106 Activités à Faire à La Neuveville devant Lépanges Quand il Pleut
Activités pour sortir les jours de pluie à La Neuveville devant Lépanges. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
Même sous la pluie, La Neuveville devant Lépanges déborde de possibilités pour des moments inoubliables. La météo ne gâchera pas votre journée. Préparez-vous à vivre une expérience captivante, quels que soient les caprices de la méteo !
Activités pour sortir les jours de pluie à La Neuveville devant Lépanges. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
Le Moulin de Xamontarupt réunissait sur un seul site, 4 types de production : meunerie, huilerie, saboterie et haut fer. De nos jours, 3 d'entre elles sont encore visibles sur le site. La visite des lieux est impressionnante, on croirait presque que les machines sont arrêtées depuis peu et qu'elles sont prêtes à se remettre en route d'un moment à l'autre. Les sacs empilés ne demandent qu'à être remplis et les sabots à trouver des pieds qui veulent encore bien d'eux. Visite commentée par le propriétaire des lieux qui entretient ce patrimoine année après année afin qu'il perdure et témoigne de la vie d'antan. Visites guidées moulin et découverte de son histoire (7EUR/pers.) : - pour les groupes toute l'année sur demande - les mercredis et dimanche en juillet et août
Panorama sur la ligne bleue des Vosges, sur la vallée de la Vologne, du Neuné et du Barba. A proximité, une table d'orientation, oeuvre de Mme Landormy, peintre local, permet de se situer dans le superbe paysage. La Montagne de Spiemont comportait un autel druidique. Les ingénieurs géographes de la carte de France avaient élevé en 1824 une pyramide aujourd'hui démolie. Il existe, depuis 1906, un signal géodésique en pierre de neuf mètres de haut au sommet de la montagne. Cette cheminée géodésique servait à mettre à l'abri du vent le fil à plomb nécessaire pour faire des repérages et prendre des mesures d'angles nécessaires à la réalisation des cartes au début du XXème siècle.
Bibliothèque municipale.
L'église de Rehaupal est située au centre du village. Elle a été construite en 1723. Elle a été ornée de vitraux du maître verrier, Gabriel Loire.
L'église de la Nativité Notre Dame est située au centre du village. Elle date du XIXe siècle. Ses trois cloches sont renommées pour leur harmonie. La plus grosse des cloches est classée monument historique (fondue par A. Hamiot et J. Antoine). A l'intérieur, un ensemble de trois pièces en bois léger appelé "Nativité de la Vierge Marie" est également classé aux monuments historiques.
Construite vraisemblablement dans le troisième quart du XIIème siècle, l'église est une des premières et la plus importante de la vallée de la Vologne, tout comme le village qui l'entoure, puisqu'il préexistait à la ville de Bruyères. L'église de l'assomption de Notre-Dame de Champ-le-Duc est un édifice de style roman construit sur le site d'une prétendue villa du IXème siècle dont on attribue la fondation à l'empereur Charlemagne lui-même, qui aurait eu l'habitude de venir chasser dans les environs. L'église a connu plusieurs restaurations, au XVIIIème siècle puis après la Seconde Guerre mondiale, et également à la fin du XXème siècle suite à un incendie. L'édifice fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 7 mars 1908. L'église abrite un remarquable mobilier, protégé au titre des monuments historiques remontant principalement au XVIIIème siècle, en particulier l'orgue, attribué à Nicolas Dupont, construit en 1781, l'autel tombeau, le tabernacle et les fonts baptismaux. Visites guidées : -Pour les groupes toute l'année sur demande -Lors des journées du Patrimoine Visites libres : du 1er mai au 16 septembre de 9h30 à 18h00 Possibilité de découvrir l'édifice en autonomie grâce à un parcours QRCode.
Paroisse située au centre du village.
La chapelle, oeuvre du sculpteur Jean Parisse, a été consacrée le 11 septembre 1946, en présence de l'évêque de Saint-Dié, Monseigneur Blanchet. Elle a été érigée en reconnaissance à la Vierge pour la protection accordée aux habitants lors de la retraite allemande et de la libération de 1944.
Kiosque à musique où se déroule plusieurs animations ponctuelles.
Fondée en 1888, la grotte Notre-Dame à Eloyes était en péril mais des travaux de sauvegarde et de rénovation sont maintenant terminés.
