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171 Sorties Culturelles à Faire Autour de Bar le Duc

Toutes les sorties culturelles à faire à Bar le Duc et dans les environs. Activités, ateliers culturels et visites.

171 Sorties Culturelles à Faire Autour de Bar le Duc
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BAL COUNTRY

BAL COUNTRY

Avec le soutien de la ville, comme chaque année, l'association country de Bar-le-Duc organise un bal avec orchestre. Ouvert à tous pour le plaisir d'écouter la musique country ou pour la danse. Les clubs du Grand Est sont présents (environ 150 personnes). Places assises sur réservation pour tarif réduit jusqu'au 15 octobre, sinon tarif plein. Petite restauration salée et sucrée.

LE QUARTIER DE LA COTE SAINTE-CATHERINE

LE QUARTIER DE LA COTE SAINTE-CATHERINE

Bien avant les immeubles du projet de la Côte Sainte-Catherine, des vignes occupaient le coteau depuis le XIIe siècle jusqu'au XIXe siècle. Les premiers bâtiments sont construits dès 1964 et sont une réponse à la crise du logement engendrée par le « baby boom » après la Seconde Guerre Mondiale. Cet ensemble est soumis à un plan de conception neuve qui favorise un logement égalitaire comme le préconisait Le Corbusier. A partir des années cinquante, les grands ensembles connaissent un essor important dû à l'apparition des moyens de transport mécaniques et au besoin urgent de créer des logements décents. Optimiser l'espace de la ville devenant donc primordial pour un développement organisé, le maire Pierre Marizier fait adopter en 1953 un plan d'urbanisme qui comprendra plus tard le projet de la Côte Sainte-Catherine. C'est à l'architecte et urbaniste Lanfranco Virgili, élève de Le Corbusier, que ce dernier est confié. D'importants travaux de terrassement sont effectués pour viabiliser le terrain. Les couleurs favorisent l'horizontalité, ce qui, combiné à la faible hauteur des constructions, permet d'intégrer l'architecture à la nature. Les espaces sont organisés de façon compartimentée selon la fonction, comme par exemple la hiérarchisation du réseau de circulation suivant la fréquentation. Dans les logements, les pièces de vie sont orientées vers le Sud de manière à privilégier l'ensoleillement. La construction en petites unités est donc nécessaire pour répondre à ces besoins qui visent à améliorer le confort et le quotidien. Autour des bâtiments, des espaces verts (aussi appelés espaces de loisirs) sont établis en proportion importante : 15 m² par habitant en 1975. De nombreuses infrastructures sont comprises dans le projet, tels le centre commercial, le centre social, les groupes scolaires, etc. L'emplacement de l'hôpital est également prévu dès l'origine du programme.

LES HÔPITAUX

LES HÔPITAUX

En septembre 1914, Bar-le-Duc échappe de peu à l'invasion allemande et à des combats qui auraient pu être destructeurs. Après la bataille de la Marne, le front se stabilise à une cinquantaine de kilomètres plus au nord, au niveau de Verdun. Bar-le-Duc devient dès lors, et pour quatre ans, une ville d'arrière-front. Elle fait le lien entre la France de l'arrière et le front tout proche. Vous êtes à l'entrée de l'ancien hôpital-hospice de Bar-le-Duc, face au bâtiment qui accueille aujourd'hui l'Office de Tourisme. Dès l'automne 1914, cet hôpital n'est pas assez grand pour recevoir tous les soldats blessés acheminés du front. L'Armée installe donc plusieurs hôpitaux dans la ville, notamment au Lycée, à l'École normale de filles (actuel Hôtel du Département), dans le Pensionnat Jeanne d'Arc (rue Voltaire) et dans les casernes, vides de troupes, qui offrent à elles seules 3 500 lits. Tous sont utilisés à plein en 1916, pendant la bataille de Verdun. Plusieurs associations, sous l'emblème de la Croix-Rouge, et de nombreuses Barisiennes, apportent leur concours au personnel militaire. Des infirmières écossaises interviennent également comme celles qui figurent sur cette photo. Le plus souvent, les soldats blessés sont transférés à Bar-le-Duc par les trains sanitaires du « Meusien », un réseau de chemin de fer à voie étroite. À leur arrivée en gare, ils offrent un terrible spectacle de blessés, de mourants et de morts. Les blessés les moins graves ne font que passer dans les hôpitaux de la ville avant d'être envoyés à l'arrière. Les autres séjournent plus longtemps à Bar-le-Duc mais, pour beaucoup, l'issue est fatale. Un cimetière militaire doit être spécialement aménagé. Il comptera près de 3 000 tombes à la fin de la guerre.

