut brûlée, pillée, saccagée à cause des guerres. En 1482, un curé de Dieulouard, Jean Mengin, la fit raser et rebâtir, au moyen de quêtes, sur de plus grandes dimensions. Le portail, d'architecture moderne et d'ordre corinthien, est orné d'une statue de St Sébastien placée dans une niche, de deux statues d'anges et d'une croix. Ce portail a été ajouté par un curé de Dieulouard, Nicolas Barthélémy, en 1739. Il ne manque pas d'élégance mais malheureusement n'est pas dans le style de l'église. Dans l'un des murs latéraux est incrustée une pierre sur laquelle est représenté en relief le martyre du patron de la paroisse. L'église elle-même, de style ogival, et à trois nefs supportées par six piliers. En 1890, la nef de gauche a été prolongée d'une travée. Ces travaux de construction ont été payés par l'abbé Marchal, curé de Dieulouard, sur ses propres deniers, ainsi que les frais de réparation du jeu d'orgue. Le choeur, auquel on accède par deux escaliers de huit marches chacun, est orné de boiseries de chêne sculpté. Le dessin de ces boiseries est l'oeuvre de l'architecte du couvent des Bénédictins. Sous le choeur est une crypte qui paraît avoir été primitivement une habitation gauloise. Deux escaliers taillés dans le roc, de dix-sept marches chacun, y conduisent. La crypte comprend deux travées : l'une forme la nef, l'autre forme le choeur, au fond duquel sont percées trois fenêtres de style roman. Deux torpilles aériennes allemandes sont tombées en 1917 sur l'église paroissiale sans exploser. Cet événement fut considéré comme un miracle. Les enveloppes métalliques de ces deux bombes ont été fixées à deux piliers de la nef et ne manquent pas, aujourd'hui encore, d'étonner les visiteurs.
A l'origine l'église de Sainte Geneviève est une construction romane du XIe siècle dont la nef se composait de 3 travées avec colonnes engagées supportant une voûte de pierre. Cette nef se terminait par un choeur en cul de four qui seul subsiste aujourd'hui. En 1622 une chapelle du rosaire fut élevée à l'est du choeur ; de dimension importante, elle occupait 2 travées de la nef. Au XVIIIe siècle, la nef romane et la chapelle du Rosaire furent détruites pour laisser place à une nef de plan carrée couverte d'un plafond plat. Cette reconstruction fut commandée en 1769 par le chapitre de Metz qui chargea un architecte de cette ville, Georges Bourgeois, d'en établir les plans. Le village de Saint Geneviève occupe un sommet élevé du Grand Couronné et les combats violents qui se sont déroulés dans la région pendant les 2 dernières guerres mondiales ont fortement endommagé l'église. Outre les restaurations effectuées dans le choeur roman, une partie de la nef et du clocher ont été reconstruites avec restitution de charpente en béton armé après les destructions de 1944.
Mise à disposition par le Conseil Général de Meurthe et Moselle, elle est placée place de la République et a été réalisée dans le cadre du Symposium de la pierre au château de Lunéville en 2011.
Ancienne croix de dévotion, elle était située à l'origine à mi-chemin entre l'église paroissiale et la chapelle des Templiers démolie en 1752. Elle fut érigée par les familles Vannesson et Charlot le 20 décembre 1690 en remerciement d'avoir été épargnées des calamités de la guerre de Trente Ans et des épidémies qui ont suivi. Déplacée en 2000, elle a été restaurée en 2013.
En 1811, afin de permettre à tous les habitants d'avoir accès à de l'eau de source, aux animaux de s'abreuver, et de laver le linge autrement que dans la Moselle, dangereuse en cas de crue et de gel, la commune fit construire 3 fontaines dans le village (place de la République, place des Vignes et rue des Roses). Elle construisit également la « Grande Fontaine » sur la place des Mariés. Cette Grand Fontaine fut réalisée selon le principe des anciennes halles en pans de bois du Moyen-Age avec un abreuvoir et un lavoir. Démonté en 1974, le lavoir-abreuvoir a été reconstruit de 2011 à 2013 selon les plans d'origine. Cette reconstruction a été réalisée grâce au soutien de la Fondation du Patrimoine, du Conseil Général de Meurthe et Moselle, d'Evelyne Didier et de Philippe Nachbar sénateurs, de Jean-Yves le Déaut député, du Conseil Régional de Lorraine, du Bassin de Pompey et des habitants de Millery par souscription. Le lavoir de Millery a obtenu le Prix Régional des Rubans du Patrimoine 2014 pour la Lorraine.
