25 Monuments Historiques à Voir Autour d'Archigny
Les monuments et les sites historiques d'Archigny et des environs à découvrir. Places, châteaux, statues, fontaines et visites à faire.
Prêt à remonter le fil du temps sans machine à remonter ? Notre liste de monuments historiques d'Archigny et des environs est là pour ça ! De l'architecture époustouflante aux histoires fascinantes, préparez-vous à un voyage dans le passé.
Les monuments et les sites historiques d'Archigny et des environs à découvrir. Places, châteaux, statues, fontaines et visites à faire.
Château surplombant la Vienne dans un écrin calme de 6ha comprenant une partie boisée avec étang et piscine chauffée, à 15 km du Futuroscope et à 1h environ des Châteaux de la Loire . Château inscrit au supplément des monuments historiques Ouverture au public pour visites toute l'année sur réservation au 06 30 39 15 99 Prix : 5 EUR/pers. enfants moins de 16 ans gratuit. Groupes (plus de 10 pers. ) nous contacter au 06 30 39 15 99.
Eglise du XIe siècle (remaniée aux XVIe et XVIIIe siècle) L'église est unie à l'histoire de la communauté acadienne du Poitou : Acadiens qui se sont établis notamment sur la « ligne acadienne » entre La Puye et Archigny lors de leur retour sur le vieux continent en 1773. A ce titre l'église est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 2002. elle est également inscrite dans le circuit de visite au musée Acadien-Abbaye de l'Etoile.
Originellement fondée au cours du XIIe siècle, elle est essentiellement rénovée au cours duXIXe siècle. Les différentes statues et autels qu'elle contient son inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1966 et 19942.
Le plus ancien texte connu mentionnant La Guitière remonte à 1309. Il s'agit alors d'un fief de haute justice relevant de La Roche-Aguet. La Guitière ne conserve de sa construction d'origine du 13ème ou 14ème siècle, que la plus petite de ses tours. La plupart des remaniements ont été effectués à la Renaissance, avec notamment la construction des deux grandes tours rondes. Une nouvelle aile complète l'ensemble à la fin du 19ème siècle. La propriété est attachée à la famille de La Touche d'Avrigny, qui entreprend la reconstruction de la chapelle Notre-Dame du Bas-Bourg en 1909. Inscription aux Monuments Historiques en 2007.
La plus ancienne mention écrite de Jutreau apparaît dans les textes vers 1250, alors que Guy de Corbière habitait le domaine. Le domaine comprenait un château, une ferme, une tuilerie et un moulin. Cet ancien fief d'origine féodale, relevait de la baronnerie d'Angles. Le pavillon le plus ancien, au nord-est de l'ensemble des bâtiments, remonte vraisemblablement au 15ème siècle. Le grand corps de bâtiment a été repris à différentes époques. Inscription aux Monuments Historiques en 1935 (pavillon nord) Le château est privé, donc reste inaccessible.
Site préhistorique exceptionnel : un abri sous-roche sculpté, daté d'il y a 15 000 ans. Dans un souci de conservation, découvrez des reconstitutions innovantes et ludiques au Centre d'interprétation. