224 Sorties Culturelles à Faire Autour de Bellefontaine
Toutes les sorties culturelles à faire à Bellefontaine et dans les environs. Activités, ateliers culturels et visites.
Parce que la culture, c'est comme la confiture, c'est meilleur quand on la partage ! Préparez-vous à plonger dans un océan de découvertes artistiques, historiques et musicales à Bellefontaine et dans les environs.
Toutes les sorties culturelles à faire à Bellefontaine et dans les environs. Activités, ateliers culturels et visites.
Le hautbois de Gabriel Pidoux est tel la mélodie chez Gounod : il « s'élève facilement et plane sans effort » (Paul Landormy), en particulier dans la musique de Mozart. Sous sa direction, l'Ensemble Orchestral créera la Danse des roseaux pour hautbois et ensemble à vents de Franck Natan, compositeur en résidence, dont on peut dire que la musique, comme celle de Gounod, « touche le sens d'abord, mais va jusqu'à l'âme. » Un programme pour huit à dix instruments à vent, éblouissant de fraîcheur et de vitalité !
Cette chapelle de 1850 (date visible sur le pignon) est situé sur le hameau de Granges-de-Plombières. Elle a été érigé par des propriétaire privés. Son originalité réside dans le fait, que c'est le seul édifice du canton à présenter une toiture à longs pans de laves, "sur motte de terre". Ce système de couverture était principalement utilisé à l'époque pour les annexes de ferme. Les particularités de ce mode de couverture sont l'utilisation d'une terre argileuse minutieusement tassée sur la surface extérieure de la voûte en pierre de grès. La chapelle de la Vierge des Champs se distingue en tant que construction la plus authentique parmi un groupe de treize chapelles préservées ou répertoriées dans le canton. Sept d'entre elles ont été érigées au XIXe siècle, tandis que quatre ont vu le jour entre les deux guerres mondiales. Ces édifices, principalement des chapelles votives, ont été élevés en réponse à des circonstances telles qu'une épidémie, une guérison ou un voyage. La toiture a été restaurée en 1998. Elle contient quelques statues de plâtre et des ex-voto.
L'Église de Xertigny est un emblème incontournable du patrimoine communal. Elle fut le témoin et parfois la victime des nombreux événements qui ont marqué l'histoire de notre région et du pays. La légende dit que quand Sainte Walburge s'arrêta dans la commune lors de son périple qui la menait en Allemagne, filant sa quenouille, elle laissa tomber son peloton de laine qui se mit à rouler et s'arrêta à l'endroit où fut érigée l'église. Visite libre possible tous les jours.
Juliette et Marie vous accueillent à la Xertithèque pour faire le plein de culture et vous partager leurs meilleurs conseils. Une offre documentaire de plus de 11500 documents (livres, CD, DVD, jeux de société, jeux-vidéo...), ainsi que de nouveaux services sont mis à disposition et n'attendent que vous. L'entrée est libre : seuls le prêt de documents et l'accès aux jeux-vidéo nécessitent une inscription. Celle-ci se fait à l'accueil et vous permet d'emprunter à Xertigny, à la BMI d'Epinal ainsi qu'au sein des médiathèques du réseau de la CAE. Les habitants de la CAE bénéficient de tarifs privilégiés, ainsi que les vacancier avec un abonnement découverte. Vous pouvez emprunter jusqu'à 12 documents tous confondus pour une durée de 21 jours. Une prolongation est possible sur simple demande. Il est possible de procéder à des réservations sur place auprès des bibliothécaires, ou sur le portail, après connexion sur votre compte. De nombreuses actions culturelles et numériques sont proposées à tous les publics gratuitement.