L'ÉGLISE NOTRE-DAME

L'ÉGLISE NOTRE-DAME

XI-XVIIIe siècles Plus ancien édifice religieux de la ville, l'église Notre-Dame fut également sa seule église paroissiale jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Remaniée à plusieurs reprises, elle était pourvue d'une flèche incendiée par la foudre en 1619. Une nouvelle tour surmontée d'un dôme fut édifiée à partir de 1728. Fondé par la comtesse Sophie en 1088 à l'emplacement d'un premier sanctuaire dédié à la Vierge, le prieuré Notre-Dame dépend alors de la riche abbaye de Saint-Mihiel. Une charte de l'évêque de Toul fixe les relations entre les moines et les habitants. Le prieur est ainsi nommé curé de la paroisse, tandis qu'un vicaire assure le quotidien de la vie paroissiale. L'histoire de l'église est émaillée de nombreux conflits d'intérêts entre le prieuré et la ville. À la Révolution française, le bâtiment est transformé en temple de la Raison avant de retrouver sa vocation première en 1802. Construite sur quatre siècles, l'église Notre-Dame cumule les styles architecturaux. Du premier édifice roman ne restent qu'une travée du collatéral nord et les lourdes piles quadrangulaires qui supportaient des tours clochers. La longue flèche qui surmontait la tour sud fit la célébrité de l'édifice jusqu'à sa destruction par un incendie le 14 mars 1619. Sur le modèle de l'abbatiale de Saint-Mihiel, le plan présente un double transept permettant un accès dégagé au choeur. Celui-ci est bâti au XIIe siècle dans un style gothique aux influences champenoises indéniables. Le duc Robert le Magnifique fait reconstruire la nef en 1383 et plusieurs chapelles latérales complètent l'ensemble aux siècles suivants. La tour porche située dans l'axe de la rue Bar-la-Ville remplace un premier édicule bâti sous le duc Robert. Avec la façade occidentale, cet ensemble architectural, conçu par le moine architecte Nicolas Pierson, introduit un vocabulaire ornemental classique : pilastres, balustrades, dôme. Le haut-relief de l'Assomption de la Vierge, dû au ciseau du sculpteur Louis Humbert, surmonte le porche d'entrée depuis 1751. À l'intérieur, plusieurs oeuvres d'artistes locaux (Ligier Richier, Jean Crocq, Louis Yard) nous renseignent sur la richesse artistique du duché. Des bâtiments conventuels (cloître, jardins, lieux de vie des moines) organisés autour de l'église ne subsiste qu'une partie transformée en hospices civils à partir de 1812. Un square remplace le cimetière paroissial qui jouxtait l'église à l'Est