L'actuelle église saint Etienne, du XIXe siècle, est construite sur les bases d'une ancienne église du XIIe siècle, et possède un clocher classé au titre des Monuments Historiques.
Le réseau des Médiathèques intercommunales est un service public chargé de contribuer aux loisirs, à l'information, à la recherche documentaire, à l'éducation permanente et à l'activité culturelle de la population. Ces structures sont ouvertes à tous et vous accueillent du lundi au samedi. Pour vous inscrire, vous devez justifier de votre identité, vous munir d'une autorisation écrite de vos parents si vous êtes mineurs et enfin vous acquitter d'une cotisation annuelle. Cette inscription vous permet d'accéder aux sept Médiathèques de la Communauté de communes du Bassin de Pont-à-Mousson.
Construite par l'architecte Dominique-Alexandre LOUIS. Suite à l'avis de la Commission Régionale du Patrimoine et des Sites (CRPS) réunie par la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) de Lorraine le 20 novembre 2013, le Label Patrimoine du XXe siècle est attribuée à la Chapelle de la Vierge aux Pauvres.
Site remarquable de promenade et de halte touristique dans un bel espace arboré. Rénové récemment par une poignée de bénévoles des associations marbichonnes et les services techniques de la commune, le terme écrin de verdure prend ici tout son sens. Venez le découvrir ou le redécouvrir au terme d'une promenade. Le petit terrain de jeux à proximité sera un régal pour vos enfants. Il y a même un terrain de boules pour les plus grands. Le château est implanté à 200 mètres à droite de l'église. A l'origine, cet ensemble comprenait des bâtiments, une cour intérieure, un parc, des terres et un étang. Vers 1260, le villa était sous la dépendance de la seigneurie de "l'Avant-Garde" créée à Pompey par les comtes de Bar. Jean, fils d'Huard de Morey, écuyer du comte Pierre de Bar reçoit en 1333 le fief à Marbache, il devient alors Jean de Marbache. C'est sans nul doute le premier seigneur résidant à Marbache. Au fil des siècles, se succédèrent plusieurs familles de nobles. Puis, la famille De Lande De Venon a résidé au château de 1470 jusqu'à la Révolution. Au milieu du XIXe siècle, la famille Thirion de Noville acquiert le château, le parc et son étang. En 1937, Messieurs Schwab et Meyer de Nancy en deviennent propriétaires. En 1992, la partie sud de cet ensemble et son parc acquis par la commune se transforment en centre socioculturel.
En plein coeur de la ville, dans un hôtel Renaissance, le musée municipal Au fil du papier est le seul musée en France à présenter une collection aussi conséquente d'objets en papier-mâché laqué. De la tabatière au salon Second Empire, les objets présentés furent produits en Europe au XIXe. Le musée retrace également l'histoire de la ville de Pont-à-Mousson : son origine médiévale autour du pont sur la Moselle, la création à son sein de la première université de Lorraine au XVIè siècle, la vie du Grand maréchal du Palais Duroc, l'histoire de la famille Adt et de l'industrie du papier-mâché à Pont-à-Mousson, celle des fonderies (Pont-à-Mousson SA) et de l'Imagerie Mussipontaine.
Edifice agrandi au XVIe possédant une façade du XVIIIe, une nef du XIXe et un clocher néo-baroque du XVIIIe. Triptyque anversois de l'école flamande (XVIe) Retable de Philippe de Gueldre : il provient du monastère de Sainte Claire. Oeuvre flamande du XVIe siècle, sortie d'un atelier installé à Anvers dès 1470. Ce retable dont il manque la prédelle fut offert par la Duchesse Philippe de Gueldre en 1543. Il était destiné à recevoir une relique de la Vraie Croix, don du roi de France François 1er. Autres biens précieux : Le Christ portant sa croix attribué à Ligier Richier (1500- 1573) et au mur collatéral gauche, une Piéta de pierre polychrome du début du XVème siècle.
