25 Lieux Historiques à Visiter Autour de Captieux
Découvrez les principaux joyaux historiques de Captieux et des environs. Bâtiments, vestiges, lieux emblématiques et personnages illustres.
De l'architecture romane aux bâtiments modernes, notre liste de sites historiques autour de Captieux vous invite à un passionnant tour d'horizon architectural. Qui a dit que l'histoire était poussiéreuse ? Elle peut aussi être magnifique et étonnante.
Découvrez les principaux joyaux historiques de Captieux et des environs. Bâtiments, vestiges, lieux emblématiques et personnages illustres.
Le petit village de Goualade (Gualada en gascon) se distingue par ses deux édifices remarquables inscrits au titre des monuments historiques : l'église de style roman, qui fut initialement construite vers le XIIe siècle et la bergerie ronde construite fin du XVIIIe ou début du XIXe siècle. C'est au départ de la bergerie que vous pourrez profiter d'une boucle de randonnée accessible à toute la famille. N'hésitez pas à vous arrêter à l'auberge située au coeur du village ou règne une atmosphère chaleureuse et typiquement gasconne.
L'ancienne paroisse d'Insos relevait, sous l'Ancien Régime, de la seigneurie de Cazeneuve pour le temporel. Après la révolution, elle a été rattachée à Préchac. Cette église, isolée en pleine lande, a été récemment restaurée. Le chevet roman, bien conservé, est percé de lancettes et sommé d'une corniche à modillons sculptés et historiés. Elle comporte un très beau clocher pignon à contreforts, à caractère militaire, homogène du XIVème siècle. Il reçoit au nord une tourelle contenant un escalier à vis. Le portail s'ouvre à la base, simple et d'élégante facture, et il comprend trois colonettes à imposte, trois voussures et une archivolte.
A la fin du XIXème siècle, près de 230 bergeries de ce type existaient dans la région. Aujourd'hui, il ne reste plus que celle de Goualade, qui est la plus remarquable. Elle présente une enceinte maçonnée en moellons d'alios et de calcaire de plus de 20 mètres de diamètre. Ce type de bâtiment offrait la nuit un abri pour les troupeaux de moutons, pour se protéger des intempéries et des loups mais permettait aussi de récolter le fumier indispensable pour la culture de quelques hectares de sol pauvre à proximité des métairies. La bergerie est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
L'église est construite à l'initiative de Jeanne de Got, afin de remplacer l'église primitive, trop petite, élevée à Conques. L'édifice, fortifié comme en témoigne la base de la tour-clocher, est remaniée à plusieurs reprises. Au XVIIème siècle, deux bas-côtés sont ajoutés, séparés de la nef par des arcs en plein cintre reposant sur les piliers octogonaux. Le porche est alors modifié : la porte gothique est conservée au centre et deux portails latéraux sont réalisés dans le style Renaissance. Au milieu du XIXème siècle, des travaux d'amélioration sont entrepris et l'ajout d'une tour-clocher est décidé. Sa construction, débutée en 1859, est financée en totalité par une collecte locale. L'église est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
Lartigue est le village situé le plus au sud de la Gironde, entre Landes et Lot-et-Garonne. C'est dans un écrin de verdure que vous découvrirez l'église Saint-Romain. A 2 km au sud du village, direction Allons, dans une clairière bordée de pins, trône la métairie d'Hourtan, inscrite au titre des monuments historiques depuis 2003. Pour les amateurs de jeux conviviaux, un boulodrome est mis à disposition au centre du bourg. Des circuits de randonnées en pleine forêt sont aussi accessibles depuis le village pour des balades en famille ou entre amis.
À 60 km au sud-est de Bordeaux, Bazas prospère entre la forêt landaise et les vignobles des Graves. Cette cité gasconne de 25 siècles conjugue dynamisme économique (dont l'élevage du boeuf de Bazas) et riche patrimoine. Promenade de la Brèche, Jardin du Chapitre, Cathédrale Saint-Jean-Baptiste classée au Patrimoine mondial de l'UNESCO et Apothicairerie de l'hôpital Saint-Antoine de Bazas racontent chacun un peu de son histoire. Place forte à partir du IVème siècle, elle se dote de remparts et de portes monumentales. Sur le Chemin de Compostelle, Bazas est siège d'un diocèse jusqu'à la fin du XVIIIème siècle. Siège d'un Présidial, la ville cumule les fonctions administratives et judiciaires et s'impose alors comme la plus puissante ville de la région qui porte son nom : le Bazadais. Bazas conserve, de cet âge d'or, de superbes vestiges, des traditions et des savoir-faire à découvrir.
La cathédrale, joyau de la cité classé Monument Historique, est le point de rassemblement de la population depuis le Vème siècle. La cathédrale actuelle, construite à partir de 1230 sur la base des monuments antérieurs, a subi, avec des destructions importantes, deux cataclysmes majeurs : les guerres de religion et la révolution de 1789 qui laissèrent des traces profondes. La cathédrale est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre des Chemins de Saint Jacques de Compostelle depuis 1998. Jardin du Chapître avec fouilles archéologiques.
