Prêt à remonter le fil du temps sans machine à remonter ? Notre liste de monuments historiques de Zetting et des environs est là pour ça ! De l'architecture époustouflante aux histoires fascinantes, préparez-vous à un voyage dans le passé.
Les monuments et les sites historiques de Zetting et des environs à découvrir. Places, châteaux, statues, fontaines et visites à faire.
C'est en 1891 que l'industriel Edouard Jaunez devint propriétaire du château pour la somme de 41 000 francs. Il choisit de le transformer en véritable château modeme. Edouard Jaunez fut anobli par l'empereur Guillaume II le 13 mai 1904, reçu le 13 mai 1905. En 1912, l'administration des chemins de fer d'Alsace et de Lorraine acquiert le château et ordonne sa démolition afin d'agrandir la voie de triage. Le 11 Juin 1982, le Conseil Municipal décide de l'acquérir pour la somme de 350 000 francs dans le but de conserver ce patrimoine et de le rénover pour y aménager les services municipaux. C'est ainsi que la mairie y est transférée en décembre 1996.
Créée en 1999, l'Association "les Amis du Gutebrunne et du Patrimoine de Siltzheim" a reconstruit le vieux lavoir, aménagé tout le site environnant... Forte d'une dizaine de bénévoles, l'Association assure l'entretien régulier de ce cadre enchanteur et reposant, lieu de promenade et de rencontre des habitants du village. L'Association organise une fête, tous les ans en juin, sur le site du lavoir. Pour s'y rendre : rue de l'Eglise, tourner à droite après la Mairie (direction cimetière), longer le cimetière et descendre vers le lavoir par le petit chemin.
Le château construit vers 1761 pour le baron Jean-Nicolas de Jacquemin, occupé par le couvent et l'école des Pères Spiritains est désormais fermé. Cet ensemble architectural regroupe l'ancien château de Neufgrange (actuelle mairie), le couvent des Pères Spiritains et la chapelle, ainsi que l'ancienne école Saint-Joseph ( actuelle école élémentaire). La chapelle est le lieu où les Spiritains (frères et pères du Saint-Esprit) ont laissé leur mémoire après 103 ans de présence à l'Institut Saint Joseph de Neufgrange.
Elle résulte d'une politique d'habitat social mise en place par les faïenceries de Sarreguemines à partir de 1869. Il suffit d'arpenter le plan géométrique de ces cinq avenues parallèles pour s'imprégner de cette architecture ouvrière aux maisons identiques, divisées chacune en quatre logements et entourées d'un petit jardin.
Le Château Utzschneider qui abrite aujourd'hui la Communauté d'Agglomération Sarreguemines Confluences, est un exemple typique de l'architecture de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle. Il s'agit d'un "château industriel". Cette villa et ses dépendances bâties dans le quartier de Neunkirch impressionnent par leur taille et leur physionomie. Les architectes Berninger et Krafft de Strasbourg, issus de l'école d'architecture de Stuttgart employaient volontiers l'assymétrie. Les colonnes néorenaissance à l'entrée et les pignons triangulaires s'associent harmonieusement aux formes médiévales des tourelles et à l'emploi des pierres de taille. Les architectes ont construit cette maison en 1906 pour la veuve Utzschneider, mais la famille n'occupa cette résidence que pendant 33 ans. Entre 1940 et 1944, le bâtiment fut occupé par les nazis. Il servit ensuite de quartier aux Américains à la Libération en 44-45. Puis la propriété resta longtemps délaissée jusqu'à ce que H. Pierron fasse l'acquisition des écuries et du château en 56-58 pour ses équipements scientifiques et scolaires. En 1983, l'entreprise déménagea sur la zone industrirelle et la villa fut de nouveau laissée à l'abandon, jusqu'à ce qu'elle soit rachetée par le District de Sarreguemines au début des années 90. Aujourd'hui le bâtiment principal et ses annexes ont été agréablement rénovés et restaurés, le parc réamenagé, offrant ainsi un cadre adéquat pour la Communauté d'Agglomération. Le parc est accessible à toute heure aux promeneurs.
L'équipe des Musées vous donne rendez-vous au Musée de la Faïence pour découvrir l'histoire de la manufacture qui a fait la renommée de la ville ainsi que la richesse et la diversité de sa production dont la pièce maitresse, le Jardin d'Hiver, véritable manifeste du savoir-faire de la Faïencerie, est aujourd'hui classé monument historique. Sans inscription, Sans supplément au billet d'entrée.
