155 Activités à Faire à Saint Nabord Quand il Pleut
Activités pour sortir les jours de pluie à Saint Nabord. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
Même sous la pluie, Saint Nabord déborde de possibilités pour des moments inoubliables. La météo ne gâchera pas votre journée. Préparez-vous à vivre une expérience captivante, quels que soient les caprices de la méteo !
Activités pour sortir les jours de pluie à Saint Nabord. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
Cette pierre a servi durant l'année 1632, pendant l'épidémie de peste qui ravageât le secteur. L'histoire raconte que la peste n'épargna qu'une seule personne au hameau de "derrière Chaumont" à Saint Nabord. Ce survivant s'appelait Jean Mougin. Sa marraine qui habitait Remiremont venait tous les jours, lui déposer de la nourriture jusqu'à cet endroit appelé le Rond Caillou (ou y rond coyau en patois). Arrivée près de cette table improvisée, elle lui criait : "Jean, ote vo-cot? N'ote vo mi monô?" Jean, êtes-vous encore? N'êtes vous pas mort? Une croix des pestiférés situé 200m à l'ouest du Rond Caillou commémore cet épisode douloureux.
Fontaine du XVIIIème siècle de style rocaille exposée dans le parc du musée municipal Charles Friry (classée aux Monuments Historiques, depuis 1966). Amphitrite est une déesse et la personnification féminine de la mer. Elle est l'épouse de Poséidon et vie avec lui dans le palais doré sous la mer. elle ressemble souvent à Aphrodite dans les oeuvres d'art antique. on l'a distingue principalement grâce à sa pince de crabe sur son front. Son Homologue romaine est Salacie, déesse des sources. Accès par le parc du Musée Friry ou par le parc Monseigneur Rodhain
Cette chapelle est dédiée à Sainte Anne, la mère de la Vierge Marie. elle fait partie d'une importante métairie appartenant à l'ancien Chapitre de Remiremont. le domaine était exploité par un paysan pour le compte du Chapitre tandis que le corps de ferme servait de maison de campagne pour les religieuses. Le domaine était composé d'une maison, une écurie, un four, fontaine, champs, jardins, bois, étang et bien sûr la chapelle. Son clocheton carré abrite une cloche d'environ 50kg datée de 1902. On retrouve une mention de cet édifice dès 1573 dans des documents qui nous informe que le domaine appartient à Françoise d'Auglure, dame de Remiremont. Il va passé de main en main jusqu'à appartenir à Catherine de Lorraine de 1632 à 1648. La métairie est vendu au enchère comme bien de 'église en 1791. Acquise en 2010 par la Commune de Saint Nabord, celle-ci procède à sa restauration dont les travaux ont pris fin en juin 2014, en association avec la Fondation du Patrimoine de Lorraine. Une messe était célébrée tous les ans le 26. 07 pour cette sainte.
Les Romarimontains l'appellent aussi la fontaine des Travailleurs. Construite en 1828, c'est une des premières fontaines de Remiremont. D'abord en grès, elle fut refaite en granit en 1893. La colonne centrale a partiellement été détruite lors des combats pour la libération de Remiremont en septembre 1944. La fontaine fut légèrement rehaussée et déplacée en 1987 pour être mise au centre du rond-point.
Artère principale de la ville, bordée d'arcades datant des 16ème, 17ème et 18ème siècles et témoins d'une époque aujourd'hui révolue, elles sont uniques et ont chacune des formes différentes : tantôt l'arc est étroit et en plein cintre, tantôt d'une largeur moyenne et surbaissée ou encore large et en anse de panier; ce qui fait qu'elles sont toutes différentes. Elles ont su garder leur vocation commerciale et magnifient la rue Charles de Gaulle - toujours la principale artère commerçante de la ville - avec des fleurs en été ou des lumières l'hiver. À l'entrée de la rue se trouve la statue en bronze du Volontaire, oeuvre du sculpteur Chopin. Elle fut érigée en 1899 pour le 110ème anniversaire de la Révolution Française afin de rappeler que le district de Remiremont avait fourni un nombre très élevé de soldats pour la défense de la jeune république et de la patrie en danger.