A l'extrémité est de la commune, la chapelle Notre-Dame-de-Bijoux, construite à la fin du XVème siècle, a connu des modifications successives pour être achevée en 1873. Elle abrite une statue en pierre de la Vierge du XIVème siècle classée Monument Historique depuis le 4 juillet 1904.
Placée à l'origine sous le vocable de Notre-Dame, l'église date du XIème siècle, à l'exception du bas-côté ajouté au XVIème siècle. Le choeur, clos par une abside en cul-de-four, a conservé son aspect roman même si le rehaussement du sol au XIXème siècle masque la base des piliers. Un arc triomphal, dont l'un des chapiteaux est orné d'un christ bénissant, en marque l'entrée, et une arcature reposant sur 15 chapiteaux aux décors d'animaux et d'êtres humains le délimite. Le bas-côté nord, ajouté en raison de l'augmentation de la population, a la même largeur que la nef. Il est composé de trois travées voûtées en ogives et d'une chapelle dédiée à la Vierge et voûtée en étoiles. L'église est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
Petite commune paisible du Sud Gironde, Masseilles est située à proximité des coteaux, près de la vallée du Lysos. N'hésitez pas à profiter de la tranquillité de ce village en y séjournant quelques jours dans le gîte situé à côté de l'église du XIIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques en 1925 pour son clocher-pignon à trois baies et ses façades.
C'est à la Révolution que la paroisse Saint-Pierre de Cuilleron et son annexe, Saint-Léger d'Aubiac, forment la commune d'Aubiac. L'église Saint-Pierre, située à l'écart du bourg proprement dit, abrite une cloche de bronze du XIIe siècle qui a été classée à l'inventaire des monuments historiques au titre objet en 1912.
Sept siècles vous contemplent au Château de Villandraut. Venez découvrir cet incroyable Monument Historique, palais du Pape Clément V édifié au XIVème siècle. Bijou de l'architecture clémentine, le château regorge de trésors et d'activités pour les familles, les passionnés d'Histoire et les grands curieux! Visites, escape game, chasse au trésor, anniversaires, manifestations culturelles...
L'édifice dont il ne subsiste plus que des vestiges, est construit dans la vallée du Lysos à la fin du XIIème siècle ou au début du XIIIème. Concernant le cloche-mur, il date du XIVème siècle mais sera amélioré au XVIème et XVIIème siècle. Abandonnée dans les années 1920-1930, l'église est privée de ses chapiteaux cédés à la ville de Bordeaux puis classée monument historique le 30 mai 1961. Les cloches sont, quant à elles, transportées dans l'église Notre Dame de l'Immaculée Conception à Grignols. L'une d'elles porte l'inscription "St. Jean Baptiste, priez pour nous".
Cette église romane, du XIIème siècle, possède un choeur tréflé et son portail occidental présente des voussures nues qui reposent sur de fines colonnettes. Le portail occidental, classé Monument Historique, est très soigné dans sa régularité géométrique. L'édifice a été fortement remanié en 1856. Le cimetière environne l'église, comme il était d'usage autrefois.
L'église date du XIIème siècle. Sa façade de style roman et sa construction architecturale très symétrique l'apparentent aux compositions saintongeaises ou charentaises. La façade a pu être aussi influencée par celle de l'Abbaye bénédictine de Sainte-Croix de Bordeaux car elle est d'un plan appelé "Bénédictin". Le petit bas relief ornant les arcatures de droite montre deux personnages en robe courte, munis de bâtons. Ce sont probablement Saint-Jacques et un pèlerin en partance pour Compostelle. La régularité architecturale de la façade se retrouve dans le chevet constitué de trois absides. Une quinzaine de chapiteaux romans représentent des scènes bibliques. La pietà et les fresques datent du XVème siècle. L'Eglise est classée Monument Historique depuis 1896.
Construite au XIIe siècle et remaniée à différentes époques durant tout le Moyen Age, c'est un édifice agréable à visiter. Sur son côté sud, remarquez un ancienne porte murée, dite « porte des cagots » : cette entrée à part était réservée à ces malheureux marginaux sûrement discriminés à cause d'ancêtres lépreux. Ils devaient en aucun cas se mélanger au reste de la population et porter des vêtements distinctifs. Ces peintures murales en bon état présentent scène remarquable « La fuite en Egypte ». L'histoire raconte que le roi Hérode de Palestine ayant appris la naissance de Jésus, ordonna de tuer tous les enfants de moins de 2 ans : ce fut le « Massacre des Innocents ». Joseph averti par un ange prit l'enfant et sa mère et se retira en Egypte. L'inscription signifie « Comment notre Dame s'enfuit en Egypte avec son fils Jésus".
Profondément marquée par l'Histoire des Albrets, la ville de Casteljaloux a vu son influence croître en fonction des personnages de cette illustre famille. Elle devint capitale d'un vaste état gascon allant des Pyrénées au Quercy, ce qui lui valut une prospérité enviée. Vous y verrez la Maison du Roy (XVIème siècle), demeure nommée ainsi grâce aux séjours supposés de Louis XIII et Louis XIV qui accueille aujourd'hui l'Office de Tourisme, la Chapelle et le cloître des Cordeliers (XVème et XVIIème siècles), l'Eglise Notre-Dame de l'Avance, le Parc municipal d'Albret, les Remparts, la Place de la République et de vieilles ruelles aux maisons médiévales ...