La faïence de Sarreguemines dans tous ses états ! La façade discrète de cette bâtisse de centre-ville cache bien son jeu ! A l'étage, le musée recèle un véritable trésor classé monument historique, presque insoupçonnable de l'extérieur. Si en 1882, vous aviez été un hôte de marque, c'est sans doute dans son magnifique Jardin d'Hiver décoré de carreaux de faïence que Paul de Geiger, le directeur emblématique des faïenceries de Sarreguemines, vous aurait reçu. Aujourd'hui, cette belle demeure transformée en musée se visite toute l'année. Petits et grands peuvent y découvrir les plus beaux exemples de la production de faïence de Sarreguemines du XIXe et XXe siècles à la renommée internationale. Une chose est sûre, vous en verrez de toutes les couleurs ! Et n'oubliez pas de clôturer votre visite par un petit détour par le four... à faïence bien sûr ! Cet énorme dôme de briques de 11 mètres de haut est situé à l'extérieur du musée. L'ultime témoin de la première révolution industrielle a encore bien des secrets à vous révéler ! Gratuit les 1ers dimanches de chaque mois et lors du Marché de Noël
Mentionné seulement en 1370, le château de Frauenberg a été construit probablement à la fin du XIIIème siècle. Il fut démantelé en 1634. Le château abrita deux fours d'une faïencerie qui fonctionna à Frauenberg de 1785 à 1791, transféré ensuite à Vaudrevange ( Wallerfangen, Sarre ), cette faïencerie fut à l'origine de la célébre firme céramique Villeroy et Boch. Dès 1793, le passage des troupes acheva la ruine du château pendant tout le XIXème siècle.
La faïence c'est tout un art ! Elu 9e monument préféré des Français en 2015, le Moulin de la Blies réunit sur un seul site deux lieux exceptionnels. Une friche industrielle ? Un jardin ? Une oeuvre d'art ? C'est tout cela à la fois le Jardin des Faïenciers ! Un lieu de promenade et d'évasion grâce à un décor qui associe la nature au patrimoine historique des berges de la Blies. Ici, d'anciennes meules ou cheminées de briques côtoient Lys des Steppes et autres hortensias fleuries en période estivale, à l'automne laissez-vous surprendre par les odeurs de pain d'épice des arbres à gâteau. Couleurs, végétaux et autres petites bêtes qui peuplent le jardin varient au gré des saisons et évoquent les sources d'inspiration des faïenciers décorateurs des siècles passés. Sur le même site, un autre incontournable : le Musée des Techniques Faïencières. C'est comme si rien n'avait bougé depuis le départ des ouvriers. Sur les tables des piles d'assiettes semblent prêtes à être cuites ou décorées, au milieu de la pièce l'on trouve encore des chariots de matière crue et entre deux machines un séchoir chargé de pièces. Des démonstrations interactives sont données ponctuellement au public dans cette ambiance d'ateliers de production reconstitués presque intégralement. De la préparation de la pâte, aux différentes cuissons, en passant par la décoration vous deviendrez incollable sur les techniques de fabrication de la faïence et sur les arts de la table! Gratuit les 1ers dimanches de chaque mois et lors du Marché de Noël.
A voir : - Croix de Lantzenbronn à Kalhausen (1868) - Château et chapelle de Weidesheim : Le château date du XVème siècle mais a été remanié au XVIIIème. A côté se trouve la Chapelle Saint-Martin, cette chapelle médiévale a été construite sur l'emplacement d'un temple romain du IIIème siècle. Elle est classée monument historique (ces deux monuments sont privés). - Eglise Saint Florian.
Les objets mobiliers de l'église Saint Vit de Roth ont été inscrits à la liste des monuments historiques en 1977. En effet, parmi eux se trouve dans le choeur de l'église un maître-autel de XVIIIème siècle richement décoré, provenant de l'église de Hambach. Dans un médaillon de l'antependium (décoration devant l'autel), un polychrome représente la nativité, la porte du tabernacle l'agneau Pascal et dans la niche centrale, l'annonciation en relief. 4 petites statues en bois de 48 cm de haut ornent les niches latérales, 4 anges décorent la corniche formée d'une grande couronne et d'une croix. Eglise gothique dont il est impossible de connaître la date exacte de construction, la porte d'entrée de la nef de ce bâtiment indique cependant celle de 1721. La tour a été classée monument historique en 1916, puis déclassée en 1927. Haute de 15 mètres, elle servait de sacristie jusqu'à la construction d'une nouvelle en 1899 dans le prolongement du choeur. Elle est soutenue par deux contreforts dont le fronton est orné au sud-est par une tête humaine grotesque avec des oreilles de chauve-souris et au sud-ouest par une sorte de feuille de lierre. Une petite porte à l'ouest permet d'accéder aux étages supérieurs de la tour. L'église Saint-Vit était également entourée autrefois d'un cimetière fortifié dont il reste des éléments sur le mur d'enceinte.
Possibilité de faire de belles balades à pied ou à vélo en forêt, en empruntant des chemins ruraux aménagés ou sur le sentier pédestre / piste cyclable allant jusqu'à Sarreguemines et Grundviller. A voir : - Eglise Saint-Hubert. - Ancien lavoir. - Eglise Saint-Vit à Roth : le maître-hôtel de style Louis XV est classé monument historique.
L'ossuaire situé à côté de l'Eglise Saint Innocent est inscrit en totalité à l'inventaire des monuments historiques. Une restauration intégrale est projetée.
A l'occasion des Journées du Patrimoine l'Église Saint Innocent de Grosbliederstroff et l'ossuaire classé aux monuments historiques vous ouvrent leurs portes. A quelques minutes de Sarreguemines, venez admirer l'Église paroissiale Saint Innocent construite en 1749 et restaurée au XIXème siècle. Vous y verrez des autels à grands retables avec statues de saints de prémontrés, une chaire du XVIIIème siècle richement sculptée, des confessionnaux et une grande croix du XVIIIème siècle (travaux du sculpteur de l'abbaye, Guldner de Bérus). Elle renferme trois autels classés monuments historiques. Visite libre (fascicule mis à disposition). Visite commentée samedi et dimanche à 15h uniquement sur inscription : adfgestion@hotmail. Fr
La chapelle, ancienne église fortifiée, est classée monument historique. La tour adjacente au lieu de culte, fut érigée au XIIIème siècle. Elle permit autrefois à la population de se réfugier lors de la venue des envahisseurs. La chapelle abrite une statue en bois de la Vierge et l'Enfant (XIIIème siècle) ainsi qu'une effigie en bois de Sainte Anne (XVIIIème siècle) qui font l'admiration des nombreux visiteurs et amateurs d'art averti.
Cette maison a conservé tous les attributs de la ferme lorraine du XIXème siècle, avec les trois « travées » caractéristiques du type de la maison de cultivateur : le logis, l'étable, la grange. De nombreux éléments consignés dans un document remarquable de 210 pages manuscrites, le TERRIER, rédigé lors du remembrement des terres de Rouhling en 1708, nous confirment que la maison était habitée avant la fin du 17e siècle. Dans l'ancien fenil, où est installé un mur de vitrines, sont présentés une panoplie d'objets particuliers et insolites, mais également des maquettes de très anciens bâtiments, dont la Villa Gallo-Romaine, ... La présentation des outils des divers métiers locaux d'antan, amène à comprendre la manière de les utiliser, mais aussi de découvrir leur nom. Des visites de groupes peuvent être organisées sur demande.
Le Calvaire de Grundviller, datant du XVIème siècle, est classé monument historique. Il s'agit d'un des calvaires les plus majestueux de Lorraine et sa datation est estimée à 1515. La partie supérieure représente le Christ en croix. A ses côtés se trouvent sa mère et l'apôtre Jean, au pied de la croix Marie-Madeleine. La partie basse présente l'histoire de la passion du Christ en 8 panneaux sculptés: 6 sur le devant et 2 sur les côtés. Un médaillon vide surmonté d'une couronne repose sur une tête de mort, il symbolise les 2 extrémités de la variété humaine. Derrière, vous pourrez voir le Christ au tombeau. Jusqu'en 1939, le calvaire était érigé près du cimetière à proximité de la Chapelle Sainte Anne, démolie en 1872. Au début des hostilités, le monument a été démonté et transféré à Cognac. Il occupe l'emplacement actuel depuis 1941.