Les Romarimontains l'appellent la Fontaine des Dauphins ou encore la Fontaine de la Courtine. Que de noms pour une si jolie fontaine ! Située sur la Place de Lattre de Tassigny, elle est la première de la série Stanislas Bresson et fut inaugurée en 1828 par Mme la Duchesse d'Angoulême, fille de Marie-Antoinette et de Louis XVI. La dauphine avait, en effet, l'habitude de venir en cure à Plombières-les-Bains. Cette fontaine servait de réservoir pour une partie de la ville et alimentait également deux autres fontaines : la fontaine du Cygne et la fontaine de la rue de la Franche Pierre, aujourd'hui disparue. Si elle a gardé son aspect d'origine, elle a perdu sa fonction de réservoir et fonctionne désormais en circuit fermé.
La chapelle des arts est un lieu dédié à la culture (exposition artistique "peinture, arts plastiques, sculptures...) Ce bâtiment est la propriété du sculpteur DANIEL PETITGENET est un lieu d'expositions et de concerts.
Bassin rectangulaire, antérieur à l'époque Stanislas Bresson, il appartient à la ville mais les voisins ont un droit d'eau. Elle est alimenté par une source du même nom. Son système de distribution est identique à celui des Capucins. Dans le moine se trouve un gros tuyau branché sur de plus petits.
À la fin du 18ème siècle, Remiremont possédait 31 fontaines publiques en grès ou en bois. Ces fontaines étaient rectangulaires et servaient à l'alimentation en eau des hommes et des animaux. Au 19ème siècle, elles sont abîmées, c'est pourquoi le maire de l'époque, Stanislas Bresson, repense entièrement le réseau d'adduction d'eau et dote la ville de nombreuses fontaines afin de lutter plus facilement contre les incendies, la sécheresse... Dans les années 1990, sous les mandats du Maire Christian Poncelet, la ville subit d'importantes transformations, en particulier de nouvelles fontaines et jets d'eau sont installés. La ville de Remiremont possède actuellement 18 fontaines que le promeneur pourra découvrir par un petit circuit disponible à l'Office de Tourisme.
Elle se trouvait autrefois devant le n43 de la rue Charles de Gaulle. C'est en 1852 qu'elle fut transférée à son emplacement actuel, Place de la Libération, à la place d'un bassin rond devenu vétuste. Purement décorative, elle est remarquable par son bassin principal taillé à la marteline dans un seul bloc de granit.
Inaugurée en 1998, cette fontaine est l'oeuvre de M. Petitjean de La Bresse. Elle est sculptée dans un seul bloc de granit en hélice, symbolisant un foret jaillissant des entrailles de la terre.
Musée de Beaux-Arts abritant de riches collections de peintures, sculptures et arts décoratifs. Descendant d'une famille noble depuis le 7ème siècle, Charles de Bruyères a légué sa maison et ses collections. Le musée est une excellente introduction à la découverte de la ville dont l'histoire est plus que millénaire : archéologie, sculptures, objets, peintures des chanoinesses, abbesses, ducs de Lorraine. Le musée expose également une intaille carolingienne en agate unique au monde, la plus grande collection d'Art Nouveau des Vosges (verreries, faïences, mobilier, sculptures) comprenant un nombre important d'oeuvres d'Émile Gallé, collection de faïences anciennes et d'Émile Gallé, de nombreuses peintures hollandaises du 17ème siècle, italiennes des 17ème et 18ème siècles, françaises du 19ème siècle, des tentures peintes de 1750 du premier hôtel de ville, une restitution d'une cuisine et d'une chambre à coucher des Hautes-Vosges...