CATURIGES ET LES ORIGINES DE LA VILLE

CATURIGES ET LES ORIGINES DE LA VILLE

Hormis quelques vestiges celtes antérieurs, les témoignages d'une occupation du site de Bar-le-Duc datent du Ier siècle de notre ère. Fondée sur la rive droite de la rivière Ornain, Caturiges n'est alors qu'un relais de poste gallo-romain - une "statio" - sur la route de Reims à Toul, au coeur du territoire des Leuques. La voie prétorienne qui traverse Caturiges correspond au tracé de l'actuelle rue des Romains. Attestée dans les textes par la table de Peutinger, grande carte de géographie des itinéraires de l'Empire romain au IIe siècle, Caturiges tire sans doute son nom de la divinité gauloise de la guerre « Caturix ». Elle se développe sur un axe de passage au fond de la vallée de l'Ornain. Constituée d'une maison de poste (mutatio), d'une hôtellerie (mansio) et de quelques maisons d'artisans et de commerces, l'agglomération s'installe autour d'une dérivation du Naveton. Les fouilles archéologiques menées dans ce quartier lors des grands chantiers du XIXe siècle (chemin de fer, canal) ont mis au jour de nombreux objets conservés depuis lors au Musée barrois : monnaies, statuettes, stèles funéraires... Alors que Nasium - la plus grande cité gallo-romaine de la civilisation leuque -perd peu à peu de son importance, la petite bourgade s'étend vers l'amont et prend le nom de Barrivilla au Haut Moyen Âge. Au moment de sa christianisation, un premier sanctuaire, rattaché au diocèse de Toul, s'élève dans ce faubourg. Après le passage dévastateur des Huns en 451, la ville mérovingienne croît et s'étend de part et d'autre de l'Ornain créant un nouveau quartier accolé à la colline de Bar : le Burgum Barri. En aval, le quartier de Couchot, coeur de l'ancienne Caturiges, tire son nom de sa situation à l'Ouest, au couchant de la ville actuelle.

LE LYCÉE RAYMOND POINCARÉ

LE LYCÉE RAYMOND POINCARÉ

1856 - 1857 Construit pour succéder au collège Gilles de Trèves, fondé au XVIe siècle et devenu trop exigu, le « lycée impérial » est inauguré le 26 octobre 1857. Disposés autour d'une cour fermée, les bâtiments peuvent alors accueillir trois cents élèves, des petites classes à la terminale. Agrandi à plusieurs reprises, il regroupe aujourd'hui un lycée et un collège. Dès le début du XIXe siècle, les élèves sont trop à l'étroit dans les bâtiments du prestigieux collège Gilles de Trèves. Par décret, Napoléon III érige le collège en lycée en 1854 et la construction de nouveaux bâtiments est décidée. Le chantier est confié à l'architecte départemental Charles Démoget qui donne à l'établissement une architecture très classique, sur un plan quadrangulaire. Dans l'axe du porche, surmonté d'un fronton triangulaire et flanqué de colonnes d'ordre corinthien, se trouve l'ancienne chapelle du lycée. À partir des années 1950, l'accroissement des effectifs rend nécessaire la construction de nouveaux bâtiments : internat, salles de cours, gymnase et terrains de sport constituent aujourd'hui la cité scolaire Raymond Poincaré. Au cours de chaque guerre entre la France et l'Allemagne, le lycée joua un rôle primordial. En 1870 comme pendant la Première Guerre Mondiale, le lycée fut occupé par un hôpital militaire. En 1914, l'établissement fut également le siège de l'État-major, tout en continuant à accueillir des élèves. Sous le porche, une plaque honore tous les élèves morts pour la France, notamment au cours de la Grande Guerre. Depuis sa création, le lycée de Bar-le-Duc a accueilli de nombreux élèves devenus ensuite célèbres, dont l'académicien Louis Bertrand, le graveur Paul Lemagny ou le président Raymond Poincaré,dont le lycée prend le nom un an après son décès, en 1935.

