Enfin le Week-End ! Découvrez toutes nos idées de sorties et visites à faire ce week-end à Bar le Duc et à proximité. 202 activités et événements à venir.

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202 Sorties et Visites à Faire ce Week-End à Bar le Duc

Chaque semaine, retrouvez une liste complète d'idées de sorties, de visites, d'activités mais aussi l'agenda du week-end à Bar le Duc et alentours.

202 Sorties et Visites à Faire ce Week-End à Bar le Duc
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ÉMISSION CO-ANIMÉE - CULTIVEZ L'HUMOUR !

ÉMISSION CO-ANIMÉE - CULTIVEZ L'HUMOUR !

Apportez nous votre culture, faites-nous profiter de votre humour le temps d'une matinée au Milk Bar du Centre Socioculturel de la Côte. Participez ou co-animez, le rire peut guérir, la culture fait grandir ! NOUVELLE FORMULE : 10h-11h : cultivez l'humour ! puis 11h-12h : enregistrement de l'émission "radio de quartier" avec Meuse FM (citations et échanges sur des sujets du moment choisi par les habitants). Entrée gratuite.

MINI-GOLF O CLUB GOURMAND

MINI-GOLF O CLUB GOURMAND

Pont Notre-Dame, borne de la Voie Sacrée ou encore Tour de l'Horloge, venez découvrir les monuments emblématiques miniatures de Bar-le-Duc tout en vous amusant. Ce parcours de 18 trous séduira petits et grands pour un moment de détente au coeur d'un site ombragé. Tarif enfant 5 EUR (jusqu'à 11 ans), adulte 6 EUR. Après le parcours, une pause goûter s'impose O Club Gourmand !

LE QUARTIER DE LA COTE SAINTE-CATHERINE

LE QUARTIER DE LA COTE SAINTE-CATHERINE

Bien avant les immeubles du projet de la Côte Sainte-Catherine, des vignes occupaient le coteau depuis le XIIe siècle jusqu'au XIXe siècle. Les premiers bâtiments sont construits dès 1964 et sont une réponse à la crise du logement engendrée par le « baby boom » après la Seconde Guerre Mondiale. Cet ensemble est soumis à un plan de conception neuve qui favorise un logement égalitaire comme le préconisait Le Corbusier. A partir des années cinquante, les grands ensembles connaissent un essor important dû à l'apparition des moyens de transport mécaniques et au besoin urgent de créer des logements décents. Optimiser l'espace de la ville devenant donc primordial pour un développement organisé, le maire Pierre Marizier fait adopter en 1953 un plan d'urbanisme qui comprendra plus tard le projet de la Côte Sainte-Catherine. C'est à l'architecte et urbaniste Lanfranco Virgili, élève de Le Corbusier, que ce dernier est confié. D'importants travaux de terrassement sont effectués pour viabiliser le terrain. Les couleurs favorisent l'horizontalité, ce qui, combiné à la faible hauteur des constructions, permet d'intégrer l'architecture à la nature. Les espaces sont organisés de façon compartimentée selon la fonction, comme par exemple la hiérarchisation du réseau de circulation suivant la fréquentation. Dans les logements, les pièces de vie sont orientées vers le Sud de manière à privilégier l'ensoleillement. La construction en petites unités est donc nécessaire pour répondre à ces besoins qui visent à améliorer le confort et le quotidien. Autour des bâtiments, des espaces verts (aussi appelés espaces de loisirs) sont établis en proportion importante : 15 m² par habitant en 1975. De nombreuses infrastructures sont comprises dans le projet, tels le centre commercial, le centre social, les groupes scolaires, etc. L'emplacement de l'hôpital est également prévu dès l'origine du programme.