Construit à partir de 1885 sur les plans de l'architecte départemental François Clasquin, le Château abrite, depuis 1979, les services de la mairie et a conservé les témoignages d'un mode vie prestigieux. Entouré d'un vaste parc arboré, ce magnifique Château et ses dépendances vous attendent pour vous replonger dans l'univers de la famille Trivier-Champion, créatrice de la brasserie « La Lorraine », qui atteindra l'apogée de sa production entre 1890 et 1920 et fera la richesse de ses propriétaires. Ce magnifique édifice, véritable symbole de réussite sociale, permettait de mettre en avant le succès économique de la brasserie. L'entrée, particulièrement somptueuse, avait pour rôle d'impressionner les visiteurs, fournisseurs et clients de la brasserie. Dans une vitrine de bois ouvragé, fabriquée pour l'exposition universelle de 1889, (âge de la Tour Eiffel), ont été disposées des « reliques » représentatives de la grande période de prospérité de l'entreprise. De nos jours, cette splendide demeure est devenue l'Hôtel de Ville de Xertigny. L'intérieur a conservé boiseries ouvragées, dorures et marbres... Ce lieu de vie respire encore toute son authenticité. Des visites guidées sont proposées tous les jours de mai à septembre du lundi au samedi à 15h00 par l'office de tourisme de Xertigny, plus de renseignements au : 03. 29. 37. 72. 53 Le temps d'une visite, plongez dans le quotidien de la famille Trivier-Champion, riche famille de brasseurs de Xertigny !
Le coteau de la vierge surplombe Plombières-les-Bains et offre une jolie vue sur la ville. On peut y voir la petite chapelle Saint Joseph de style néo-gotique de 1858. L'intérieur est décoré par un autel en marbre et 3 statues de Sainte-Barbe et Saint-François et Notre-Dame de Plombières. Les murs sont couverts d'ex-voto remerciant la vierge pour sa protection. Sur ce coteaux on retrouve la vierge Marie protectrice de Plombières les Bains, connu sous le nom de Notre Dame des Eaux. Modelée par le lyonnais Fabish, elle est la réplique de la vierge de Fourvière. En fonte elle mesure 2, 13 mètres La présence de la Vierge Notre-Dame de Plombières s'explique par le fait que la ville a échappé aux 2 épidémies de choléra qui touchèrent la Lorraine entre 1831 et 1874. La légende dit que Les plombinois ont épargnés grâce à leurs prières. À la suite de ce miracle, ils décidèrent la construction de cette statue protectrice, le 15 août 1855. Depuis, tous les 15 août, les pèlerins, flambeaux à la main se rendent au pied de la statue. Circuit historique disponible à l'Office de Tourisme.
Situé à 15km de Remiremont, Plombières-les-Bains est une ville thermale marquée par 2000 ans d'histoire au patrimoine historique incomparable. Elle fut, dès le Ve siècle av. J.-C., le lieu d'un habitat celte. Ce sont les Romains qui, lors de la conquête des Gaules, y découvrirent des sources d'eaux chaudes et fondèrent la station. Ils édifièrent ensuite leurs constructions balnéaires afin de profiter pleinement des bienfaits du thermalisme. Ils y installèrent une piscine d'eau thermale chaude pour les soldats romains. La station fut malmenée lors des invasions barbares, mais renaît à partir du Moyen Âge. Au fil des siècles, d'illustres curistes vont s'y succéder : les ducs de Lorraine, bien sûr et leurs cousins les ducs de Guise mais aussi Montaigne, Louis XV de France et sa famille, Voltaire, Beaumarchais (la première de son célèbre « Mariage de Figaro » eut lieu à Plombières), Napoléon Bonaparte, Joséphine et Hortense de Beauharnais, Napoléon III, Berlioz, Lamartine ou encore Alfred de Musset et même Maupassant, Feydeau, Alexandre Dumas fils... sont venus guérir leurs maux aux eaux de Plombières. Aujourd'hui ville coquette et animée, Plombières est la station thermale bimillénaire qui soigne les affections intestinales et rhumatismales de mars à novembre. Dans un cadre authentique et historique, le centre spa balnéo romain Calodaé, offre toute l'année tous les plaisirs de se ressourcer et d'être en harmonie avec son corps. Située dans une vallée accrochée aux coteaux, c'est une ville aux rues étroites qui lui donne une ambiance toute particulière. L'aspect pittoresque repose sur ses maisons d'époque XVIIIe - XIXe parées de détails architecturaux et balcons en fer forgé, fonte moulée voir en bois. Plombières est appelée la ville aux mille balcons. D'ailleurs on compte un 1001ème balcon tout aussi insolite et unique : les Jardins en terrasses. Des vues imprenables sur la vallée sont à admirer depuis le Coteau de la Vierge.