La tradition fait remonter la Chapelle de Saint Jacques du Stat à l'époque Carolingienne. Il ne reste de la chapelle primitive que: le clocher (inscrit à l'inventaire des monuments historiques) et l'ancien choeur. En 1878, l'église est agrandie, et prend sa forme définitive, pour pouvoir accueillir tous les fidèles. L'église de Saint Jacques du Stat est située sur le chemin d'été des pèlerins de Compostelle. L'association des Amis de Saint Jacques organise chaque année fin juillet une fête afin de célébrer la Fête Saint Jacques.
La chapelle des arts est un lieu dédié à la culture (exposition artistique "peinture, arts plastiques, sculptures...) Ce bâtiment est la propriété du sculpteur DANIEL PETITGENET est un lieu d'expositions et de concerts.
Ce petit édifice religieux du XVIIIème siècle, dédié à Sainte Sabine, est situé sur l'emplacement d'un oratoire plus ancien. La légende nous raconte que les moniales désertèrent les hauteurs du Saint Mont en 818 pour s'installer à Remiremont. Entre 910 et 920, les invasions barbares les obligèrent à revenir au Saint Mont. Elles ramenèrent avec elles les reliques de St Amé, St Romaric et St Adelphe (les 2 premiers était les saints fondateurs et le troisième abbé à tête du monastère). La plus jeune des nonnes, qui s'appelait Sabine, ayant eu du mal à suivre la fuite éperdue, s'égara dans la montagne et dans la forêt du Fossard. Elle fut rejointe par les Huns à proximité d'une source où ils la décapitèrent. Suite à cette exaction, la source prit le nom de Sainte Sabine il s'y produit par la suite de nombreux miracles. Toujours selon la légende, Sainte Sabine aurait été la seule à avoir porté la palme du martyre. Une légende à laquelle se seraient alors reportés de nombreux habitants des environs afin d'honorer le culte de Sainte Sabine. Un pèlerinage qui se perpétue chaque année le dernier samedi d'août, journée au plus proche de la fête de Sainte Sabine Tout proche de la chapelle, se trouve un petit bassin divinatoire. Chaque année des jeunes filles participant au pèlerinage de Sainte Sabine allaient jeter une aiguille dans l'eau et si celle ci surnageait.... le mariage était assuré dans l'année! Si elle ne surnageait pas elles n'avaient plus qu'à retenter leur chance l'année suivante !!
L'ancien ermitage de Saint Arnould se situe sur le Morthomme dans le massif du Fossard. Il y a très peu d'éléments visibles à ce jour : une croix à l'emplacement de l'ancienne chapelle, quelques gravures modernes et quelques vestiges de l'ancienne ferme. Arnoul de Metz est né vers 582 à Lay-Saint-Christophe et mort vers 640 au Saint-Mont. Il est le 29ème évêque de Metz (613 à 628), puis devient ermite à proximité du monastère du mont Habend (Saint-Mont), fondé par son ami Romaric. Il y soigna les lépreux jusqu'à sa mort. Il est un des ancêtres de la dynastie carolingienne ( trisaïeul de l'empereur Charlemagne)
Les Hautes-Vosges, et notamment le Haut du Tôt, sont parsemés de croix de chemin. Aussi appelés calvaires, ces monuments édifiés en pierre constituent une part importante de l'identité et du patrimoine bâti du territoire. Aux origines des croix de chemins On distingue 3 origines principales : - Les croix de peste, élevées en souvenir des habitants qui ont péri par la peste entre 1630 et 1637 et qui ont été inhumés à l'écart des lieux habités. - Les croix de dévotion élevées en l'honneur de Dieu ou à l'intention des âmes du purgatoire. - Les croix érigées en l'honneur des soldats tués au combat lors de la libération de 1944. 398 ans de croix de chemins ! La croix du collecteur, la plus ancienne du territoire, date de 1602. Située chemin des Tilleuls, à Vagney, elle fut construite à l'emplacement où un collecteur d'impôts aurait été assassiné. La plus récente fut érigée au Haut du Tôt lors de la Semaine Sainte de l'An 2000. Dans les fondations, une bouteille contenant le nom de tous les habitants a été scellée. Une façon originale de marquer le passage vers le nouveau millénaire ! Le circuit des croix de chemin Ce circuit composé de deux boucles part du col de la Croix des Hêtres. La première boucle (2, 5 km) permet de voir les 4 premières croix qui sont réparties sur le Haut des Charmes. La seconde (3, 5 km) parcourt Moyenmont et le Haut du Tôt à la découverte des croix 5 à 11. Animations En juillet et en août, il est possible de parcourir ce circuit aux côtés de Daniel Thiriet, bénévole de l'ASF, qui présente alors l'origine et l'histoire de chacune des croix de chemins du Haut du Tôt, ainsi que la vie rurale dans les fermes au cours des siècles derniers. Cette visite guidée se termine par l'église, bâtie par les habitants en 1832. 3, 5 km sont parcourus à pied (sans difficulté), le reste est fait en voiture. Contact : Daniel Thiriet - 03 29 61 73 24