LES HÔPITAUX

LES HÔPITAUX

En septembre 1914, Bar-le-Duc échappe de peu à l'invasion allemande et à des combats qui auraient pu être destructeurs. Après la bataille de la Marne, le front se stabilise à une cinquantaine de kilomètres plus au nord, au niveau de Verdun. Bar-le-Duc devient dès lors, et pour quatre ans, une ville d'arrière-front. Elle fait le lien entre la France de l'arrière et le front tout proche. Vous êtes à l'entrée de l'ancien hôpital-hospice de Bar-le-Duc, face au bâtiment qui accueille aujourd'hui l'Office de Tourisme. Dès l'automne 1914, cet hôpital n'est pas assez grand pour recevoir tous les soldats blessés acheminés du front. L'Armée installe donc plusieurs hôpitaux dans la ville, notamment au Lycée, à l'École normale de filles (actuel Hôtel du Département), dans le Pensionnat Jeanne d'Arc (rue Voltaire) et dans les casernes, vides de troupes, qui offrent à elles seules 3 500 lits. Tous sont utilisés à plein en 1916, pendant la bataille de Verdun. Plusieurs associations, sous l'emblème de la Croix-Rouge, et de nombreuses Barisiennes, apportent leur concours au personnel militaire. Des infirmières écossaises interviennent également comme celles qui figurent sur cette photo. Le plus souvent, les soldats blessés sont transférés à Bar-le-Duc par les trains sanitaires du « Meusien », un réseau de chemin de fer à voie étroite. À leur arrivée en gare, ils offrent un terrible spectacle de blessés, de mourants et de morts. Les blessés les moins graves ne font que passer dans les hôpitaux de la ville avant d'être envoyés à l'arrière. Les autres séjournent plus longtemps à Bar-le-Duc mais, pour beaucoup, l'issue est fatale. Un cimetière militaire doit être spécialement aménagé. Il comptera près de 3 000 tombes à la fin de la guerre.

JOURNÉES NATIONALES DE L'ARCHITECTURE

JOURNÉES NATIONALES DE L'ARCHITECTURE

Les Journées nationales de l'architecture sont l'occasion de mettre à l'honneur deux bâtiments remarquables de Bar-le-Duc, tant par leur architecture que par la restauration dont ils ont bénéficié. Samedi 14 octobre, 17 h : L'ÉGLISE SAINT-ANTOINE. Le choeur pentagonal, les peintures murales du XVe siècle, les chapelles Renaissance font de l'église de l'ancien couvent des Augustins l'un des joyaux de la ville basse. Découvrez également les coulisses de sa restauration qui s'est achevée en 2022. Rendez-vous devant l'église Saint-Antoine, rue Jean-Jacques Rousseau. Bonne forme physique (montée à la charpente). Dimanche 15 octobre, 15 h : LE COLLÈGE GILLES DE TRÈVES. Qualifié de « plus belle maison de ville qui soit en France » par Montaigne, le collège est le fruit de l'ambition et de la détermination de Gilles de Trèves, doyen de la collégiale Saint-Maxe. Franchissez le seuil de ce bâtiment emblématique de la Renaissance et découvrez la restauration du clos et couvert qui en a été faite de 2006 à 2018. Rendez-vous devant le collège Gilles de Trèves, rue Gilles de Trèves.

BALADE POÉTIQUE ET HISTORIQUE DANS LE QUARTIER NOTRE-DAME

BALADE POÉTIQUE ET HISTORIQUE DANS LE QUARTIER NOTRE-DAME

Des élèves de 4e du collège André Theuriet ont écrit cet hiver des textes poétiques sur le quartier Notre-Dame et l'Ornain, et les ont illustrés par des photographies. Ils vous proposent de partager une déambulation à plusieurs voix avec eux, accompagnés d'une guide-conférencière, à la découverte d'autres regards sur ce quartier. Gratuit. Rendez-vous devant l'Office de Tourisme, 7 rue Jeanne d'Arc.

JOURNÉES DU PATRIMOINE DE PAYS ET DES MOULINS - VISITE GUIDÉE AUTOUR DE L'EAU

JOURNÉES DU PATRIMOINE DE PAYS ET DES MOULINS - VISITE GUIDÉE AUTOUR DE L'EAU

Les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins donnent l'occasion de mettre en lumière le « petit » patrimoine, celui que l'on côtoie tous les jours sans vraiment le voir. Dans cet esprit, cette visite vous fera redécouvrir tous les éléments qui tournent autour de l'eau dans la ville : de la modeste gouttière à la prestigieuse fontaine, parcourez Bar-le-Duc au gré des flots. Rendez-vous devant l'Office de Tourisme, 7 rue Jeanne d'Arc. Ces journées ont pour objectif de faire découvrir et sensibiliser un large public au patrimoine régional, de pérenniser le travail des acteurs de la culture, de partager les savoir-faire et traditions des régions et de sauvegarder l'héritage commun.

BALADE URBAINE : LA NATURE EN VILLE

BALADE URBAINE : LA NATURE EN VILLE

En ville, des éléments du règne végétal et animal côtoient toujours le minéral : parcs avec arbres remarquables, fleurs sauvages et plantes invasives, oiseaux trouvant refuge dans les jardins et arrière-cours... Cette visite vous invite à déceler ces à-côtés de l'architecture et à réfléchir à la place donnée à la nature en contexte urbain : un enjeu d'actualité à la croisée de questions sociales, environnementales, urbanistiques et sanitaires. Rendez-vous devant l'Office de Tourisme, 7 rue Jeanne d'Arc.