Les Jardins en Terrasses, un des sites incontournables des Vosges méridionales ! Jardins uniques, à la fois lieu de vie et scène de plein air, endroit de détente et de découvertes, ses terrasses sont prétextes aux nombreuses animations qui jalonnent l'année. Arpentez le sentier pieds-nus et laissez-vous surprendre par ce potager atypique. Inspirez-vous du savant mélange de fleurs flirtant avec des légumes, les sculptures, les objets détournés. Renouez avec la simplicité et l'authenticité d'un lieu convivial. Entrée libre. D'avril à septembre, vente des produits des jardins au Chalot en semaine de 13h30 à 19h00 pendant les vacances scolaires, et les week-ends et jours fériés hors vacances de 13h30 à 19h00.
Situé entre l'Augronne et le ruisseau Saint-Antoine, le site à toujours été occupé par des entreprises. La premières à s'être installée ici, à la fin du 16ème siècle, est la papeterie de Monsieur François Parisot. Après l'inondation de 1770, la manufacture va passer entre différentes mains jusqu'à arrivée dans celles de Beaumarchais, en 1780, qui va entreprendre de nombreux travaux. En 1839, l'entreprise devient une usine de porcelaine qui utilise le Kaolin de la vallée des Roches situé au Val d'Ajol. L'entreprise va être incendier le 23 avril 1842. Profitant de sa reconstruction, la manufacture fabrique désormais des couverts sous l'impulsion de son nouveau propriétaire, André Hildebrand, . Pour accueillir les manutentions maîtres, un quartier ouvrier est construit à proximité de l'usine lors de la 2ème moitiés du 19ème siècle par Victor puis Albert de Pruines. On va rapidement voir sortir de terre de nouveaux ateliers de fabrication, des logements de contremaitre et d'ouvriers. La ligne de chemin de fer est rallongée pour relier l'usine au train. Le site prend officiellement de Pruines en 1960. Malheureusement elle fermera ses portes dans les années 80 et détruite en 1996. Seul une cheminer et un atelier vont être conservé.
Ce lavoir est situé au passage Duc Henry II, avenue Duc Léopold. Il fut érigé au 19ème siècle, et a été placé sous la protection de la Croix de Mission qui symbolise la marque du christianisme et le sacre de l'eau. La mise en place de ce type de croix est souvent lié à la générosité des paroissiens.
La Rue Stanislas est l'artère principal de Plombières-les-Bains. Elle est au coeur de l'histoire de Plombières en abritant de nombreux monument comme des bains ou des hôtels. La rue a également spectatrice d'évènement qui aurait pu changer en profondeur la France comme la chute de l'impératrice de son balcon. La rue n'a pas toujours cette aspect. Au 18ème siècle, à la suite du déluge Sainte-Anne, qui va inonder, la cité, un nouveau plan d'urbanisme va être mis en place. Désormais, on va aligner les maisons entre elles et les aménager de balcons, à partir de 1860, décorés de fleurs de lys, de courbes et d'arabesques. Ces magnifiques balcons qui permettent de voir tout en étant vu, vont devenir le symbole de plombières, La ville aux 1000 balcons.
La chapelle est située au Clos des Deux Augustins, anciennement appelé Hospice des Deux Augustins (1891). Auparavant ce bâtiment abritait l'hôpital thermal. En 1936, la chapelle est pourvue d'un décor intérieur suivant des dessins de Franck Danis, fils de l'architecte Robert Danis, qui est intervenu dans différents bâtiments thermaux de la ville (buvette thermale, calodaé...) La Chapelle est inscrite à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.
La place Napoléon 3 à été aménager à la demande de l'Empereur pour construire l'Eglise Saint-Amé Saint-Blaise. L'esplanade commémore, par une double stèle en bronze, la rencontre secrète entre Napoléon 3 et Cavour, ministre du Piémont-Sardaigne. « L'Entrevue de Plombières » a eu lieu le 21 juillet 1858 dans le Pavillons des Princes, où va se dessiner l'Italie moderne.
