Même sous la pluie, Lachambre déborde de possibilités pour des moments inoubliables. La météo ne gâchera pas votre journée. Préparez-vous à vivre une expérience captivante, quels que soient les caprices de la méteo !
Activités pour sortir les jours de pluie à Lachambre. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
Nichée au sommet d'une colline, la basilique dévoile son charme aux passants. Un conseil : lever les yeux. La statue de l'Espérance vous tendra les bras au-dessus du portail. À l'intérieur, la voûte étoilée du dôme suspend le temps dans une nuit infinie. C'est un lieu de pèlerinage réputé et chéri des habitants depuis longtemps. À l'origine c'était une chapelle dédiée à Notre Dame de Bon-Secours. L'édifice fut agrandi et reconstruit au fil du temps, jusqu'à sa récente restauration de 2019.
Un édifice bâti au 18ème siècle, berceau du passé de la ville de Saint-Avold. En pénétrant dans l'église, la lumière inonde la haute nef et le silence se fait complice de la contemplation. L'ancien monastère possède dans son décor de nombreux trésors. Les plus attentifs remarqueront les détails travaillés des boiseries, les sculptures du 15ème siècle, les grandes orgues... Ainsi que des vitraux modernes et surprenants. Réussirez-vous à trouver l'hippocampe ou le perroquet ?
Une palette de couleurs douces et une luminosité qui s'harmonisent parfaitement avec l'Abbatiale Saint-Nabor. Les vitraux ont été réalisés début des années 70 par un maître verrier local, pour remplacer ceux soufflés par les bombes de 1944. Des verrières modernes qui illustrent dans la nef le thème de la création et les 4 éléments (faune et flore, eau, terre, air, vent et feu). Un conseil : prendre le temps d'observer. Dissimulés dans les nuances de couleurs, des tigres, hippocampes, perroquets...
Voyage dans le temps, en traversant la salle du restaurant de l'Hôtel de Paris. On se trouve dans une authentique chapelle de style gothique flamboyant. Édifiée vers 1570 dans la maison franche des Comtes de Créhange. Une famille dont le premier seigneur connu vivait au 13ème siècle. Le siège de la seigneurie était Créhange, où se trouvait un important château. Les arcs reposent sur les murs et sur une imposante colonne centrale. Les clefs de voûte sont armoriées, à l'image d'un glorieux passé.
Au milieu de ce village typique de Moselle, le clocher de l'église Saint-Jean Baptiste attire l'oeil depuis la campagne. L'édifice a été construit en 1732, puis agrandi en 1826. À l'intérieur, on peut observer des éléments du 19ème siècle comme le confessionnal, le buffet d'orgues et statuaires. Pour se rendre dans l'église, merci de contacter la mairie.
Une promenade en coeur de ville permet d'observer des fontaines historiques, sculptées dans la pierre. Aujourd'hui elles décorent les rues, autrefois elles procuraient aux habitants de l'eau de source. Les trois premières apparurent en 1714, pour améliorer la qualité de la distribution d'eau. Toutes les trois présentent des similitudes : un bassin hexagonal ou octogonal, à chaque fois surmonté d'une statue. Cependant, chacune raconte une histoire différente...
Isolée pendant près de 3 siècles au milieu des champs, la chapelle de la Sainte-Trinité est située dans la rue de la Chapelle qui tient son nom de cet édifice. Elle fut construite vers 1715 par un meunier, à la croisée du chemin conduisant à son moulin. De style rustique et de dimensions modestes, la chapelle est construite sur un plan rectangulaire. Sa couverture en ardoises déborde largement à l'ouest, protégeant ainsi le portail et la statue de l'archange Saint-Michel dans sa niche.
La maison du maître de forge Charles de Wendel fut construite vers 1765. Au XIXe siècle, la résidence passa aux mains d'autres industriels, les d'Hausen puis les Gouvy et enfin les HBL. Le bâtiment abrite désormais la mairie et l'intérieur ne se visite pas. Vous pouvez cependant découvrir son parc arboré et fleuri librement pendant les heures d'ouverture de la mairie et contempler l'architecture soignée du bâtiment, qui conserve tout son panache.
Entrée principale de la vieille ville et seule des trois portes de fortifications conservée. Construite vers 1240-1250, elle faisait partie d'un rempart de 650m de long qui protégeait la ville.
Elle fut construite vers 1852 par le maître de forges Alexandre GOUVY et devint le lieu de villégiature favori de son frère, le compositeur Théodore GOUVY. Avec succès, l'Institut Théodore Gouvy a redoré le blason du musicien longtemps oublié en éditant et en faisant interpréter ses oeuvres dans le monde entier. La Villa abrite actuellement le siège de l'Institut Théodore Gouvy. La Villa est actuellement fermée pour travaux de réhabilitation et de mise aux normes.