VISITE ACCOMPAGNÉE : PETITES HISTOIRES ET NOMS DE RUES

VISITE ACCOMPAGNÉE : PETITES HISTOIRES ET NOMS DE RUES

Chaque nom de rue en dit long sur l'histoire de la ville : monument, personnage célèbre, topographie, anecdote, ... Voyagez à travers le temps tout en parcourant les rues de la cité, au cours d'une visite participative ! Rendez-vous devant l'Office de Tourisme.

VISITE ACCOMPAGNÉE : BAR-LE-DUC, VILLE D'ARRIÈRE-FRONT

VISITE ACCOMPAGNÉE : BAR-LE-DUC, VILLE D'ARRIÈRE-FRONT

Replongez-vous dans l'ambiance barisienne de la Première Guerre mondiale. L'évocation de l'hospice, des caves et des abris, de l'approvisionnement par voie ferrée ou par route trace le portrait de Bar-le-Duc en tant que ville d'arrière-front, indispensable au soutien des combattants sur le front de Verdun. Sans oublier, au lendemain du 11 novembre, le monument aux morts qui rend hommage aux soldats qui ont donné leur vie. Rendez-vous devant l'Office de Tourisme.

VISITE ACCOMPAGNÉE : BAR-LE-DUCNIGHT

VISITE ACCOMPAGNÉE : BAR-LE-DUCNIGHT

Laissez-vous conter la ville la nuit... Profitez des illuminations de fin d'année pour parcourir la ville basse, souvent oubliée au profit du quartier Renaissance. Découvrez ses sites incontournables et ses merveilles cachées, sublimées par les lumières de Noël. Rendez-vous devant l'Office de Tourisme.

VISITE ACCOMPAGNÉE : BAR-LE-DUC DANS LES YEUX DE LA COMTESSE DE VESINS

VISITE ACCOMPAGNÉE : BAR-LE-DUC DANS LES YEUX DE LA COMTESSE DE VESINS

La comtesse de Vesins, fille du Maréchal Oudinot, dessina assidûment Bar-le-Duc au début des années 1850. Ses aquarelles et ses dessins à la mine de plomb, conservés au Musée barrois, sont une source essentielle pour la connaissance de la ville au XIXe siècle. Suivez ses pas pour regarder la ville d'hier et d'aujourd'hui. Rendez-vous devant l'Office de Tourisme, 7 rue Jeanne d'Arc.

VISITE MUSICALE DE L'ÉGLISE NOTRE-DAME

VISITE MUSICALE DE L'ÉGLISE NOTRE-DAME

Au cours de cette visite de l'église Notre-Dame, plus vieil édifice religieux de Bar-le-Duc, émerveillez-vous devant ses trésors et laissez-vous envoûter par les morceaux de la classe d'orgue du CIM (Conservatoire intercommunal de musique), joués au grand orgue, qui remonte aux années 1860 et dont l'un des facteurs est Alexandre Jacquet.

L'ÉGLISE NOTRE-DAME

L'ÉGLISE NOTRE-DAME

XI-XVIIIe siècles Plus ancien édifice religieux de la ville, l'église Notre-Dame fut également sa seule église paroissiale jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Remaniée à plusieurs reprises, elle était pourvue d'une flèche incendiée par la foudre en 1619. Une nouvelle tour surmontée d'un dôme fut édifiée à partir de 1728. Fondé par la comtesse Sophie en 1088 à l'emplacement d'un premier sanctuaire dédié à la Vierge, le prieuré Notre-Dame dépend alors de la riche abbaye de Saint-Mihiel. Une charte de l'évêque de Toul fixe les relations entre les moines et les habitants. Le prieur est ainsi nommé curé de la paroisse, tandis qu'un vicaire assure le quotidien de la vie paroissiale. L'histoire de l'église est émaillée de nombreux conflits d'intérêts entre le prieuré et la ville. À la Révolution française, le bâtiment est transformé en temple de la Raison avant de retrouver sa vocation première en 1802. Construite sur quatre siècles, l'église Notre-Dame cumule les styles architecturaux. Du premier édifice roman ne restent qu'une travée du collatéral nord et les lourdes piles quadrangulaires qui supportaient des tours clochers. La longue flèche qui surmontait la tour sud fit la célébrité de l'édifice jusqu'à sa destruction par un incendie le 14 mars 1619. Sur le modèle de l'abbatiale de Saint-Mihiel, le plan présente un double transept permettant un accès dégagé au choeur. Celui-ci est bâti au XIIe siècle dans un style gothique aux influences champenoises indéniables. Le duc Robert le Magnifique fait reconstruire la nef en 1383 et plusieurs chapelles latérales complètent l'ensemble aux siècles suivants. La tour porche située dans l'axe de la rue Bar-la-Ville remplace un premier édicule bâti sous le duc Robert. Avec la façade occidentale, cet ensemble architectural, conçu par le moine architecte Nicolas Pierson, introduit un vocabulaire ornemental classique : pilastres, balustrades, dôme. Le haut-relief de l'Assomption de la Vierge, dû au ciseau du sculpteur Louis Humbert, surmonte le porche d'entrée depuis 1751. À l'intérieur, plusieurs oeuvres d'artistes locaux (Ligier Richier, Jean Crocq, Louis Yard) nous renseignent sur la richesse artistique du duché. Des bâtiments conventuels (cloître, jardins, lieux de vie des moines) organisés autour de l'église ne subsiste qu'une partie transformée en hospices civils à partir de 1812. Un square remplace le cimetière paroissial qui jouxtait l'église à l'Est

