39 Activités à Faire à Bey sur Seille Quand il Pleut
Activités pour sortir les jours de pluie à Bey sur Seille. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
Même sous la pluie, Bey sur Seille déborde de possibilités pour des moments inoubliables. La météo ne gâchera pas votre journée. Préparez-vous à vivre une expérience captivante, quels que soient les caprices de la méteo !
Activités pour sortir les jours de pluie à Bey sur Seille. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
Ancienne fontaine, d'un village détruit en partie en 1914, zone de friches réaménagée et mise en place d'une oeuvre d'un artiste local dans le cadre d'un projet intercommunal de création d'un patrimoine d'Art contemporain.
Eglise de style gothique (m. H.) : chapelle du XVIe, flèche et clocher du XIXe. Belles voûtes sur croisées d'ogives - Visites pour groupes sur rendez-vous.
Portail roman du XIe (tympan avec Christ en Gloire). Eglise du XIIe, dont l'intérieur a été complètement rénové. Choeur présentant un harmonieux ensemble de baies romanes en triplet. Maître-autel (1760-1770) doré à la feuille d'or. L'église est accessible aux personnes à mobilité réduite.
Ancien Prieuré fondé au XIIe par l'Abbaye de Sainte-Marie-aux-Bois (Ordre des Prémontrés), la petite église (m. H.) comporte une travée de choeur et une abside de pure architecture romane. La crypte, restaurée en 1956, mérite également attention. Ouverte pour les journées du patrimoine.
Le château d'Aulnois-sur-Seille était à l'origine une maison-forte, propriété de l'évêché de Metz pour protéger la porte d'entrée dans la vallée de la Seille, célèbre pour l'exploitation du sel. Il fut transformé et agrandit au fur et à mesure des siècles par les différentes famille propriétaires. Il est aujourd'hui un témoin intéressant de l'évolution du château, de l'architecture défensive à la résidence luxueuse et confortable. Le château du XVIIIème siècle fut construit d'après les plans attribués à Germain Boffrand (architecte du château de Lunéville). Aujourd'hui propriété du SIVOM des Armoises (syndicat intercommunal à vocation multiple), le château accueille une école maternelle et primaire.
La gare impériale de Chambrey est un témoin de l'ancienne frontière de 1871. Son aspect monumental devait frapper les esprits et marquer visuellement la nouvelle frontière. Le bâtiment de la gare était au coeur d'un quartier allemand séparé du village. Détruite en 1918, la gare a été reconstruite plus modestement. La fermeture progressive de la ligne Nancy-Sarreguemines a entraîné son obsolescence. La gare est fermée en 1975, rachetée par la commune, elle est alors transformée en salle des fêtes.
La chapelle saint-Roch, du nom du saint Patron des malades et personnes handicapées est quelque peu cachée par la végétation. Elle fut construite en 1819 par François Perquel et son épouse. Elle fut ensuite agrandie en 1856 grâce aux donations des habitants de la commune. Une source à côté de la chapelle avait selon la légende des vertus curatives. Un pèlerinage a lieu encore aujourd'hui en août.
Choeur de style gothique flamboyant du XVe, nef plus tardive avec les voûtes en bois. Orgue situé en tribune au-dessus de l'entrée, construit en 1842, de facture de Nicolas-Antoine Lété, restauré en 2000 et 2001, buffet en boiserie très classique, c'est le seul instrument connu avec un clavier de 56 notes chez Lété, et un des premiers exemples en France. La construction de l'église du village a été entreprise par les prieurs de Lay-Saint-Christophe au début du 16e siècle. L'achèvement de la construction eût lieu précisément en 1518 et elle devient annexe de Lay en 1521. L'édifice actuel n'est pas un ensemble homogène ; on peut y distinguer trois parties. La tour carrée à trois étages avec des ouvertures géminées, a été datée du 14 e siècle par la société d'archéologie lorraine en 1899. Le coeur quant à lui, avec sa très belle voûte gothique en croisées d'ogive est daté de 15e siècle. La nef centrale et ses deux collatéraux pourvus de voûtes gothiques faites de plâtre et de bois ne furent construits qu'au 19e siècle.
La chapelle Notre-Dame de la Pitié est datée de 1880. Elle a une forme carrée peu ordinaire. La façade est l'élément décoratif majeur, percée d'une rosace bien ronde ornée d'un magnifique vitrail. Le portail plein cintre dont le tympan présente une sculpture trilobée, est porté par 2 pilastres. Plus haut, le texte "Ave Maria" est sculpté au milieu d'une forme trilobée. A l'avant, les contreforts latéraux sont ornés d'un pinacle coiffé d'un chou, alors que le sommet triangulaire de la façade est décoré de volutes telles des marches menant à la statue de la Vierge qui couronne la façade de cette chapelle.