Comme son nom l'indique, Sarralbe s'est formée à la confluence des vallées de la Sarre et de l'Albe, les deux rivières qui la traverse. Une halte fluviale aménagée à l'entrée de la vieille ville médiévale peut accueillir les plaisanciers et cyclotouristes dans un parc arboré. A voir : - L'église Saint-Martin et la Porte d'Albe : Surnommée « cathédrale de la Sarre », l'église St Martin présente deux majestueuses flèches gothiques culminant à 70 m du sol. Construite en grès rose des Vosges, à la nef étroite, haute et très lumineuse, l'église domine à ses pieds la vieille Porte d'Albe (XIIe), classée monument historique en 1922. Seul vestige de l'enceinte médiévale de la cité, ce monument fut rehaussé de trois étages au XVIllème siècle et coiffé d'un joli bulbe avec lanterneau pour servir de beffroi. Depuis 1987, un prestigieux orgue Aubertin magnifie l'église. - La « Maison des têtes » et le musée du pays de l'Albe : Ancien hôtel de ville et tribunal cantonal, cet élégant immeuble communal datant du XVIlle siècle, superbement restauré en 1998, doit son nom actuel aux admirables sculptures qui ornent sa façade. Il abrite depuis 1995 les sept salles du Musée Historique du Pays d'Albe et de la Ligne Maginot Aquatique. - Le moulin de Sarralbe : Propriété des évêques de Metz au Moyen-Âge, puis des ducs de Lorraine, modernisé tout au long des siècles et toujours en activité, c'est le plus important moulin du département de la Moselle. Une grande roue à aubes, installée en 1992 sur le bief amont brasse l'eau de la Sarre pour le plus grand plaisir des visiteurs et touristes de passage. - La chapelle de « La montagne » : Haut lieu cher aux habitants du Pays d'Albe, cet antique sanctuaire avec son vieux clocher trapu du Xe siècle, domine de son promontoire situé à l'ouest de la ville, la proche vallée de l'Albe. Dédié à la Ste Trinité, c'était un lieu de pèlerinage particulièrement révéré. Autrefois s'y trouvait un ermitage. Trois pierres commémoratives du XV, siècle, incrustées autour du choeur, évoquent les anciens seigneurs de Sarralbe : les Bayer de Boppard. Les tombes du cimetière de la ville s'étagent sur les flancs arborés de la butte et en contrebas se trouve un cimetière militaire britannique de 1914 -1918. - Le panorama du Knopp : Point culminant du pays albenois, aménagé par les stratèges en poste avancé de la Ligne Maginot Aquatique, âprement défendu par un groupe de Marsouins lors de l'attaque massive allemande du 14 juin 1940, ce haut lieu de notre histoire offre un panorama exceptionnel qui s'étend jusqu'à la lointaine « Ligne Bleue » des Vosges, où se prof le la silhouette typique du Donon. - Saltzbronn et la chapelle Saint -Wendelin : Des deux salines de Saltzbronn ne subsistent que des bâtiments d'habitation, tandis que jaillit toujours sous les frondaisons de l'ancien parc d'agrément, la source d'eau minérale connue pour ses propriétés médicinales, et rappelant l'existence avant 1918 d'un établissement de cure. Seule la belle chapelle Saint - Wendelin témoigne encore de la prospérité millénaire de la cité salinière. - L'arboretum et la maison forestière Saint-Hubert : Son observatoire offrent aux amoureux de la nature la possibilité de découvrir en bordure de forêt de nombreuses essences d'arbres et une faune très variée. La Maison Forestière, ancien chalet de chasse du baron De Schmidt, construit en grès rose, présente deux tours rondes surmontées d'une toiture en ardoises et un fronton orné d'une tête de sanglier en grès qui valent le détour. A proximité, en forêt, un parcours de course d'orientation, ainsi qu'un sentier de promenade sur le chemin des Mardelles invitent à la découverte de cet espace plein de charme. - Le Parcours des Cigognes : La cigogne blanche se sent chez elle à Sarralbe depuis qu'elle y a réélu domicile. Ce parcours vous fera visiter la vieille ville qui recèle de nombreux trésors patrimoniaux et historiques à découvrir en suivant le parcours thématique au travers de rues et ruelles datant de l'époque médiévale. La cigogne blanche vous expliquera sa vie et ses tracas d'échassier migrateur emblématique de notre ville. Suivez le marquage au sol et le craquettement de la cigogne.
Le moulin du Grauberg, avec son étonnante architecture, marque le point de départ du circuit du Grauberg, long de 9, 4km. L'intérieur du Moulin qui sera en cours de rénovation très prochainement, n'est pas accessible au public pour le moment.
Le château de Lorentzen est une Wasserburg du XIVème siècle, château de plaine protégé jadis par un fossé alimenté en eau par l'Eichel[...]
Sarre-est le nom de l'de Bouquenom et Neu-Sarrewerden[...]
Au Val de Guéblange, à Audviller, se dresse discrètement une magnifique maison de maître édifiée là en 1738. Unique témoin fidèle d'une architecture à pans de bois du XVIIIe siècle. Conçue avec 10 pièces d'habitation et la cuisine, elle conserve l'intégralité de son plan d'origine. La vie, le travail, la profession, l'investissement de 10 générations qui se sont succédées sous son toit y ont laissé des traces palpables. La lecture de ces traces bien visibles l'érige au rang d'un magnifique outil pédagogique où le visiteurs effleure la peau des acteurs de près de 3 siècles d'histoire. Ainsi, cette maison a vu vivre et grandir Léo Closset, agent secret pour le compte des Forces Françaises Libres, combattant pour la liberté, héros militaire du Val de Guéblange tombé en Indochine en 1948. Il n'avait pas 32 ans.
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Carte des itinéraires de randonnées autour de Zetting. Les nombreux sentiers de rando des environs offrent des paysages variés et surprenants.
La liste des châteaux, donjons et forteresses remarquables ou à visiter autour de Zetting. Mais également les ruines et les vestiges à découvrir.