Même sous la pluie, Bambiderstroff déborde de possibilités pour des moments inoubliables. La météo ne gâchera pas votre journée. Préparez-vous à vivre une expérience captivante, quels que soient les caprices de la méteo !
Activités pour sortir les jours de pluie à Bambiderstroff. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
La chapelle se situe à l'emplacement du village dispde Betting. Il a été rayé de la carte durant la Guerre des Trente ans, et seul subsistent la chapelle du 14ème siècle, ainsi que le chêne et la source miraculeuse à proximité. D'après la légende, Saint Gengoulf, lors d'une campagne, aurait planté son bâton dans la terre et fait jaillir une source. Celle-ci se trouve à quelques mètres à peine de la chapelle, qui a été restaurée en 1938.
L'ancienne abbaye domine Longeville depuis le 6ème siècle. La ville s'est développée autour de ces bâtiments monastiques, tout comme de nombreux villages aux alentours. L'édifice possède un passé mouvementé avec des attaques, pillages, restaurations, démolitions... pour accueillir aujourd'hui dans ses murs les patients d'une maison de repos et de convalescence. Des éléments rappellent l'origine de l'enceinte monastique : les grands porches d'entrée, pièces voûtées à arcatures, la tour nord, chapelle, parc, mobilier...
Le château de style médiéval domine le village et la Nied allemande. Il s'agit d'une ancienne ferme fortifiée du 12ème siècle, sobre et rustique. 4 corps constituent une forme rectangulaire agrémentée de 2 tours rondes. Certaines parties ont été ajoutées ou modifiées au 17ème siècle. La bâtisse peut se vanter d'avoir vu défiler de nombreux propriétaires au fil des siècles : seigneurs, barons, ducs, avocat... Durant la Seconde Guerre Mondiale il a été occupé successivement par les troupes françaises, allemandes et américaines. Aujourd'hui propriété privée, le château ne se visite pas.
Gravé en grandes lettres gothiques on lit "Heute mir, Morgen dir" qui se traduit par "Aujourd'hui moi, demain toi". Mentionné dès 1846 et probablement bien antérieur à cette date, l'ossuaire est classé Monument Historique. Le grès local a été soigneusement taillé, un patrimoine que la commune a tenu à conserver. Les piliers et les chapiteaux carrés sont décorés de cierges brisés, d'ossements et de fleurs stylisés.
Au milieu du village, une fresque monumentale de 15 mètres sur 10 attire le regard des passants. Une immersion dans la vie gallo romaine, notamment avec la mise en scène d' un atelier de production de poterie et céramique. La fontaine appuyée contre la peinture prolonge le décor et l'ambiance. C'est un clin d'oeil au passé du village, situé au bord d'une ancienne voie romaine où de nombreux vestiges y ont été découverts.
Un édifice d'apparence sobre, dont la pierre expose l'histoire. L'église date de 1767, et on peut y voir une porte du 16ème siècle appartenant à l'ancienne chapelle cadastrale (dans le clocher). Des boiseries du 18ème siècle, mobilier classé. Elle abrite également les pierres tombales de Jean V de Créhange décédé en 1492 et de son épouse Irmengarde de Raville.
Le monument du 12ème siècle en impose par sa simplicité. Une église typiquement rurale avec son clocher en bâtière, sans ornementation extérieure, à l'exception du cadran qui donne l'heure. Sur place on peut également admirer un porche datant de 1704 ainsi que des fonts baptismaux de 1707.
Une quiétude ressentie, là où les stèles immobiles voient défiler le rythme des saisons. Derrière ce long mur, le plus vieux cimetière israélite de Lorraine est préservé. Il fut construit en 1688 et une récente restauration a permis de dater la plus ancienne stèle de la fin du 15ème siècle.
Une étrange tour métallique de 58 mètres de haut qui surgit dans le ciel. Unique en Lorraine, la "tour marteau" est indissociable du paysage du bassin houiller. Il s'agit de l'ancienne tour d'extraction de charbon de la cité de Fürst. Le chevalement est composé de deux compartiments d'extraction, avec deux machines au sommet. Construite en 1948, la tour est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
Deux monuments qui s'érigent en témoins de l'histoire de Faulquemont. La chapelle restaurée garde son authenticité avec un choeur de style gothique flamboyant du 15ème siècle, des vitraux du 16ème siècle et un buste reliquaire de Saint-Vincent du 18ème siècle. Elle faisait office d'église paroissiale jusqu'en 1765. À quelques pas, l'ossuaire datant du 17ème siècle et inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historique.