A l'emplacement de l'actuelle église, existait dès 1130 une petite église romane dont il reste aujourd'hui le clocher et la tour. Elle était dédiée à Saint-Christophe, patron des voyageurs. La petite église fût démolie en 1860 pour construire celle que nous voyons actuellement. A droite du choeur, on peut y voir une remarquable statue en bois de Saint Christophe de 2, 62 mètres de haut, datant du XIIe siècle et rénovée au XIVe. On peut y voir aussi une Vierge en pierre du XIVe siècle, un crucifix en noyer et un Saint Nicolas en bois sculpté datant du XVIe siècle, une statue de Saint Roch datée de 1620/1630. A l'initiative du curé Huschard, un orgue a été installé en 1963 et le chemin de croix fut offert par les paroissiens.
Propriété des évêques de Metz jusqu'au milieu du XVIème siècle puis de la famille ducale de Lorraine, l'ancienne ville de Nomeny fut fortifiée jusqu'au XVIIème siècle. Ses remparts édifiés de 1335 à 1365 furent détruits sur ordre de Richelieu. Sa forteresse romane (fin XIème siècle) fut démantelée sur ordre de Louis XIV en 1671 et son château gothique (XIVème siècle) situé dans sa cour servit de carrière pour la construction des casernes de cavalerie de Stanislas (1742). Il ne reste que les vestiges de trois tours, de trois courtines et de deux fossés de la forteresse ainsi que les pavés de la cour du château.
L'Eglise Notre-Dame de l'Assomption de Malleloy est rattachée à la Paroisse Notre-Dame de Clévant qui compte 3 clochers (Bouxières-aux-Dames ; Custines et Malleloy).
Propriété des évêques de Metz jusqu'au milieu du XVI, l'ancienne ville de Nomeny fut fortifiée jusqu'au XVIIs. Ses remparts édifiés de 1335 à 1365 furent détruits sur ordre de Richelieu. Sa forteresse romane (XI) et son château gothique (XIV) furent détruits sur ordre de Louis XIV. Il ne reste que les vestiges de trois tours, de trois courtines et de deux fossés de la forteresse ainsi que les pavés de la cour du château... Visite gratuite.
"D'azur à la croix recroisée d'or le montant en chef de deux pièces". Ce sont les armes des sires de Nomeny de l'ancienne chevalerie lorraine. Nomeny, arrosée par la Seille, dépendait de l'évêché de Metz. La seigneurie érigée en marquisat d'Empire a été incorporée au duché de Lorraine en 1612.
A voir dans ce village typiquement lorrain, quelques croix de belle facture, un grand calvaire de style gothique flamboyant datant du 16ème siècle, un moulin à huile, ...
De style néogothique, l'église a été bâtie entre 1868 et 1893. Elle possède un bel orgue du 18 siècle, qui provient de l'Abbaye des Prémontrés de Salival (5km au sud-est de la localité, en direction de Moyenvic) et qui a été totalement restauré en 1995. La Pierre de la Peste (1860), placée à l'entrée du cimetière, rappelle la terrible épidémie qui fit des ravages durant la Guerre de Trente ans. Pour les visites contacter monsieur Poirel Gilles au 03 87 05 11 41
Les membres de la famille Marcol, seigneurs de Manoncourt, font construire au XVIIème siècle le château de Manoncourt avec son parc de 3 ha. Détruit en grande partie au cours de la guerre 1914-1918, il est reconstruit en 1919-1920 par Monsieur Colin, un riche industriel de la région. Le château de Manoncourt est alors également appelé La Maison Colin. En 1924, Monsieur Colin commande à l'artiste Louis Guingot (1864-1948) peintre, décorateur, inventeur et membre fondateur de l'Ecole de Nancy, la réalisation de majestueuses fresques afin de décorer la salle de fête du château. La propriété est aujourd'hui inscrite à l'inventaire des Monuments Historiques. La charpente intérieure est signée Emile Gallé.
Le lavoir de la commune de Phlin est un très bel édifice du XIX siècle avec la réalisation d'une oeuvre d'art contemporaine. A visiter.
De l'église médiévale, il ne reste qu'une tour romane du XII ème Siècle. Elle a subi des extensions jusqu'à la fin du XVI ème Siècle. Inscrite au titre des monuments historiques depuis 1990.
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