Même sous la pluie, Barst déborde de possibilités pour des moments inoubliables. La météo ne gâchera pas votre journée. Préparez-vous à vivre une expérience captivante, quels que soient les caprices de la méteo !
Activités pour sortir les jours de pluie à Barst. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
Barst abrite un modeste mais surprenant ossuaire du XIXe siècle qui est inscrit à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 1987. Une inscription en allemand et en latin, datée du XVIIIe siècle, nous invite à l'humilité. « C'EST ICI LA JUSTICE DIVINE, CI-GIT LE MAÎTRE COMME SON VALET. APPROCHEZ, VOUS LES SAGES DE CE MONDE ET DITES QUI EST LE VALET ET QUI EST LE MAÎTRE. BIENHEUREUX CEUX QUI SONT MORTS DANS LE SEIGNEUR » Cet ossuaire se situe à l'arrière de l'église avec un accès possible par la rue de Biding.
Au départ simple chapelle, l'église de Barst est construite au 1731. Une chapelle dédiée à Saint Wendelin est citée pour la première fois au XVIII siècle. En 1821, Barst devient paroisse autonome et la chapelle Saint-Wendelin devient église. Selon la légende Wendelin rencontrât un grand seigneur. Cet homme extrêmement riche et impie admonesta Wendelin parce qu'il mendiait de la nourriture. Le noble lui dit : « Tu es un jeune homme. Tu peux gagner ta propre nourriture. Viens prendre soin de mon troupeau et gagner ton pain. » Wendelin estima qu'en acceptant ce travail et en étant payé pour cela, il apprendrait encore plus les choses ce monde. Il accepta et se mit au travail en prenant soin d'un troupeau de porcs. Ces créatures ne lui laissèrent pas une minute de repos et plus de temps pour ses prières. Il demanda à son maître de le relever de cette tâche. Le maître, en dépit de tous ses défauts, respecta les souhaits de Wendelin. Il le fit travailler comme bouvier pour s'occuper d'un troupeau de vaches. Wendelin put alors consacrer plus de temps à ses dévotions. L'histoire veut que Dieu bénit ce troupeau à cause des prières de Wendelin, si bien qu'il devint si productif qu'à nouveau Wendelin se retrouva avec peu de temps pour la prière. Le troupeau s'agrandit deux fois plus vite que les autres troupeaux du noble seigneur. Encore une fois, Wendelin pria son maître de l'aider. Ce dernier lui confia alors un troupeau de moutons. De nouveau Wendelin se retrouva avec suffisamment de temps pour la prière. Il n'emmenait pas toujours ses moutons sur les mêmes pâturages, et souvent, il les conduisait très loin. En outre, il souhaitait être loin de tout autre berger pour pouvoir se concentrer sur ses prières. C'est ainsi que la légende veut que saint Wendelin ait foulé les terres de Barst. Wendelin fut enterré dans l'église de Sankt-Wendel en Sarre. Protecteur des animaux, et suite à son passage sur les terres de Barst, les habitants lui ont confié leur église.
A Hoste, des maisons paysannes restaurées avec goût mais aussi avec la modestie qui sied à leur grand âge, surprennent dans la rue du Petit-Pont et la rue Saint-Jean. Empreintes d'un charme indéniable, elles datent toutes du XVIIIe siècle. Il semble bien que ce soit là l'expression la plus occidentale de la zone de diffusion du pan de bois en Moselle. Toujours habitées à ce jour, il n'est pas possible de les visiter.
L'Histoire de la pittoresque chapelle Bonne Fontaine de Hoste débute en 1799, quand une apparition mariale se produit près d'une source, devant un enfant sourd muet, qui guérit. D'autres récits de guérison apparaissent rapidement et des pèlerinages importants sont organisés, dans un contexte de Révolution française qui n'apprécie guère ces mouvements de foule. En 1848, un calvaire est mis en place, puis la source est aménagée. Enfin, à l'aube de la Première Guerre Mondiale, la chapelle est érigée pour recevoir la ferveur religieuse suscitée par ce lieu pétri tant de croyance que de légendes.