Notre-Dame de Plombières ou Notre-Dame des Eaux, protège Plombières depuis 1855. La légende raconte que grâce à leur dévotion, les plombinois ont été épargné lors des deux épidémies de Choléra entre 1831 et 1874. La statue, en fonte a été sculpté par le Lyonnais Fabish, à qui l'on doit également Notre-Dame de Fourvière. Depuis sont installation, tous les 15 août, une procession à lieu à plombières, flambeau à la main.
Stanislas Leszcynski, dernier duc de Lorraine venait régulièrement à Plombières-les-Bains. Il fit construire le Palais Royal en 1761-1762, pour y accueillir ses petites filles : Adélaïde et Victoire, filles de Louis XV. La façade, le grand escalier, la rampe et la grille de la source du crucifix sont classés monuments historiques. Les ferronneries sont l'oeuvre d'André Gillot, élève de Jean Lamour tout comme celle de la Fontaine dite Source du Crucifix. (il a également conçut les grilles de la place Stanislas à Nancy). Le blason de Stanislas orne la façade. Aujourd'hui le Palais Royal se nomme la maison aux arcades et les cinéphiles auront reconnu un des lieux de tournage de la série "Les combattantes" !
On dit de Plombières-les-Bains que c'est la ville aux 1000 balcons, le "balcon de Joséphine", situé au n4 de la rue Stanislas, est sans aucun doute celui dont l'histoire est la plus étonnante ! Joséphine de Beauharnais femme de l'Empereur Napoléon 1er venait régulièrement en cure à Plombières-les-Bains et logeait dans cette maison. Un jour où elle recevait 3 amis, ils attendirent un bruit dans la rue. Par curiosité, ils se précipitèrent sur le balcon... qui malheureusement céda sous leurs poids. Joséphine fut contusionnée par la chute et reçu des soins afin de calmer la douleur.
Le nom de la Place des Bains Romains commémore les origines de la ville. Selon la légende, une garnison de soldats romains se reposaient non loin de là. Un soir où il faisait très froid, leur chien est revenu trempé et fumant. Comprenant qu'il venait de se baigner dans des eaux chaudes, les soldats vont ordonner à l'animal de leurs montrer la source. C'est ainsi que les eaux thermales vont être découvertes et que Plombières va être fondée. Encore aujourd'hui, de nombreuses installations mise en place à l'époque romaine sont utiliser, comme le système pour détourner les eaux, les piscines, et même un robinet en bronze.
L'église Saint-Amé a été inaugurée pour l'Assomption en 1860 et fut consacrée 3 ans plus tard. Elle est dédié à Saint Amé de Remiremont, saint fondateur du Saint-Mont, et Saint-Blaise A l'intérieur, l'aménagement et l'ameublement date de 1905. L'église précédente construite à la fin du 14ème siècle. était une chapelle rattachée à un hôpital. Elle servit 3 siècles d'église paroissiale. Une deuxième église, de taille modeste, lui succéda en 1729. Comme elle était trop petite en période estivale pour accueillir tous les curistes, il était donc nécessaire de la remplacer. C'est pourquoi en 1858, de grands travaux débutèrent selon les plans de l'architecte Léon-Charles Grillot, soumis à l'examen du célèbre architecte Eugène Viollet-le-Duc. Cette nouvelle reconstruction est d'abord contestée par les habitants du quartier qui jugent ses travaux trop coûteux. C'est donc l'empereur Napoléon 3 qui rendra la décision et financera en partie les travaux qui se termineront en 1863. Elle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1995 après le classement de l'ensemble de son mobilier en 1982.
Elle se situe dans la rue Stanislas, au rez-de-chaussée du bâtiment appelé "Maison des Arcades ou Palais Royal". La source du Crucifix, visible au rez-de-chaussée, derrière la grille, servait dans un premier temps à alimenter le bain du « chêne » aujourd'hui disparu. Puis, à partir de 1614, les fontaines ont été utilisées pour boire. Malheureusement, aujourd'hui, cette fontaine n'est plus alimentée par l'eau de la source. La grille de la source du crucifix est classée monument historique, elle a été réalisé par André Gillot, élève de Jean Lamour qui a fait les grilles de la place Stanislas à Nancy. Les plaques en marbres ont été mise en place après la mort de Stanislas Leszczynski pour l'honoré.
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