A l'est des Landes, la vaste commune de Losse s'étire dans la forêt avec ses petits hameaux dispersés. L'église Saint-Martin d'Estampon se situe près du ruisseau du même nom au coeur d'un pittoresque quartier classé. Fondée au 12e siècle, elle s'est défendue des conflits en se renforçant d'éléments architecturaux fortifiés : chevet soutenu par trois contreforts, abside à meurtrières, clocher-mur triangulaire muni d'un abat-son. A l'intérieur, le maître- autel, le tabernacle, les boiseries du choeur, de la chaire et du confessionnal retiennent l'attention du visiteur par la qualité de la décoration. Les vitraux sont réalisés à la fin du 19e siècle par les Gesta, maîtres verriers réputés de Toulouse. Ils représentent Saint Martin, Saint Orens et Saint Jean Baptiste. L'église Saint-Martin de Losse est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 22 avril 1983.
Roquefort est un bourg castral créé au XIIe siècle au confluent de deux rivières, la Douze et l'Estampon. Les 2 rues Alphonse Castaing et Hubert Croharé entre l'église classée aux Monuments Historiques et le Château de Pènecadet, permettent de voir la trame médiévale, une partie des remparts et quelques maisons remarquables du XVIIIe siècle. Il faut longer la rivière pour voir les falaises calcaires.
Cette église romane du XIIè est agrandie au XVème siècle, le clocher est ajouté en 1767, alors que la sacristie date seulement de 1875. De l'édifice roman subsiste un portail orné de femmes aux têtes de diamant. Il est situé au niveau du sanctuaire, qui était alors une chapelle. Le plafond de l'église est quadrillé par des lamelles et des bandes entrecroisées, un décor traditionnel dans les monuments médiévaux. Dans le choeur de l'église, un baldaquin baroque, à colonnes torses et enroulement de vigne surmontées de chapiteaux corinthiens, abrite une Vierge à l'Enfant (Monument Historique). Le baldaquin est décoré à chaque extrémité de deux anges, qui sont considérés comme des chefs-d'oeuvre de la sculpture sur bois (Monument Historique).
Promenade commentée dans cette ancienne forteresse joliment fleurie qui livre au travers d'intéressants vestiges près de mille ans d'histoire sur les chemins de Compostelle. Visites commentées pour les groupes sur RDV toute l'année 10 à 60 personnes.
Cocumont, juchée au sommet d'un coteau, domine la vallée de la Garonne. Le bourg offre aux visiteurs un excellent panorama sur les paysages et les vignes des alentours. Cocumont est quand même la première commune viticole du département ! Adepte de randonnées, vous pourrez arpenter les nombreux sentiers de balades de la commune. Promenez-vous à travers coteaux, bois et vignobles pour profiter des panoramas, représentatifs des paysages du Lot-et-Garonne. Derrière la cave coopérative du Marmandais se trouve une vieille église romane datant du 12e siècle. Classée aux Monuments Historiques, l'église Saint-Jean-de-Vidailhac aurait été bâtie sur les vestiges d'un lieu de culte carolingien. Pénétrez dans l'édifice par l'impressionnant portail percé dans la façade sud, et admirez l'arc triomphal de l'église et ses chapiteaux.
Petite commune d'un peu plus de 700 habitants, niché au coeur de l'appellation de Sauternes dont la jolie église Saint-Pierre-ès-Liens, date du XIème siècle. Son abside romane est inscrite aux Monuments Historique. La Mairie de Sauternes est la seule mairie à avoir une vierge sur son fronton au-dessus de la devise « Liberté, Égalité, Fraternité ». Le bâtiment ayant été autrefois une école religieuse.
Le château de Budos construit au XIVe siècle pour un neveu du pape Clément V, Raymond Guilhem de Budos, est à la fois une forteresse et un palais. Le monument imite le château pontifical de Villandraut par son plan. L'enceinte est cantonnée à chaque angle d'une tour saillante, trois cylindriques et une octogonale, percées d'archères en croix pattée. Dans l'enceinte se répartissent les logis, constitués de trois ailes principales. La courtine sud-est comporte une remarquable tour-porte, couronnée d'un parapet crénelé supporté par des consoles avec mâchicoulis. Le château est aménagé pour l'artillerie lors des guerres de Religion. A la Révolution, le château, déclaré bien national est démantelé et sert de carrière. Aujourd'hui, l'association Adichats sauvegarde et met en valeur ce magnifique site. Ruines et sous-sol inscrits à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques (1988).
1661. Zurbaran. Cette oeuvre est découverte en 1966 par le curé de la paroisse. Le tableau figurait tout poussiéreux sur un mur de la sacristie. Il a été nettoyé et restauré à Glérancourt (Aisne). Il est l'objet d'un don fait en 1863 par Émile Pereire, député de la circonscription de cette époque. Le tableau est classé Monument Historique à titre d'objet.
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