CATURIGES ET LES ORIGINES DE LA VILLE

CATURIGES ET LES ORIGINES DE LA VILLE

Hormis quelques vestiges celtes antérieurs, les témoignages d'une occupation du site de Bar-le-Duc datent du Ier siècle de notre ère. Fondée sur la rive droite de la rivière Ornain, Caturiges n'est alors qu'un relais de poste gallo-romain - une "statio" - sur la route de Reims à Toul, au coeur du territoire des Leuques. La voie prétorienne qui traverse Caturiges correspond au tracé de l'actuelle rue des Romains. Attestée dans les textes par la table de Peutinger, grande carte de géographie des itinéraires de l'Empire romain au IIe siècle, Caturiges tire sans doute son nom de la divinité gauloise de la guerre « Caturix ». Elle se développe sur un axe de passage au fond de la vallée de l'Ornain. Constituée d'une maison de poste (mutatio), d'une hôtellerie (mansio) et de quelques maisons d'artisans et de commerces, l'agglomération s'installe autour d'une dérivation du Naveton. Les fouilles archéologiques menées dans ce quartier lors des grands chantiers du XIXe siècle (chemin de fer, canal) ont mis au jour de nombreux objets conservés depuis lors au Musée barrois : monnaies, statuettes, stèles funéraires... Alors que Nasium - la plus grande cité gallo-romaine de la civilisation leuque -perd peu à peu de son importance, la petite bourgade s'étend vers l'amont et prend le nom de Barrivilla au Haut Moyen Âge. Au moment de sa christianisation, un premier sanctuaire, rattaché au diocèse de Toul, s'élève dans ce faubourg. Après le passage dévastateur des Huns en 451, la ville mérovingienne croît et s'étend de part et d'autre de l'Ornain créant un nouveau quartier accolé à la colline de Bar : le Burgum Barri. En aval, le quartier de Couchot, coeur de l'ancienne Caturiges, tire son nom de sa situation à l'Ouest, au couchant de la ville actuelle.

LE LYCÉE RAYMOND POINCARÉ

LE LYCÉE RAYMOND POINCARÉ

1856 - 1857 Construit pour succéder au collège Gilles de Trèves, fondé au XVIe siècle et devenu trop exigu, le « lycée impérial » est inauguré le 26 octobre 1857. Disposés autour d'une cour fermée, les bâtiments peuvent alors accueillir trois cents élèves, des petites classes à la terminale. Agrandi à plusieurs reprises, il regroupe aujourd'hui un lycée et un collège. Dès le début du XIXe siècle, les élèves sont trop à l'étroit dans les bâtiments du prestigieux collège Gilles de Trèves. Par décret, Napoléon III érige le collège en lycée en 1854 et la construction de nouveaux bâtiments est décidée. Le chantier est confié à l'architecte départemental Charles Démoget qui donne à l'établissement une architecture très classique, sur un plan quadrangulaire. Dans l'axe du porche, surmonté d'un fronton triangulaire et flanqué de colonnes d'ordre corinthien, se trouve l'ancienne chapelle du lycée. À partir des années 1950, l'accroissement des effectifs rend nécessaire la construction de nouveaux bâtiments : internat, salles de cours, gymnase et terrains de sport constituent aujourd'hui la cité scolaire Raymond Poincaré. Au cours de chaque guerre entre la France et l'Allemagne, le lycée joua un rôle primordial. En 1870 comme pendant la Première Guerre Mondiale, le lycée fut occupé par un hôpital militaire. En 1914, l'établissement fut également le siège de l'État-major, tout en continuant à accueillir des élèves. Sous le porche, une plaque honore tous les élèves morts pour la France, notamment au cours de la Grande Guerre. Depuis sa création, le lycée de Bar-le-Duc a accueilli de nombreux élèves devenus ensuite célèbres, dont l'académicien Louis Bertrand, le graveur Paul Lemagny ou le président Raymond Poincaré,dont le lycée prend le nom un an après son décès, en 1935.

