Même sous la pluie, Loison déborde de possibilités pour des moments inoubliables. La météo ne gâchera pas votre journée. Préparez-vous à vivre une expérience captivante, quels que soient les caprices de la méteo !

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24 Activités à Faire à Loison Quand il Pleut

Activités pour sortir les jours de pluie à Loison. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.

24 Activités à Faire à Loison Quand il Pleut
ÉGLISE SAINT-LEONARD

ÉGLISE SAINT-LEONARD

Construite en 1536, l'église Saint-Léonard est classée Monument Historique depuis 1906. Venez découvrir l'histoire de cette église et admirer la richesse de son patrimoine dont sa charpente en béton. Visite sur réservation uniquement pour les groupes (mini. 15 pers.).

ÉGLISE FORTIFIÉE SAINT-REMY

ÉGLISE FORTIFIÉE SAINT-REMY

Eglise fortifiée (12ème - 16ème siècle) aménagée en espace muséographique sur le thème des églises fortifiées de la Meuse. Pour les scolaires, visites guidées classiques ou chasse aux fantômes (5 EUR). Visite libre et visite guidée toute l'année sur réservation.

ÉGLISE SAINT-MARTIN

ÉGLISE SAINT-MARTIN

Splendide édifice, l'église Saint-Martin renferme un choeur gothique flamboyant d'une exceptionnelle beauté et une oeuvre majeure du sculpteur de la Renaissance Ligier Richier : la Pietà. Elle est classée Monument Historique depuis 1846 et renferme de nombreux objets d'arts classés également aux Monuments Historiques. Visite guidée pour les groupes sur réservation.

EGLISE PAROISSALE SAINT-BARTHÉLÉMY

EGLISE PAROISSALE SAINT-BARTHÉLÉMY

Eglise reconstruite en 1867, d'après les plans de Gérard, architecte à Briey, après des projets d'agrandissement en 1856.

FABRIQUE PETITCOLLIN

FABRIQUE PETITCOLLIN

Entrez dans le monde magique Petitcollin ! Dernière fabrique française de baigneurs, poupées et poupons encore en activité, Petitcollin vous invite au voyage. Plongez au coeur de l'histoire de cette entreprise emblématique, créée en 1860, qui produit chaque année 30 000 poupées, et partez à la découverte de ses secrets de fabrication centenaire... Durée de la visite : 1h30 environ. Pour les visites guidées individuels, il est fortement conseillé de réserver. Visite de groupes uniquement sur réservation. Départ du Centre Culturel et Touristique. A deux pas de la fabrique, visitez l'espace muséographique : images et documents d'époque, modèles mythiques, bébés et poupées à jouer... Tarifs pass usine + musée : adulte = 7, 90 EUR, enfant (de 6 à 18 ans) = 5, 50 EUR.

NÉCROPOLE NATIONALE DE PIERREPONT

NÉCROPOLE NATIONALE DE PIERREPONT

Créé en 1920, le cimetière de Pierrepont devient nécropole nationale en1923 lors du regroupement des corps exhumés de certains cimetières militaires de Meurthe et Moselle et de Meuse. L'imposante lanterne des morts, érigée à la mémoire des Héros tombés à la bataille de Pierrepont les 22 et 23 août 1914, est inaugurée le 18/09/1932. Dans la nécropole reposent 3758 soldats : Guerre 14-18 : 3045 français, 141 belges, 2 britanniques, 1 roumain, 493 russes. Guerre 39/45 : 20 soldats français, 55 soviétiques, 1 tchèque.