Dans le but d'embellir la ville, le Sénateur Maire de l'époque, Christian Poncelet, a réaménagé la Place de l'Abbaye en 1990. Pour ce faire, un mouvement d'eau vient baigner le chevet de l'église.
Ne vous faites pas surprendre par ce jet d'eau. Lorsqu'il y a du vent, il s'arrête grâce à un anémomètre installé près de l'église.
Édifiée en 1045-1050, la Crypte de l'Église Saint Pierre de Remiremont est l'un des plus anciens monuments religieux romans des Vosges. Elles est constitué de 3 chapelles et fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1983. La chapelle nord dite chapelle Saint-Antoine (chapelle du XIIIème siècle) a livré des peintures murales du XVème siècle. Celles-ci, outre saint Antoine lui-même, représentent entre autre la Crucifixion, saint Laurent, saint Brice et saint Martin, évêques de Tours. elle abrites différent sarcophage utilisé par les Chanoinesses. ils vient de l'ancien Cimetière de Remiremont et du Saint-Mont. La crypte, construite en moellon de grès occupe quasiment toute la surface du choeur de l'église haute. Elle est composée d'une chapelle centrale rythmée par huit colonnes et trois vaisseaux longs de cinq travées, éclairés par cinq petites baies en plein cintre. Elle est flanquée par deux chapelles latérales. L'ensemble s'achève par trois absides hémicirculaires. En 2002 furent découverts dans la chapelle sud des fresque exceptionnelles du XIVème siècles : un agneau pascal, les rois mages, les pèlerins d'Emmaüs et saint Christophe. Cette chapelle abrite également quelques trésors qui étaient utilisés lors de la "processions du tremblement" : couronnes en vermeil et pierres précieuses, ostensoir et calice. Les deux autres chapelles sont en accès libre. A noter : La chapelle sud n'est ouverte que lors des visites guidées organisées par l'Office de Tourisme. les dates sont disponibles dans l'agenda
Haut-lieu de l'histoire romarimontaine, l'Église Abbatiale Saint Pierre de Remiremont - édifiée à partir du XIème siècle - est le fruit de la superposition de 2 églises romane et gothique qui font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1983. L'histoire de l'église abbatiale est intimement liée, jusqu'à la Révolution, à celle du Chapitre des Dames Chanoinesses. Cet édifice, construit essentiellement au XIIIème siècle dans sa partie supérieure, présente un contraste entre la sobriété de la nef de style gothique et la richesse du choeur en marbre et en gypserie. L'église souterraine, composée de trois chapelles, date du XIème siècle et présente des peintures murales des XIV et XV siècles. Grâce à d'importants travaux de rénovation de 1988 jusqu'à l'an 2000, l'église est dans un excellent état de conservation extérieur (toitures refaites, façades ravalées...) et intérieur avec des couleurs d'origine et des formes simples et épurées retrouvées. Cette ancienne église du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, devenue église paroissiale à la Révolution Française constitue le centre du quartier canonial composé des maisons des chanoinesses et du palais abbatial qui abrite aujourd'hui la mairie. Sa rénovation a permis de mettre en valeur des fresques murales des XIV et XV siècles dans la crypte , ainsi que des clés de voutes originales représentant de magnifiques soleils peints en datés de 1495 dans la partie supérieure. Des fouilles ont montré l'existence, sous le niveau roman, d'une construction antérieure qui serait la chapelle carolingienne du domaine royal de Louis le Pieux. L'édifice abrite de nombreux éléments notables dont un des trésors de la ville : la « Statue Notre Dame du Trésor » dont l'originalité est liée mélange d'art byzantin et roman. Elle abrite mais également une statue de Saint Nicolas du XV siècle taillée dans du un calcaire de Meuse, une copie d'un tableau de Vélasquez « le Christ crucifié » ainsi qu'un retable monumentale en marbre noir et calcaire blanc qui abrite les reliques des saints fondateur du Saint-Mont... Construite en grès des Vosges, l'église Saint-Pierre présente une tour sobre avec clocher à bulbe qui lui donne une silhouette caractéristique et le transept Nord abrite un portail de style Renaissance aux décors de qualité. À noter : L'Office de Tourisme organise des visites guidées tous les mercredis matin en juillet et août et toute l'année sur demande pour les groupes pré constitués. Un audioguide est également disponible pour découvrir l'histoire en solo.
