34 Activités à Faire à Arracourt Quand il Pleut
Activités pour sortir les jours de pluie à Arracourt. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
Même sous la pluie, Arracourt déborde de possibilités pour des moments inoubliables. La météo ne gâchera pas votre journée. Préparez-vous à vivre une expérience captivante, quels que soient les caprices de la méteo !
Activités pour sortir les jours de pluie à Arracourt. Musées, châteaux et visites à faire quand il pleut pour se promener sans se mouiller.
Mentionnée dès 849, l'église paroissiale de Vic a connu une histoire architecturale compliquée. Edifiée sur un ilôt de briquetage (lié à la fabrication protohistorique du sel) à l'emplacement d'un temple gallo-romain, (dédié à Minerve, Apollon et Mercure) l'église romane primitive a été reconstruite vers 1300 dans le style gothique. La tour-clocher a été reconstruite en 1882 dans le style néo-gothique. Le cimetière, primitivement contigü à l'église, a été translaté hors des murs en 1785. Concédée à l'abbaye de Gorze pour les évêques de Metz -qui avaient fait de Vic la capitale de leur Temporel (1228)- l'église est dédiée à Saint-Marien, dont l'hagiographie aurait en fait emprunté aux vies de différents saints plus ou moins légendaires. Un tympan rectangulaire, sculpté en 1308, dépeint avec talent des épisodes édifiants de la vie de plusieurs Saints Marien. Il est classé Monument Historique. Sur les murs extérieurs, de nombreuses épitaphes ont été martelées à la Révolution Française. L'intérieur est riche de nombreux objets classés Monuments Historiques. C'est ici que fut baptisé le peintre Georges de la Tour le 14 mars 1593. Entrée libre, visites guidées payantes à réserver auprès de l'office de tourisme du Pays du Saulnois au 03 87 01 16 26.
Issu d'une famille de boulanger, Georges de La Tour, l'un plus grand peintre français du XVII éme siècle, est né à Vic-sur-Seille en Moselle. Le Musée départemental est situé au plein centre de la commune. Doté d'une collection de peinture très cohérente - elle parcourt la peinture française du 17éme jusqu'au début du 20éme siècle - le musée départemental Georges de la Tour offre 960 m² de surfaces d'exposition, répartis sur 3 étages d'environ 130 m² chacun. la peinture du 17éme siècle au 1er étage, le paysage et la peinture du 18éme siècle au 2éme étage et sous la verrière, le romantisme et la période du 19éme au début du 20éme siècle. Les collections vicoises sont développées en sous-sol, référence aux fondations de la terre natale de Georges de la Tour. Le point d'orgue de ces collections est le "Saint-Jean-Baptiste dans le désert" reconnu comme une oeuvre majeure, qui montre saint Jean-Baptiste, maigre adolescent appuyé sur une croix de bois. Le cadrage à mi-corps dans un format en largeur autorise la comparaison avec le tableau de même thème de Caravage.
Au coeur de la cité des évêques, l'hôtel de la Monnaie (1456) rénové en 2002-2003 accueille l'office de tourisme. Ce splendide édifice de style gothique flamboyant rhénan, porte un remarquable décor architectural : fenêtres à meneaux et croisillons, baies du rez-de-chaussée avec arcs en anse de panier, riches tympans sculptés, curieux balcon sur console et belle vierge à l'enfant dans la niche d'angle.
La saline de Moyenvic est attestée depuis le IXème siècle et elle possédait ses propres fortifications à l'intérieur de la cité. Elle fera l'objet de disputes entre les évêques et le duché de Lorraine jusqu'à sa cession en 1571 au duché avec celle de Marsal. La saline de Moyenvic devient française en 1661 avec le Traité de Vincennes. Mais la saline de Moyenvic est très gourmande en bois car sa saumure est peu concentrée. Un saumoduc de 13km en provenance de Dieuze traitait une partie de ses eaux. En déclin après la révolution, elle est fermée en 1897. La partie visible aujourd'hui est le seul vestige qui correspond à l'un des pavillons flanquant l'entrée sur les plans anciens. Il fut reconstruit à la fin du XVIIIème ou au début du XIXème siècle en style néoclassique.