VILLAGE DÉTRUIT DE ORNES

VILLAGE DÉTRUIT DE ORNES

Ornes était un vrai bourg, plus grand que les autres villages détruits, mais qui, en fin de compte, après la Grande Guerre, se retrouve au même point qu'eux, ou presque, sous leurs pierres. Au cours de son histoire, le château de son seigneur subit le même sort, en février 1653, lorsqu'il fut pris, puis détruit, par les troupes lorraines catholiques, alors que, lui, défendait fermement le protestantisme comme ses ancêtres depuis 1563. En 1587, déjà, un combat très sanglant s'était produit entre ses troupes et celles, catholiques, du Duc de Lorraine. A la moitié du XIXe siècle, il comporte 1367 habitants, puis retombe à 750 habitants en 1914, principalement à cause de l'exode rural qui alimente en main d'oeuvre les grands centres industriels en pleine croissance à la fin du XIXe siècle. Pourtant, ce bourg dispose d'un tissu industriel textile et de transformation bien adapté aux productions agricoles locales et venant de la plaine de la Woëvre voisine. Mais sa situation géographique, proche de la frontière avec la Moselle annexée, puis du front stabilisé après la Bataille de la Marne, ne le favorise pas, car il se retrouverait très rapidement en première ligne en cas d'offensive ennemie. Il est donc demandé à la population d'évacuer le village dès le 25 août 1914. Mais tous ne partent pas, à leur risque et péril, car les bombardements et les patrouilles allemandes faisant des incursions dans le village s'intensifient. En septembre 1914, deux enfants sont tués par des éclats d'obus. En octobre 1914 une partie des villageois sur le départ sont capturés et faits prisonniers par les Allemands... En 1915 et jusqu'en février 1916, les troupes françaises tiennent le village où sont positionnées des unités, en 2e ligne face au front, lors du déclenchement de la grande offensive allemande. Mais du 21 au 24 février, la poussée allemande est si forte que le village d'Ornes est pris par leurs fantassins le 24 février 1916, après de violents bombardements mettant à bas l'ensemble des habitations et bâtisses du village. Il n'est repris par nos poilus que le 23 août 1917. Classé en « zone rouge » à la fin de la guerre, il ne peut plus jamais être reconstruit. Son statut de village détruit autorise néanmoins l'édification d'un monument aux morts dans l'ancien cimetière et de la chapelle-abri Saint-Michel qui est inaugurée le 14 août 1932. Enfin, les émouvants vestiges de son église, encore debout, témoignent à la fois de l'existence d'une vie passée prospère et de l'âpreté des combats qui se sont déroulés sur ce sol ravagé... A voir : - Les émouvants vestiges de l'ancienne église ; - La chapelle Saint-Michel (vitraux commémoratifs) ; - Le monument aux morts (représentant la France défendant une mère et ses enfants avec des soldats les défendant en arrière-plan et présentant des photos du village avant 1914 et en 1918 sur ses flancs) ; - L'ancien cimetière.

CIMETIÈRE MILITAIRE ALLEMAND PIERREPONT

CIMETIÈRE MILITAIRE ALLEMAND PIERREPONT

Ce cimetière allemand a été créé à l'automne 1914. A la fin de la guerre les soldats exhumés dans les communes voisines ont été regroupés là. 3017 soldats y reposent. En son centre a été érigé un monument en pierre de Jaumont . Il s'agit d'une arche symbolisant le passage vers l'au-delà. Elle est surmontée d'un lion couché qui symbolise la soumission.

EGLISE PAROISSIALE SAINT-SÉBASTIEN

EGLISE PAROISSIALE SAINT-SÉBASTIEN

L'église paroissiale Saint-Sébastien à Gondrecourt reconstruite en 1839 ; clocher reconstruit vers 1920.

EGLISE PAROISSALE DE L'ASSOMPTION

EGLISE PAROISSALE DE L'ASSOMPTION

Reconstruite en 1852 ; sur l'emplacement d'une ancienne église datant en partie de 1743 Matériaux du gros-oeuvre: Calcaire ; moellon sans chaîne en pierre de taille ; moellon ; enduit Matériaux de la couverture: Ardoise

EGLISE SAINTE AGATHE DE LONGUYON

EGLISE SAINTE AGATHE DE LONGUYON

Elle fut construite à l'emplacement d'une ancienne chapelle (VIIe) sa tour est le plus ancien monument de Longuyon. L'édifice actuel (m. H.) ne remonte pas au-delà de la fin du XIIIe. Statue de la Ste patronne (XIVe). Un tableau représentant le martyre de Ste-Agathe et plusieurs statues sont répertoriés à l'i. S.m. H. Eglise restaurée. Tous les jours sur demande: visite individuelle ou groupe avec dépliant explicatif ou parcours sonorisé en français, anglais ou allemand pour une durée de 20 minutes. Réservation au moins 24h avant la visite à l'office de tourisme du Longuyonnais : 03 82 39 21 21 Actuellement en travaux, réouverture au public courant 2024

NÉCROPOLE NATIONALE DU BOIS DE TAPPE DONCOURT LES LONGUYON

NÉCROPOLE NATIONALE DU BOIS DE TAPPE DONCOURT LES LONGUYON

Ossuaire où reposent 95 soldats français tués lors des batailles d'août 1914

CIMETIÈRE MILITAIRE FRANÇAIS LONGUYON

CIMETIÈRE MILITAIRE FRANÇAIS LONGUYON

Cimetière militaire français (dans le cimetière près de l'église Ste Agathe) 60 tombes individuelles de français ( bataille des 23 et 24 août 1914 à Longuyon et de Verdun en 1916) Monument regroupant les restes de tués lors des combats des 23 et 24 août 1914 soit : 3 officiers, 4 sous-officiers, 70 soldats, 41 inconnus. 2 tombes françaises et fosse commune avec 16 français dont 6 inconnus.

CIMETIÈRE MILITAIRE ALLEMAND LONGUYON

CIMETIÈRE MILITAIRE ALLEMAND LONGUYON

En prolongation de la rue Mazelle, dominant la ville, le cimetière militaire allemand où reposent 1756 soldats (1748 allemands et 8 français) morts au cours de la guerre de 1914-1918. Certains sont morts lors de la bataille de Longuyon-Noërs, le 24 août 1914. Les autres sont morts à Longuyon après avoir été blessés sur les champs de bataille de la région car durant l'occupation la ville de Longuyon comptait plusieurs hôpitaux.

VILLAGE DÉTRUIT DE VAUX DEVANT DAMLOUP

VILLAGE DÉTRUIT DE VAUX DEVANT DAMLOUP

Vaux-devant-Damloup est un village détruit à part puisque, se trouvant à la limite de la « zone rouge » il a pu reconstruire, au fil du temps, un nouveau petit village, tout à proximité de l'ancien village détruit qui présente les mêmes caractéristiques que ses huit compagnons d'infortune. Appartenant au Chapitre de Verdun avant la Révolution, il a toujours été un village prospère au cours de son histoire. La présence du Fort de Vaux à proximité a toujours quelque peu bousculé le cours de l'histoire du village. En effet, dès sa construction de 1881 à 1884, le village a été largement sollicité pour participer à l'hébergement des nombreux ouvriers s'y relayant ; tout comme lors des importants travaux de renforcement entrepris sur le Fort de 1888 à 1912. En 1915, la décision de l'état-major, visant à désarmer en partie tous les Forts, transfère l'effort défensif en particulier sur les villages. Donc, celui de Vaux, placé au Nord de son Fort et au contact de la plaine de Woëvre, devient naturellement un point important dans le dispositif de défense du camp retranché de Verdun. Lors de la grande offensive allemande, déclenchée fin février 1916, il fait partie des objectifs majeurs des Allemands après la prise de Douaumont, tombé le 2 mars, et avant celle du Fort de Vaux. Après d'âpres combats dans ses murs, le village tombe aux mains allemandes le 31 mars 1916. Les bombardements français d'avril succèdent alors aux bombardements allemands de mars, ne faisant qu'accentuer l'anéantissement pur et simple du village. Après la chute du village, la 50e division allemande s'empresse de chercher à s'emparer du Fort de Vaux qui résiste héroïquement du 2 au 7 juin 1916 sous les ordres du Commandant Raynal. Cet épisode tragique devient un fait d'armes à jamais célèbre, car la garnison, à court d'eau potable et se battant dans les galeries du Fort depuis des jours, finit par se rendre aux Allemands qui, admiratifs de la vaillance des poilus survivants, décident de leur rendre les honneurs militaires à leur sortie du Fort. En 1918, le village de Vaux-devant-Damloup se retrouve à l'intérieur des limites de la fameuse « zone rouge » interdisant toute reconstruction. En 1919, il fait également partie de la liste des villages détruits et, pendant l'entre deux guerres, il y est édifié son monument aux morts ainsi que la chapelle-abri Saint Philippe et Saint-Jacques, à l'instar des huit autres villages détruits. Cependant, sa position à la limite de la zone et la présence de la voie ferrée de la compagnie des chemins de fer de l'Est, qui obtient l'autorisation de loger ses dix agents de service sur le site de Vaux-devant-Damloup, permet au village de retrouver, au fil des années et dès l'entre deux guerres, une nouvelle vie, désormais très active, tournée vers l'avenir et notamment Internet, sans pour autant renier le tragique passé de l'ancien village détruit, toujours présent à sa porte et à la mémoire de ses 70 habitants. A voir : - La chapelle-abri Saint Philippe et Saint Jacques ; - Le monument aux morts en l'honneur des Poilus morts à Vaux (il porte l'inscription : « On ne passe pas ») ; - Le fort de Vaux ; - L'étang de Vaux ; - Monument aux morts du 1er Bataillon de Chasseurs à Pied, près de l'étang ; - Stèle à la mémoire de l'aviateur Dussumier-Latour, abattu le 2 juin 1916 sur la digue de l'étang.