UN LYCÉE DANS LA GUERRE

UN LYCÉE DANS LA GUERRE

Pendant la guerre, le Lycée National, l'actuel Lycée Raymond Poincaré, voit une grande partie de ses locaux réquisitionnés par l'autorité militaire qui y implante à la fois un hôpital et la « Direction des Étapes et des Services » de la IIIe Armée. Ce service, dirigé par un général, est chargé d'organiser le transfert des troupes, des vivres et des munitions entre l'arrière et le front. Son action est capitale durant la bataille de Verdun, en 1916. À aucun moment, la vie scolaire n'est interrompue. Le proviseur, M. Chemin, et le censeur, M. Franquin, organisent avec sang-froid l'internat et l'externat au milieu du va-et-vient des officiers, des soldats, des infirmières, des médecins et des blessés. Les cours sont assurés pour un effectif amoindri : moins de 100 élèves en 1916 contre 250 en temps normal. Lors des alertes, les lycéens, leurs professeurs et le personnel se réfugient dans les caves puis les cours reprennent... Durant quatre ans, le lycée de Bar-le-Duc s'adapte donc aux dures réalités de la guerre. 153 anciens élèves tombent au champ d'honneur. Leurs noms figurent sous le porche d'entrée du lycée, sur une plaque inaugurée en 1921 par Raymond Poincaré.

LA PLACE EXELMANS

LA PLACE EXELMANS

Aménagée sur l'ancienne place de l'Abattoir, la place prend le nom de Remy-Joseph-Isidore Exelmans en 1874. Rebaptisée place Thiers entre 1878 et 1901, elle reprend son nom après la mise en place de la statue d'Émile Peynot rendant hommage au maréchal natif de la rue Bar-la-Ville toute proche. Dans la lignée des restructurations urbaines engagées par le baron Haussmann à Paris, une place de forme régulière, flanquée sur un côté d'immeubles collectifs, est aménagée en 1858 sur la rive droite de l'Ornain. L'abattoir aux porcs, qui occupait cet espace auparavant, est alors transféré rue du Port puis chemin de Popey. La Caisse d'Épargne s'installe dans un nouveau bâtiment en 1907 sur le côté Est de la place. Il est l'oeuvre de Charles Royer, également auteur de la façade de la préfecture, et s'inscrit dans le courant historiciste de la fin du XIXe siècle. À l'image de la façade de la préfecture donnant place Reggio, les hauts toits d'ardoise aux cheminées monumentales et percés de lucarnes, les frontons et les fenêtres à meneaux caractérisent le style néo-Renaissance. De chaque côté, deux inscriptions rappellent l'importance donnée par l'institution à l'épargne et au travail. Le sous-équipement sanitaire des particuliers, lié à un souci d'hygiène croissant, entraîne la construction de bains-douches privés et publics. Charles Royer construit ainsi un établissement privé quai Sadi-Carnot (actuelle Chambre de Métiers) en 1888, tandis que la Caisse d'Épargne achète deux maisons place Exelmans pour y ériger une deuxième centre hydrothérapique en 1914, oeuvre d'Edmond Royer. Il rencontre un grand succès, rendant nécessaire son extension en 1933. En 1945, il ferme et est transformé en accueil des jeunes puis en centre médico-psychologique. Située à l'origine au centre de la place, la statue réalisée en 1898 par Émile Peynot, secondé par son élève Léon Roussel, rend hommage au Maréchal Exelmans (1775-1852). Ce dernier est représenté debout, en tenue d'apparat, la main sur la garde de son épée. Les inscriptions gravées sur le piédestal relatent ses services militaires. La Renommée de bronze qui ornait la partie basse du socle fut fondue en 1941.