Les Nobles Dames Chanoinesses de Remiremont vivaient dans de belles maisons particulières, appelées maisons canoniales. Elles sont aujourd'hui classées aux Monuments historiques. Au centre, se trouvent l'église capitulaire, réservée alors à l'usage des chanoinesses, et le Palais Abbatial, résidence de l'abbesse et des dignitaires de sa maison, cet ensemble compose le quartier canonial. De l'époque grandiose où vivaient les Chanoinesses, il subsiste à Remiremont 14 maisons canoniales facilement reconnaissables à leur façade classique et harmonieuse du XVIIIe siècle. Au-dessus de la porte d'entrée se trouve un petit fronton où étaient accrochées les armoiries des différentes familles nobles. Aujourd'hui ce sont des maisons privées, sauf celle abritant le Musée Charles Friry qui permet de découvrir une des fastueuses demeures. Le Chapitre Féminin de Remiremont était l'une des abbayes les plus prestigieuse et les plus renommées de France avant la Révolution Française. C'est une ancienne abbaye bénédictine puis séculière, un chapitre de chanoinesses ou de Dames Nobles. Celles-ci étaient issues de la vieille Noblesse de France, ils leur fallait prouver 16 quartiers de noblesse pour oser prétendre à une place au sein du chapitre. On dit des chapitres qu'ils étaient des maisons d'éducations pour jeunes filles nobles, c'était une chance et un honneur d'être acceptée à Remiremont. Les Chanoinesses n'étaient tenues à aucun voeu, et pouvaient abandonner la vie religieuse pour se marier et reprendre une vie laïque. Les maisons leur étaient prêtées par le Chapitre est y vivaient selon leur rang et dans le plus grand confort !
Le Palais Abbatial accolé à l'église Saint Pierre est situé au coeur du quartier canonial des Nobles Dames de Remiremont. Il fut construit pour la première fois en 1394 puis détruit par le tremblement de terre de 1682. Lorsque l'Abbesse Anne-Charlotte de Lorraine est nommée à la tête du prestigieux chapitre féminin de Remiremont, elle fait reconstruire l'édifice. L'architecte nancéien Jean Nicolas Jeannesson sera le maître d'oeuvre il lui faudra 4 ans de 1752 à 1756 pour accomplir cette tâche. Le résultat rappelle les architectures classiques des Ducs de Lorraine. Le Palais présente 3 façades distinctes : la façade en forme d'éventail donnant sur le jardin privatif de l'Abbesse appelé Jardin des Olives, celle servant d'entrée donnant sur la place de l'Abbaye qui fut entièrement remaniée après la Révolution Française et présente un style tout à fait unique en hommage aux campagnes Napoléoniennes et la dernière qui s'ouvre sur la Place Mesdames où l'on peut apercevoir une belle cour pavée et une ancienne glacière qui permettait de garder les aliments de ces Dames au frais. Incendié par les Prussiens en 1871, il fut entièrement réhabilité. À noter : La visite guidée proposée par l'Office de Tourisme, les mercredis matins en juillet-août (toute l'année pour les groupes pré-constitués) permet d'admirer certains salons : le cabinet de jour de l'Abbesse, le salon des mariages et le grand salon.
La fontaine Aquarius mesure 1, 65 m de haut pour un poids de 600kg. elle est constituer d'une alliance du granit des Vosges ainsi que celui du Zimbabwe. La fontaine est surmonté d'une boule d''environ 100 kg qui tourne sur elle même grâce à la force de l'eau.
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