La maison Güth de Hoste, témoin vivant du XVIIe siècle, a 330 ans et a su rester d'époque. C'est un usoir fleuri qui vous accueille. Le puits et son abreuvoir rafraîchissent cette image de carte postale. Sur le petit chemin de pierres calcaires, le regard s'attarde sur les colombages, tissage de bois sur une façade beige et délicate. Les volets et portes rouges réchauffent cette vieille dame. De pièce en pièce, le visiteur remonte le temps. Outils et ustensiles de nos ancêtres attendent. L'ambiance est tamisée et confortable dans le petit salon, bas de plafond avec des petites fenêtres comme dans un cottage. La cuisine renferme une flamande : puits de lumière et cheminée à la fois. Dans la grange, un moulin à cheval résonne encore des sons du labeur agricole. Partout, la pierre murmure des histoires du temps jadis. Refuge des artistes, son jardin accueille concerts et spectacles plusieurs fois par an. La musique enchante alors que les papilles se régalent d'une boisson fraîche et d'une pâtisserie maison. L'évasion peut se poursuivre dans l'arboretum, recueil d'essences locales et exotiques. Un pont de bois sous les frondaisons propose de continuer sa route sur les sentiers de Hoste.
Le puits à balancier de Hoste est un remarquable témoin du passé. Détruit pendant la seconde guerre mondiale, il fut reconstruit en 1950 et demeure aujourd'hui le spécimen le mieux conservé de notre territoire.
Surplombant le charmant village d'Altrippe, l'église Saint-Pierre ne cache pas sa singularité : une tour de forme ronde. Le bâtiment de style roman a été construit en 1450 et agrandi au 19ème siècle. En empruntant le chemin vers le sud, on trouve le calvaire sur le point le plus haut du village. Il a été érigé en 1898 par l'Abbé Colbus et ses paroissiens suite à une vision mystique.
Une église au décor singulier... Seingbouse est déjà attesté en 1255. Son nom signifie « le bois défriché par brûlis ». L'église St-Jacques fut construite en 1730 mais elle est caractéristique de la seconde moitié du XIXe siècle notamment par son décor de stuc exubérant qui surcharge son choeur.
L'église actuelle se situe au milieu du village sur l'emplacement d'une vieille chapelle : Wendelinuskapelle. Des offices eurent lieu surtout en hiver. Dès 1862, l'abbé Stanislas MULLER, curé de la paroisse mit en route le projet de construction d'une nouvelle église. La première pierre a été posée le 9 octobre 1864 en présence de nombreuses personnalités.
Au milieu de ce village typique de Moselle, le clocher de l'église Saint-Jean Baptiste attire l'oeil depuis la campagne. L'édifice a été construit en 1732, puis agrandi en 1826. À l'intérieur, on peut observer des éléments du 19ème siècle comme le confessionnal, le buffet d'orgues et statuaires. Pour se rendre dans l'église, merci de contacter la mairie.
Depuis la rue, vous pouvez admirer une ferme lorraine authentique et traditionnelle, du XVIIIe siècle, sur les hauteurs du village.
Le surprenant alignement de 14 saints-guérisseurs existe depuis le dernier tiers du XVIIIe siècle. Détruits pendant la Révolution, ils furent remis à l'honneur à la fin du XIXe siècle, sculptés dans un style naïf et fruste qui leur confère un charme particulier.
La maison du maître de forge Charles de Wendel fut construite vers 1765. Au XIXe siècle, la résidence passa aux mains d'autres industriels, les d'Hausen puis les Gouvy et enfin les HBL. Le bâtiment abrite désormais la mairie et l'intérieur ne se visite pas. Vous pouvez cependant découvrir son parc arboré et fleuri librement pendant les heures d'ouverture de la mairie et contempler l'architecture soignée du bâtiment, qui conserve tout son panache.
Après avoir fortifié, vers 1245, le sommet de la colline de Hombourg avec un imposant château-fort, l'évêque de Metz Jacques de Lorraine fonda en ce lieu, en 1254, un chapitre de chanoines, pour lequel il ordonna la construction d'une grande et belle église dédiée à Saint-Etienne et à la Vierge. L'église occupe une position dominante au sommet du promontoire rocheux, d'où elle est visible de presque tous les côtés. Sensiblement orientée Est-Ouest, elle se situe dans le prolongement du bourg qui s'est développé à ses pieds. D'un style gothique des 13ème et 14ème siècles (elle fut commencée à la fin du XIIIe siècle et achevée vers 1400), l'église offre un aspect assez massif et trapu. L'édifice est construit en pierres de grès rose-ocre d'un bel appareil régulier, sauf au transept Nord recouvert d'un enduit. Elle brûla en 1632 mais échappa aux ravages de la guerre de Trente ans et de la Révolution de 1789. Symbole de la ville, l'église fut classée Monument historique en 1930.
Entrée principale de la vieille ville et seule des trois portes de fortifications conservée. Construite vers 1240-1250, elle faisait partie d'un rempart de 650m de long qui protégeait la ville.
Le bâtiment est visible uniquement de l'extérieur : bâtiment à 2 étages sur cave voutée, en pierre de grès rose. Admirable portail baroque en grès jaune, orné de la statue de Saint-François (1769). Possibilité de l'inclure dans une visite de ville commentée. Après la dissolution du chapitre Saint-Étienne en 1743, le duc de Lorraine Stanislas autorisa en 1749 l'implantation à Hombourg de moines récollets franciscains. Ces religieux bâtirent un nouveau couvent à côté de l'église collégiale et y résidèrent jusqu'à la Révolution. Après le départ des récollets, le bâtiment servit de presbytère jusqu'en 1997.
Elle fut construite vers 1852 par le maître de forges Alexandre GOUVY et devint le lieu de villégiature favori de son frère, le compositeur Théodore GOUVY. Avec succès, l'Institut Théodore Gouvy a redoré le blason du musicien longtemps oublié en éditant et en faisant interpréter ses oeuvres dans le monde entier. La Villa abrite actuellement le siège de l'Institut Théodore Gouvy. La Villa est actuellement fermée pour travaux de réhabilitation et de mise aux normes.
L'Institut Théodore Gouvy se trouve dans la Villa Gouvy et oeuvre pour la redécouverte de Théodore Gouvy, compositeur du 19ème siècle, tombé injustement dans l'oubli. Leurs activités principales sont: le festival Les Rencontres Musicales, l'édition de ses oeuvres et des visites de la Villa Gouvy, où le compositeur a vécu les 30 dernières années de sa vie et composé ses oeuvres les plus importantes. Actuellement, la Villa Gouvy est en travaux et ne peut donc pas être visitée mais vous pouvez l'admirer de l'extérieur et, bien entendu, l'Institut continue ses activités pendant les travaux.
Du plus pur style gothique, la chapelle fut construite entre 1250 et 1270 à côté de sa maison, par le chevalier Simon de Hombourg à un usage domestique et privé, dans le périmètre de Ritterburg, écart fortifié du château. Autour de la chapelle se trouvaient les bâtiments du Ritterbourg ou Château des chevaliers. Avec ses tours et son rempart il constituait la partie extrême du grand château médiéval. Son soubassement servait de caveau funéraire. Plusieurs fois restaurée au cours de son histoire, en 1706, 1897 et 1986, la chapelle est réputée pour sa décoration de qualité. La chapelle fut classée Monument historique en 1895 sous autorité allemande puis à nouveau en 1930. Hors visite guidée, visible uniquement de l'extérieur (ouverte pendant les visites guidées de l'Office de tourisme).
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