Une église dont le nom évoque les joyaux qu'elle possède. Notamment le retable illustrant la vie de la Vierge Marie daté de 1461. Une sculpture exceptionnelle qui se trouve dans un autel latéral. Il est classé à l'inventaire des monuments historiques, de même que la statue de la Vierge à l'enfant du 15ème siècle. À découvrir parmi d'autres trésors : la statue en bois de Sainte Anne, l'autel style Louis XV sculpté en 1765, les vitraux d'Hilaire...
Après avoir fortifié, vers 1245, le sommet de la colline de Hombourg avec un imposant château-fort, l'évêque de Metz Jacques de Lorraine fonda en ce lieu, en 1254, un chapitre de chanoines, pour lequel il ordonna la construction d'une grande et belle église dédiée à Saint-Etienne et à la Vierge. L'église occupe une position dominante au sommet du promontoire rocheux, d'où elle est visible de presque tous les côtés. Sensiblement orientée Est-Ouest, elle se situe dans le prolongement du bourg qui s'est développé à ses pieds. D'un style gothique des 13ème et 14ème siècles (elle fut commencée à la fin du XIIIe siècle et achevée vers 1400), l'église offre un aspect assez massif et trapu. L'édifice est construit en pierres de grès rose-ocre d'un bel appareil régulier, sauf au transept Nord recouvert d'un enduit. Elle brûla en 1632 mais échappa aux ravages de la guerre de Trente ans et de la Révolution de 1789. Symbole de la ville, l'église fut classée Monument historique en 1930.
Le bâtiment est visible uniquement de l'extérieur : bâtiment à 2 étages sur cave voutée, en pierre de grès rose. Admirable portail baroque en grès jaune, orné de la statue de Saint-François (1769). Possibilité de l'inclure dans une visite de ville commentée. Après la dissolution du chapitre Saint-Étienne en 1743, le duc de Lorraine Stanislas autorisa en 1749 l'implantation à Hombourg de moines récollets franciscains. Ces religieux bâtirent un nouveau couvent à côté de l'église collégiale et y résidèrent jusqu'à la Révolution. Après le départ des récollets, le bâtiment servit de presbytère jusqu'en 1997.
Une étrange tour métallique de 58 mètres de haut qui surgit dans le ciel. Unique en Lorraine, la "tour marteau" est indissociable du paysage du bassin houiller. Il s'agit de l'ancienne tour d'extraction de charbon de la cité de Fürst. Le chevalement est composé de deux compartiments d'extraction, avec deux machines au sommet. Construite en 1948, la tour est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
La bibliothèque municipale de Hombourg-Haut vous accueille pour le prêt de livre, des temps de lecture, des rencontres d'écrivains... et pour de nombreuses autres animations tout au long de l'année.
Le surprenant alignement de 14 saints-guérisseurs existe depuis le dernier tiers du XVIIIe siècle. Détruits pendant la Révolution, ils furent remis à l'honneur à la fin du XIXe siècle, sculptés dans un style naïf et fruste qui leur confère un charme particulier.
L'église de style gothique se tient au milieu du village. Le clocher culmine solennellement dans les airs, on pourrait croire l'édifice de 1889 intouchable. Et pourtant 35 obus ont touché les environs proches en novembre 1944, créant des dégâts considérables. À peine 4 ans plus tard, le bâtiment qui tenait au coeur des habitants fut réhabilité. Elle fut la première église reconstruite après la guerre du diocèse.
Du plus pur style gothique, la chapelle fut construite entre 1250 et 1270 à côté de sa maison, par le chevalier Simon de Hombourg à un usage domestique et privé, dans le périmètre de Ritterburg, écart fortifié du château. Autour de la chapelle se trouvaient les bâtiments du Ritterbourg ou Château des chevaliers. Avec ses tours et son rempart il constituait la partie extrême du grand château médiéval. Son soubassement servait de caveau funéraire. Plusieurs fois restaurée au cours de son histoire, en 1706, 1897 et 1986, la chapelle est réputée pour sa décoration de qualité. La chapelle fut classée Monument historique en 1895 sous autorité allemande puis à nouveau en 1930. Hors visite guidée, visible uniquement de l'extérieur (ouverte pendant les visites guidées de l'Office de tourisme).
Barst abrite un modeste mais surprenant ossuaire du XIXe siècle qui est inscrit à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 1987. Une inscription en allemand et en latin, datée du XVIIIe siècle, nous invite à l'humilité. « C'EST ICI LA JUSTICE DIVINE, CI-GIT LE MAÎTRE COMME SON VALET. APPROCHEZ, VOUS LES SAGES DE CE MONDE ET DITES QUI EST LE VALET ET QUI EST LE MAÎTRE. BIENHEUREUX CEUX QUI SONT MORTS DANS LE SEIGNEUR » Cet ossuaire se situe à l'arrière de l'église avec un accès possible par la rue de Biding.
Liste des cinémas autour de Lachambre, mais également les événements cinéphiles, avant premières, projections, cinémas en plein air.
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