UN LYCÉE DANS LA GUERRE

UN LYCÉE DANS LA GUERRE

Pendant la guerre, le Lycée National, l'actuel Lycée Raymond Poincaré, voit une grande partie de ses locaux réquisitionnés par l'autorité militaire qui y implante à la fois un hôpital et la « Direction des Étapes et des Services » de la IIIe Armée. Ce service, dirigé par un général, est chargé d'organiser le transfert des troupes, des vivres et des munitions entre l'arrière et le front. Son action est capitale durant la bataille de Verdun, en 1916. À aucun moment, la vie scolaire n'est interrompue. Le proviseur, M. Chemin, et le censeur, M. Franquin, organisent avec sang-froid l'internat et l'externat au milieu du va-et-vient des officiers, des soldats, des infirmières, des médecins et des blessés. Les cours sont assurés pour un effectif amoindri : moins de 100 élèves en 1916 contre 250 en temps normal. Lors des alertes, les lycéens, leurs professeurs et le personnel se réfugient dans les caves puis les cours reprennent... Durant quatre ans, le lycée de Bar-le-Duc s'adapte donc aux dures réalités de la guerre. 153 anciens élèves tombent au champ d'honneur. Leurs noms figurent sous le porche d'entrée du lycée, sur une plaque inaugurée en 1921 par Raymond Poincaré.

LA PLACE EXELMANS

LA PLACE EXELMANS

Aménagée sur l'ancienne place de l'Abattoir, la place prend le nom de Remy-Joseph-Isidore Exelmans en 1874. Rebaptisée place Thiers entre 1878 et 1901, elle reprend son nom après la mise en place de la statue d'Émile Peynot rendant hommage au maréchal natif de la rue Bar-la-Ville toute proche. Dans la lignée des restructurations urbaines engagées par le baron Haussmann à Paris, une place de forme régulière, flanquée sur un côté d'immeubles collectifs, est aménagée en 1858 sur la rive droite de l'Ornain. L'abattoir aux porcs, qui occupait cet espace auparavant, est alors transféré rue du Port puis chemin de Popey. La Caisse d'Épargne s'installe dans un nouveau bâtiment en 1907 sur le côté Est de la place. Il est l'oeuvre de Charles Royer, également auteur de la façade de la préfecture, et s'inscrit dans le courant historiciste de la fin du XIXe siècle. À l'image de la façade de la préfecture donnant place Reggio, les hauts toits d'ardoise aux cheminées monumentales et percés de lucarnes, les frontons et les fenêtres à meneaux caractérisent le style néo-Renaissance. De chaque côté, deux inscriptions rappellent l'importance donnée par l'institution à l'épargne et au travail. Le sous-équipement sanitaire des particuliers, lié à un souci d'hygiène croissant, entraîne la construction de bains-douches privés et publics. Charles Royer construit ainsi un établissement privé quai Sadi-Carnot (actuelle Chambre de Métiers) en 1888, tandis que la Caisse d'Épargne achète deux maisons place Exelmans pour y ériger une deuxième centre hydrothérapique en 1914, oeuvre d'Edmond Royer. Il rencontre un grand succès, rendant nécessaire son extension en 1933. En 1945, il ferme et est transformé en accueil des jeunes puis en centre médico-psychologique. Située à l'origine au centre de la place, la statue réalisée en 1898 par Émile Peynot, secondé par son élève Léon Roussel, rend hommage au Maréchal Exelmans (1775-1852). Ce dernier est représenté debout, en tenue d'apparat, la main sur la garde de son épée. Les inscriptions gravées sur le piédestal relatent ses services militaires. La Renommée de bronze qui ornait la partie basse du socle fut fondue en 1941.

HALTE FLUVIALE

HALTE FLUVIALE

Agréable port de plaisance situé à proximité du centre-ville. Emplacement avec fluides : 10 EUR / bateau / jour. Taxe de séjour : 0, 20 EUR / jour / personne. Ouvert de mai à septembre.

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Plus de 202 Sorties et Visites à Faire ce Week-End à Bar le Duc !

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