LE PONT NOTRE-DAME

LE PONT NOTRE-DAME

XIVe siècle Passage obligé entre le quartier de Barriville et celui du Bourg, le pont Notre-Dame ou Grand Pont fut pendant longtemps le seul à franchir l'Ornain. Pivot entre deux quartiers, de nombreuses maisons surmontaient jusqu'au XVIIIe siècle ses cinq arches en pierre de taille. La statue qui orne sa chapelle a survécu aux bombardements de la Seconde Guerre Mondiale. Primitivement construit en bois, la date de 1311 inscrite plus tard sur une des piles du pont nous renseigne sur le moment de sa construction. Comme dans toutes les villes d'alors, les habitations construites en encorbellement au-dessus de la rivière permettent d'augmenter la place disponible et créer une artère commerçante animée. Après le Siècle des Lumières, dans un souci d'hygiène, ces maisons sont petit à petit détruites. Les dernières ont dispau cours du XXe siècle. Afin de faciliter la circulation, le tablier en dos d'âne est abaissé en 1883 puis élargi. Sur la pile centrale d'amont est bâtie une chapelle, dédiée à sainte Anne puis à la Vierge après 1645. Plusieurs fois reconstruite, toujours sur un plan hexagonal, elle était une étape pour les différentes processions dans la ville. Elle abrite une statue de la Vierge réalisée par François Humbert au milieu du XVIIe siècle. Cette dernière provient d'une des portes des anciens remparts de la ville. Les vitraux des années cinquante représentant sainte Anne et la Vierge à gauche et saint Joachim à droite sont dû au maître verrier nancéen Benoît. Jusqu'à la construction du canal de la Marne au Rhin, l'Ornain est une rivière tumultueuse où la navigation ne peut se faire qu'en aval de la cité ducale. Les matières pondéreuses comme le bois qui arrivent des montagnes vosgiennes par flottage sont hissées sur des bateaux peu après le passage du pont, au niveau de la rue du Port. Afin de protéger sa structure des coups portés par les grumes, les piles du pont sont renforcées par des becs. Comme tous les autres, le pont Notre-Dame fut détruit en 1944, à l'exception de sa pile centrale.

LE RAVITAILLEMENT DU FRONT

LE RAVITAILLEMENT DU FRONT

De 1914 à 1918, Bar-le-Duc est une ville « d'arrière-front ». C'est l'expression qui sera employée lors de la remise de la Croix de Guerre à la Ville en 1920. Bar-le-Duc occupe effectivement une position charnière entre l'arrière et le front. Par elle, transitent soldats, matériel et approvisionnements en vivres et en munitions destinés aux combattants du secteur de Verdun. Les ressources venues de l'arrière sont d'abord regroupées à Saint-Dizier, à 25 km au sud-ouest de Bar-le-Duc et à la gare de Baudonvilliers, tout près de là, avant d'être acheminées à Bar-le-Duc par le train, via Revigny, ou par la route. De Bar-le-Duc à Verdun, deux voies de communication jouent ensuite un rôle capital : la petite ligne de chemin de fer dite « le Meusien » et, surtout, la route Bar-le-Duc-Verdun, qui sera bientôt connue sous le nom de « Voie sacrée ». Pour la première fois, une route est réservée à la circulation automobile. Elle devient très vite un véritable cordon ombilical. Une commission militaire la gère à la fois de façon draconienne et très efficace. Dès le premier mois de la bataille, 800 camions de troupes et 600 camions de munitions et de matériel partent chaque jour pour Verdun. Cette réussite logistique est l'un des facteurs qui a permis aux soldats de Verdun de tenir bon. La place Exelmans, où vous vous trouvez, servait alors de parc de camions. Des véhicules étaient prêts à monter sur Verdun et à en revenir avec des troupes relevées du front et des blessés.