Après « Le tour du monde en 80 jours », retrouvez l'équipe du Quiproquo Tour dans une cavale délirante pour sa nouvelle saison 2024! « Les 39 marches » est une parodie du film éponyme d'Hitchcock, sorti en 1935. Une comédie qui a reçu le Molière de la pièce comique 2010 et de la meilleure adaptation. Avec le meurtre de Scudder, Richard Hannay se trouve, du jour au lendemain, mêlé à une extraordinaire aventure. Au centre de l'histoire : une organisation secrète mais terriblement puissante, un complot international et... un mot de code incompréhensible. Pour rassembler les morceaux de ce puzzle déconcertant, Richard Hannay n'a que vingt jours devant lui... Vingt jours pendant lesquels ce flegmatique Britannique va fuir à travers toute l'Ecosse, se travestir pour échapper à ses poursuivants, mettre le feu aux poudres d'un étrange château. 5 comédiens interprètent de multiples personnages et restituent avec loufoquerie l'univers d'Alfred Hitchcock : Londres, Les Landes écossaises, des poursuites de voiture, une histoire d'amour, d'espionnage et de suspense, tous les moments forts du film. Billetterie en ligne recommandée. Réservation également possible par mail et téléphone.
L'abbaye des Prémontrés est le plus bel exemple d'architecture monastique en Lorraine. Monument Historique du 18e, l'Abbaye des Prémontrés s'élève majestueuse au milieu d'un parc de 2, 5 ha bordé par la Moselle. On peut y admirer ses trois escaliers (rond, carré, ovale), son abbatiale, son cloître bordé de galeries vitrées et entouré des salles historiques (grande sacristie, réfectoire des chanoines, salle du chauffoir). Alors que ce monument, situé dans le centre-ville de Pont-à-Mousson impressionne par ses proportions et son architecture, il est aussi un lieu idéal pour les amateurs de nature, de fleurs et de promenades. Le jardin des Senteurs, le jardin de la Cour d'honneur et le jardin du bord de la Moselle sont 3 écrins de verdure d'un style tout à fait différent où l'on peut flâner ou lire dans l'ombre des tilleuls. Cette ancienne abbaye réhabilitée en centre culturel organise des expositions ; l'occasion de découvrir des artistes du Grand Est, ou d'explorer les savoirs-faire de la région. Des visites guidées, des animations, des évènements thématiques et des ateliers (notamment pour les enfants) rythment l'agenda culturel. L'association (loi 1901) en charge du rayonnement de l'abbaye, de sa valorisation et de sa conservation, accueille tout au long de l'année des congrès, des séminaires et des réceptions et gère un hôtel 3 étoiles. Une activité commerciale qui permet de financer son fonctionnement à hauteur de 85%. Les tarifs de l'entrée varient selon les expositions organisées (plein tarif : 6 ou 10EUR / tarif réduit : 3 ou 6EUR), et contribuent à l'entretien et la restauration de l'édifice.
Le Jardin des Senteurs offre un bouquet odorant de plantes et de fleurs entrant dans la composition des parfums. La quiétude du lieu, sa palette de couleurs et sa faune variée sont très prisées.
A l'emplacement de la maison restaurée par la Société Lorraine d'Habitat existait au XIV siècle un comptoir de banquiers italiens appelé la « Maison des Lombards ». Des comptoirs du même du même type, indispensables à l'essor économique de la région, existaient alors dans de nombreux bourgs du voisinage, par exemple à Amance, et à fortiori, dans des centres plus importants, comme Pont à Mousson. Au XV siècle, l'édifice primitif fut remplacé par une maison forte « fossoyée tout alentour, en laquelle il y a(voit) une grosse toue quarrée, bassecour, coulombier et estables es environs et proche d'icelle ung jardin d'arbres fruitiers... ». En 1590, le duc de Lorraine donna cette maison forte au sieur de Contrisson, voué de Condé. Elle passa ensuite par mariage à la famille de Nettancourt, dont l'un des membres épousa la fille d'un autre officier local, gruyer et capitaine de Condé, d'où le nom de Capitainerie donné alors à la maison. Au début du XVIII siècle, la dame de Nettancourt transforma la vieille demeure en une résidence de campagne agréable et confortable, avec boiseries et cheminées, à l'intention de sa fille qui venait d'épouser le comte de Custine, lequel ne tarda pas à donner son nom au village. C'est ainsi que Condé devint Custine. Vendu comme bien national à la Révolution, le « château » fut morcelé entre de nombreux propriétaires. Il y en avait sept en 1830, sans compter les deux qui possédaient les « deux tours du devant ». Cet excessif morcellement entraîna la dégradation des lieux et la disparition progressive d'une bonne moitié de l'enceinte. (texte SLH) La réhabilitation de l'édifice fut confiée à SLH et c'est à juste titre que la MAISON des LOMBARDS, reçut en novembre 2009 les rubans du patrimoine.
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