Au détour d'une balade en campagne, l'occasion de découvrir un lieu atypique. Le cimetière catholique de Niedervisse abrite un ossuaire du 16ème siècle, classé Monument historique. C'est à cet emplacement que se trouvait l'ancien village, entièrement détruit en 1636. Il fut reconstruit non loin après la guerre des Trente ans. Le village eut également la particularité d'abriter une importante communauté juive, dont l'ancien cimetière est visible route de Coume.
Une église dont le nom évoque les joyaux qu'elle possède. Notamment le retable illustrant la vie de la Vierge Marie daté de 1461. Une sculpture exceptionnelle qui se trouve dans un autel latéral. Il est classé à l'inventaire des monuments historiques, de même que la statue de la Vierge à l'enfant du 15ème siècle. À découvrir parmi d'autres trésors : la statue en bois de Sainte Anne, l'autel style Louis XV sculpté en 1765, les vitraux d'Hilaire...
Isolée pendant près de 3 siècles au milieu des champs, la chapelle de la Sainte-Trinité est située dans la rue de la Chapelle qui tient son nom de cet édifice. Elle fut construite vers 1715 par un meunier, à la croisée du chemin conduisant à son moulin. De style rustique et de dimensions modestes, la chapelle est construite sur un plan rectangulaire. Sa couverture en ardoises déborde largement à l'ouest, protégeant ainsi le portail et la statue de l'archange Saint-Michel dans sa niche.
Une promenade en coeur de ville permet d'observer des fontaines historiques, sculptées dans la pierre. Aujourd'hui elles décorent les rues, autrefois elles procuraient aux habitants de l'eau de source. Les trois premières apparurent en 1714, pour améliorer la qualité de la distribution d'eau. Toutes les trois présentent des similitudes : un bassin hexagonal ou octogonal, à chaque fois surmonté d'une statue. Cependant, chacune raconte une histoire différente...
Voyage dans le temps, en traversant la salle du restaurant de l'Hôtel de Paris. On se trouve dans une authentique chapelle de style gothique flamboyant. Édifiée vers 1570 dans la maison franche des Comtes de Créhange. Une famille dont le premier seigneur connu vivait au 13ème siècle. Le siège de la seigneurie était Créhange, où se trouvait un important château. Les arcs reposent sur les murs et sur une imposante colonne centrale. Les clefs de voûte sont armoriées, à l'image d'un glorieux passé.
Nichée au sommet d'une colline, la basilique dévoile son charme aux passants. Un conseil : lever les yeux. La statue de l'Espérance vous tendra les bras au-dessus du portail. À l'intérieur, la voûte étoilée du dôme suspend le temps dans une nuit infinie. C'est un lieu de pèlerinage réputé et chéri des habitants depuis longtemps. À l'origine c'était une chapelle dédiée à Notre Dame de Bon-Secours. L'édifice fut agrandi et reconstruit au fil du temps, jusqu'à sa récente restauration de 2019.
Un édifice bâti au 18ème siècle, berceau du passé de la ville de Saint-Avold. En pénétrant dans l'église, la lumière inonde la haute nef et le silence se fait complice de la contemplation. L'ancien monastère possède dans son décor de nombreux trésors. Les plus attentifs remarqueront les détails travaillés des boiseries, les sculptures du 15ème siècle, les grandes orgues... Ainsi que des vitraux modernes et surprenants. Réussirez-vous à trouver l'hippocampe ou le perroquet ?
Une palette de couleurs douces et une luminosité qui s'harmonisent parfaitement avec l'Abbatiale Saint-Nabor. Les vitraux ont été réalisés début des années 70 par un maître verrier local, pour remplacer ceux soufflés par les bombes de 1944. Des verrières modernes qui illustrent dans la nef le thème de la création et les 4 éléments (faune et flore, eau, terre, air, vent et feu). Un conseil : prendre le temps d'observer. Dissimulés dans les nuances de couleurs, des tigres, hippocampes, perroquets...
A l'écart du village de Denting se trouve la chapelle de l'ancien village de Wellingen, Dédiée à saint Henri, elle est la survivance de l'ancienne église-mère de cette localité, dévastée au cours de la guerre de Trente Ans et dont l'ermitage est cité en 1660. L'édifice présente les stations des sept chutes du Christ, sculptées par un ermite.
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