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LES BOMBARDEMENTS

LES BOMBARDEMENTS

Si la ville échappe de peu, en septembre 1914, à l'invasion allemande, elle subit néanmoins, pendant la guerre, des pertes humaines et des destructions. Elles sont causées par les bombardements aériens opérés par l'ennemi. Quelques bombes sont lancées en 1915, sans provoquer de gros dégâts. En 1916, le premier bombardement a lieu le 21 février, le jour même du début de l'offensive allemande sur Verdun. Une quinzaine d'autres se succèdent jusqu'à la fin de la guerre. Le plus destructeur a lieu dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre 1917. 90 bombes sont lancées sur la ville. Le vaste pâté de maisons situé face à vous, entre la rue du Cygne et l'Ornain, est anéanti. Sur la photo, on voit cet espace réduit à l'état de ruines, dominées au loin par le clocher de l'église Notre-Dame. Après la guerre, un grand magasin (« Dumas et Pinguet ») est construit à l'angle de la rue, dans le style « Art Déco ». Les initiales des propriétaires (d. P.), en céramique, ont été conservées sur la façade. En 1944, une bombe détruit son dôme, qui ne sera jamais reconstruit. Après 1987, l'immeuble a été transformé pour accueillir des petits commerces et des appartements. Les bombardements aériens font également de nombreuses victimes : au moins 80 morts et 150 blessés tant militaires que civils. Le plus meurtrier a lieu le 1er juin 1916, jour de l'Ascension. Par un temps splendide, 16 avions lâchent 80 bombes, essentiellement sur le centre de la ville, faisant 59 morts dont 39 militaires et de très jeunes enfants.

FESTIVAL WATTS À BAR

FESTIVAL WATTS À BAR

Le festival Watts à Bar est aujourd'hui reconnu comme LE RENDEZ-VOUS majeur des musiques actuelles et amplifiées du département, lui-même accompagné par ses nombreux stands ! A l'affiche de cette 13ème édition : - Vendredi 23/08 : Tagada Jones / La Ruda / Bob's Not Dead / Les Garçons Bouchers / Didier Super & Discount / + un groupe local en ouverture et un autre groupe d'envergure nationale. - Samedi 24/08 : Soom T / Alborosie & The Shengen Clan / Skarra Mucci / DJ Vandal / Matt & Brillant / Raavni / + un groupe local en ouverture et un autre groupe d'envergure nationale.

LA PROPRIÉTÉ VARIN-BERNIER

LA PROPRIÉTÉ VARIN-BERNIER

La propriété des banquiers Varin-Bernier comprend l'actuel château de Marbeaumont, les communs (incendiés par les Allemands en 1944), la maison du concierge, la maison du jardinier et le parc magnifiquement arboré (avec pièce d'eau, jardin, potager et petit étang). En mai 1946, elle est vendue à la ville de Bar-le-Duc en présence du maire, Jean Jeukens. Le château et son parc forment une propriété indissociable. L'acte de vente indique : o l'interdiction de morceler la propriété de12, 69 hectares ; le parc était déjà coupé par le chemin des Polkas (actuelle rue Jean-Bernard) qui le divisait en deux parties reliées par un passage souterrain ; o l'interdiction de vendre la propriété à des personnes qui n'auraient pas l'intention de l'utiliser dans l'intérêt général de la population barisienne ; o la préservation du caractère artistique de la propriété et affectation à des fins sociales...une partie sera réservée à un terrain de sport. Dans les années 1948-1950, la création du stade, la canalisation et la couverture partielle du Naveton, la création des différents terrains de sport, la construction des vestiaires et des tribunes entraînent l'assèchement de l'étang ainsi que la disparition d'un lavoir. De son ancienne destination, il reste, derrière les tribunes, le château d'eau, daté de 1897, qui alimentait en eau la première habitation du banquier, les communs et les écuries ; son fonctionnement était basé sur le principe du bélier hydraulique. À côté, la cascade du Naveton est la plus ancienne trace du moulin à grains de Marbot, propriété des chanoines de Saint-Maxe au XVe siècle, devenu ensuite filature de coton au XIXe siècle, vermicellerie, compasserie, distillerie et scierie à la fin du XIXe siècle. Le stade prend le nom de Jean Bernard (maire de Bar-le-Duc de 1970 à 1995) le 29 juin 2010.