Elevée à 840 m d'altitude, cette église n'a pas pour seul mérite d'être la plus haute du département des Vosges : elle fut construite en une année des mains des paroissiens ! Ouverte en journée, elle peut être découverte en visite guidée. Contacter Daniel Thiriet au 03. 29. 61. 73. 24. Une construction hors du commun L'éloignement des lieux de culte posait problème aux habitants du Haut du Tôt qui devaient parcourir 16 à 20 km A/R pour se rendre aux offices religieux dans les églises de Vagney, de Rochesson, de Gérardmer ou du Tholy selon leur lieu d'habitation. Au début du XIXe siècle, l'idée de construire une église au centre du plateau devient la préoccupation majeure de beaucoup et leurs faibles moyens ne les découragent pas. Pendant l'hiver 1831-1832, les habitants préparent les pierres de la future église dont la plupart proviennent d'une carrière de grès située à quelques kilomètres de là en direction du Tholy. D'autres abattent les arbres et les équarrissent pour préparer la charpente. La première pierre est bénite en février 1832. Tous les habitants participent aux travaux et le 17 septembre 1832, la première messe est célébrée. L'église est alors couverte d'essis, ainsi que les façades exposées aux vents dominants. Les bancs, toujours en place aujourd'hui, sont tous différents et réalisés eux aussi par les habitants. © www. Haut-du-tot. Fr
Il était prévue dans un premier temps de construirez l'église sur un terrain donné par Nicolas CLAUDON, au lieu-dit le Golot. Cependant, l'Abbesse de Remiremont voulaient quant a elle construire l'édifice sur ces terre. Chose qui sera fait en avril 1725, puis consacré en 1726. L'église possède dans son intérieur plusieurs éléments remarquable : - grandes orgues du facteur GÉHIN de 1867 - plusieurs vitraux ainsi qu'un Chemin de Croix de Gabriel LOIRE, de Chartres - les grilles de commsont classées au titre des monuments historique.
La Chapelle a été bâtie vers 1730 par les chanoines qui habitaient le St-Mont et a été dédiée à Sainte-Claire (la troisième abbesse du St-Mont) et à Saint-Romaric (l'un des fondateurs du monastère). La chapelle de Sainte-Claire disparut à la révolution et fut reconstruit ensuite, près de la ferme St-Romary. Sainte-claire est née vers 600 et décédée entre 652 et 665 selon différentes sources . Se prénommant à l'origine Ségorberge, elle se présentait comme étant la fille de Saint-Romary. Elle fut la troisième abbesse du Saint-Mont. D'après la légende, lors des Laus Perenis, la prière continuelle, elle priait avec telle ferveur qu'elle en pleurait. elle en finit par perdre la vue; dès lors elle se fait appeler Cécile (pour cécité). Plus tard, lors d'une promenade dans le domaine du Fossard, elle est aller de rafraichir près d'une source. En se passant l'eau sur les yeux elle retrouvait une vue de toute clarté. elle se fait désormais appeler Saint-Claire. Selon une autre légende, pour ses qualités de pureté et de tendresse exceptionnelle, ses compagnes la surnommaient « Claire ». Elle avait des dons pour soigner les maux des yeux, avec l'eau de la source du même nom qui coule au pied du Saint-Mont.
Cette pierre a servi durant l'année 1632, pendant l'épidémie de peste qui ravageât le secteur. L'histoire raconte que la peste n'épargna qu'une seule personne au hameau de "derrière Chaumont" à Saint Nabord. Ce survivant s'appelait Jean Mougin. Sa marraine qui habitait Remiremont venait tous les jours, lui déposer de la nourriture jusqu'à cet endroit appelé le Rond Caillou (ou y rond coyau en patois). Arrivée près de cette table improvisée, elle lui criait : "Jean, ote vo-cot? N'ote vo mi monô?" Jean, êtes-vous encore? N'êtes vous pas mort? Une croix des pestiférés situé 200m à l'ouest du Rond Caillou commémore cet épisode douloureux.
Liste des cinémas autour de La Neuveville devant Lépanges, mais également les événements cinéphiles, avant premières, projections, cinémas en plein air.
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