La chapelle saint-Roch, du nom du saint Patron des malades et personnes handicapées est quelque peu cachée par la végétation. Elle fut construite en 1819 par François Perquel et son épouse. Elle fut ensuite agrandie en 1856 grâce aux donations des habitants de la commune. Une source à côté de la chapelle avait selon la légende des vertus curatives. Un pèlerinage a lieu encore aujourd'hui en août.
La chapelle Saint Livier porte le nom d'un saint local. Livier était gouverneur de la ville de Metz. Il fut emprisonné à Marsal par les Huns car il refusa d'abjurer sa foi. Il fut monté en haut du Mont de Saint-Jean et décapité. La légende raconte que là où sa tête tomba, une source jaillit. Cette source fut rapidement réputée comme étant miraculeuse. Un pèlerinage se développa et une chapelle desservie par les religieux de Salival fut élevée pour abriter les reliques du Saint dont une partie fut transférée à Metz. La chapelle est détruite au XVIème siècle, elle fut reconstruite dans la première moitié du XVIIème siècle. Vendue comme bien national à la Révolution française, elle est restaurée en 1805 puis cédée en 1848 à l'évêché de Metz. Le site conserve encore aujourd'hui sa fonction d'ermitage.
La gare impériale de Chambrey est un témoin de l'ancienne frontière de 1871. Son aspect monumental devait frapper les esprits et marquer visuellement la nouvelle frontière. Le bâtiment de la gare était au coeur d'un quartier allemand séparé du village. Détruite en 1918, la gare a été reconstruite plus modestement. La fermeture progressive de la ligne Nancy-Sarreguemines a entraîné son obsolescence. La gare est fermée en 1975, rachetée par la commune, elle est alors transformée en salle des fêtes.
L'abbaye des Prémontrés de Salival fut fondée par Mathilde de Salm au XIIème siècle sur le site d'une chapelle de pèlerinage consacrée à Saint Fiacre. Dévastée lors des guerres de religion au XVIème siècle, elle fut reconstruite puis réquisitionnée comme bien national à la Révolution française. Une partie de son mobilier est aujourd'hui visible à l'église paroissiale Saint-Marien de Vic sur Seille ( stalles, statues, chaire à prêcher) ainsi qu'à l'église des Cordeliers de Nancy. Il ne subsiste aujourd'hui que le logis des moines qui est une propriété privée.
Propriété du Département de la Moselle depuis 2004, le Musée de Marsal raconte l'histoire de "L'or blanc" à travers les techniques de production depuis la préhistoire. Installé dans la Porte de France, vestige des fortifications de Vauban, il évoque également l'histoire de Marsal, ancienne place forte. Les collections illustrent les relations complexes de l'homme au sel au cours de l'histoire. Les richesses du musée: des vestiges archéologiques, un reliquaire du XIV siècle, une vierge ouvrante du XIV siècle, des témoignages de la vie quotidienne. Une nouvelle muséographie met en avant les fortifications et un film en 3D et restitue la citadelle à l'époque de Vauban.
L'édifice frappe par ses grandes dimensions et ses traits caractéristiques de l'art roman en Rhénanie. C'est un des rares exemples de ce type en Moselle. La façade massive est flanquée de deux tours de hauteurs différentes. Sa décoration relève d'une facture très ancienne avec un portail roman du 12 siècle. Ouvert à partir de 10h le matin. Visite commentée sur réservation auprès de l'Office de Tourisme du Pays du Saulnois au 03 87 01 16 26.
La Médiathèque d'Einville est ouverte pour 2 permanences par semaine : - le vendredi de 17h à 18h30 - le samedi de 10h à 11h00.