LE MONUMENT DES MICHAUX

LE MONUMENT DES MICHAUX

XVIIIe et XIX e siècles- A l'emplacement d'une ancienne fontaine, un monument élevé en 1894 par souscription publique honore la mémoire des Barisiens Pierre et Ernest Michaux, inventeurs et propagateurs du vélocipède à pédales. Ce monument marque également l'entrée du quartier du Bourg. Un enfant joufflu représentant le génie du vélo, placé devant un vélocipède, vante l'invention de la pédale par les Michaux père et fils en 1861, permettant ainsi au cycle d'évoluer de la draisienne vers le vélocipède. Malgré l'inscription apocryphe, l'avènement du cyclomoteur au XXe siècle ne doit rien à ces Barisiens, anciens réparateurs de fiacre reconvertis dans le commerce de ce nouveau moyen de locomotion. Conçu par Édouard Houssin, l'ensemble sculpté en bronze fut fondu en 1942 et restitué peu après la Seconde Guerre Mondiale. Le monument commémoratif remplace une fontaine édifiée en 1756 pour pourvoir aux besoins de ce quartier. Venant des sources de Popey, l'eau sera néanmoins déclarée dangereuse à la consommation et interdite en 1781. Une pompe alimentée par un puits permit toutefois aux habitants de trouver de l'eau à cet emplacement jusqu'au XIXe siècle. Cet ensemble bâti dans un angle incurvé présente une structure classique associant pilastres ioniques, niche à coquille, cartouche rocaille et fronton triangulaire. Ouvrant sur la rue du Bourg, le monument est construit à l'emplacement d'un ancien bastion qui protégeait une des trois entrées de ce quartier au Moyen Âge. Des fossés alimentés en eau par une dérivation du canal des Usines étaient franchis au moyen d'un pont-levis. La tour carrée qui le surmontait appartenait à l'enceinte fortifiée de la cité. Comme toutes les fortifications de la ville, ce complexe défensif disparut sur ordre de Louis XIV en 1670.

SPECTACLE DE CIRQUE - OUT OF THE BLUE

SPECTACLE DE CIRQUE - OUT OF THE BLUE

Se jouant de la gravité, deux circassiens s'immergent dans un aquarium géant pour inventer sous nos yeux une toute nouvelle discipline de cirque ! Sous l'eau, ils composent des mouvements quasi lunaires, font naître des images irréelles, dessinant un ballet aquatique qui tient tout bonnement de la rêverie... Apnéistes aguerris, plongeurs et nageurs saisissants, Frédéri Vernier et son complice Sébastien Davis-VanGelder nous offrent un spectacle comme on n'en a jamais vu ! Une heure de bonheur au pays des sirènes. (dès 6 ans)

SPECTACLE - PLANÈTES

SPECTACLE - PLANÈTES

En explorant les cycles solaires et lunaires, au fil d'une traversée chorégraphique chantée pour huit danseuses et danseurs et deux chanteuses, "Planètes" fixe l'horizon et s'invente en suivant la révolution de ces deux astres à l'échelle du cosmos. La danse et le chant sont en étroite corrélation, les répétitions et les déclinaisons des motifs produisent une obsédante combinaison de gestes et de rythmes, une circulation de voltes et de spirales qui se poursuit comme la course elliptique des astres... Voyage inter-sidéral entre danse et musique ! La nouvelle création de Jérôme Brabant fait le pari du cosmos pour nous hisser au niveau des étoiles.

LIVE ELECTRO - CABARET CONTEMPORAIN

LIVE ELECTRO - CABARET CONTEMPORAIN

Faire surgir la force d'un live électro avec des instruments acoustiques, c'est l'expérience que mène Cabaret Contemporain depuis 2012. Sur scène, ils confirment leur réputation de « boîte à rythme géante ». Guitare, batterie, piano et contrebasses... C'est à la sueur de leur front qu'ils restituent l'énergie de la dance music ! Le groupe s'est donné pour défi de jouer ses sets techno d'un trait, sans pause aucune, faisant preuve d'une intense présence physique qui rivalise avec la qualité sonore des meilleurs ensembles de percussions et la puissance de la musique d. J. Un concert qui s'annonce électrisant !

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