EGLISE SAINT JULIEN DE BRIOUDE-MONT BONVILLERS

EGLISE SAINT JULIEN DE BRIOUDE-MONT BONVILLERS

Édifice composite des XIIe et XIIIe (m. H.) comprenant l'ancienne église romane agrandie au XVe d'un vaisseau, au sud de trois travées voûtées d'ogives - Ouverte pour les journées du patrimoine (documentation en mairie) - Gratuit.

EGLISE DE DAMVILLERS

EGLISE DE DAMVILLERS

D'origine romane, l'église de Damvillers dont l'architecture date du 12ème et 16ème siècle reste de style gothique flamboyant. Belle composition de son élévation intérieure.

NÉCROPOLE NATIONALE DE GRANDCHAMP À BASLIEUX

NÉCROPOLE NATIONALE DE GRANDCHAMP À BASLIEUX

La nécropole de Baslieux (Meurthe-et-Moselle) est un monument ossuaire élevé sur un caveau construit le 26 aout 1920, à l'emplacement d'une fosse collective de soldats français enterrés par l'armée allemande. Il a été inauguré le 27 septembre 1922. Ce monument est un tombeau dont la croix abrite les restes de deux cent cinquante héros. On peut y lire l'épitaphe suivante : « Sur cette plaine, le 22 Août 1914, 800 Français sont tombés pour la Patrie »

EGLISE PAROISSIALE SAINT-MICHEL

EGLISE PAROISSIALE SAINT-MICHEL

Eglise construite en 1781, date portée par la porte d'entrée ; restaurée en 1839

EGLISE SAINT THIEBAUT DE MONT BONVILLERS

EGLISE SAINT THIEBAUT DE MONT BONVILLERS

Cette église (fin XIIe) a conservé de cette époque les parties basses de la nef (sauf façade occidentale), l'avant choeur supportant la tour-clocher flanqué de 2 petites pièces rectangulaires et le choeur. Exhaussée en 1758 et repercée, la nef est couverte d'un plafond lambrissé. Maître-autel, gradin, tabernacle, retable XVIIe, statues fin XVIe - XVIIIe (Vierge à l'enfant), autel réhabillé au XVIIIe - Ouverte durant les Journées du Patrimoine (documentation sur place), ou clefs à retirer au n 34 de Bonvillers village - Gratuit.

EGLISE SAINT PIERRE ET SAINT PAUL DE BASLIEUX

EGLISE SAINT PIERRE ET SAINT PAUL DE BASLIEUX

Petite église (m. H.) reconstruite en 1869 dans un style gothique. Tour datant de 1500/1550. Le clocher fortifié servait de refuge aux villageois lors d'invasions. L'orgue en chêne et sapin fut remplacé par Henri Didier. De chaque côté de la façade se trouve un lutrin en forme d'aigle (XVIIIe). Autel en pierre (m. H.) avec retable sculpté (XVIe).

MÉMORIAL MUSULMAN

MÉMORIAL MUSULMAN

Consacré aux soldats musulmans morts pour la France. Son péristyle et sa coupole rappellent l'architecture traditionnelle des mosquées.

MONUMENT ISRAÉLITE

MONUMENT ISRAÉLITE

Consacré aux soldats juifs morts pour la France, sa forme évoque le Mur des Lamentations, il est orné d'une bible gravée en lettres hébraïques.

NECROPOLE NATIONALE DE VILLETTE

NECROPOLE NATIONALE DE VILLETTE

Nécropole nationale de Villette où reposent les corps de 74 soldats français du 101ème RI (dont 3 inconnus) et 14 soldats allemands (dont 9 inconnus) morts autour de Longuyon et Villette lors de la bataille du 23 août 1914.

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