De style néogothique, l'église a été bâtie entre 1868 et 1893. Elle possède un bel orgue du 18 siècle, qui provient de l'Abbaye des Prémontrés de Salival (5km au sud-est de la localité, en direction de Moyenvic) et qui a été totalement restauré en 1995. La Pierre de la Peste (1860), placée à l'entrée du cimetière, rappelle la terrible épidémie qui fit des ravages durant la Guerre de Trente ans. Pour les visites contacter monsieur Poirel Gilles au 03 87 05 11 41
Einville est situé sur le bassin salifère du Sânon, à côté de celui de la Seille et de la Meurthe. L'exploitation industrielle du sel a débuté à Einville au milieu du XIXème siècle et deux salines s'y sont implantées. Pendant plus d'un siècle, la vie d'Einville s'est confondue avec l'évolution technique et sociale de ces deux entreprises. Aujourd'hui encore une entreprise produit du sel à l'ancienne, en le traitant dans des évaporateurs et commercialise du sel fin.
L'église daterait du XVIIIe siècle, sa nef a été rallongée en 1866. Au fond de la nef, une fresque a été peinte en 1935, elle représente le paysage du village avec les moissons et les vendanges, représentant le pain et le vin, symboliquement, le corps et le sang du Christ. L'autel du tabernacle était initialement installé dans la chapelle de l'ancien hôpital de la garnison de Marsal sous Louis XIV. Cet édifice est typique et représentative des modestes lieux de culte ruraux qui ne sont pas des lieux d'ostentation mais dont le but est la fonctionnalité et l'usage.
Chevalement-sondage reconstitué et déplacé en bordure de la route d'arrivée à Einville. Lieu d'animations, de conférences, et d'expositions. Exposition historique permanente des salines de la vallée du Sânon après l'annexion de l'Alsace-Moselle en 1871.
Le Gué-oir était un passage à gué, aménagé, permettant au bétail de s'abreuver et en même temps de se laver les pattes afin d'éviter les maladies. C'était aussi un réservoir d'eau en cas d'incendie. Une vanne, ou des planches superposées, permettait d'en réguler le niveau. L'origine du Gué-oir remonte à l'époque gallo-romaine. Actuellement le fleurissement et l'entretien de ce passage sont effectués par la commune. Le village de Vaucourt est également une étape incontournable pour les adeptes du géo-catching.
La bibliothèque de Crévic est ouverte - les lundis de 16h20 à 17h, - les mercredis de 16h30 à 17h30 en Hiver et de 17h30 à 18h30 en Eté, - Les samedis de 11h à 12h et de 14h à 15h30. "les livres en randonnée" pendant la fermeture estivale de la bibliothèque - 5 points livres dans le village.
La chapelle de Marimont est une chapelle sépulcrale de style néoclassique édifiée au XIXème siècle sur une tour d'angle d'origine médiévale, vestige de l'ancien château de Réchicourt. De forme circulaire, son entrée est portée par quatre colonnes; elle comprend deux niveaux bien distincts: le premier contient une crypte, et le second est constitué par la chapelle, cette dernière étant précédée d'un petit parvis sur lequel les colonnes reposent. L'ensemble est recouvert d'une coupole en maçonnerie, qui était coiffée auparavant d'une croix en pierre. Dans la chapelle, reposent quatre personnes dont Marie-Anne Collot, sculptrice du XVIIIème siècle. Visite possible uniquement sur rendez-vous.
L'actuelle église Saint-Léopold fut édifiée de 1953 à 1954 sous la responsabilité du père Aubry, grand amateur d'art contemporain. Son architecture audacieuse se caractérise par son immense voûte autoportante en béton. Cette technique de construction d'avant-garde fut mise au point pour les hangars de l'aéroport d'Orly et utilisée pour l'église de Pampulla au Brésil. Le vitrail principal, réalisé par Jean Barillet d'après une esquisse du père Aubry, est non moins remarquable par sa taille et son originalité. Le fouillis inextricable de lignes, qui évoque la complexité du monde, laisse apparaître la tête, les mains et les pieds d'un Christ ressuscité.
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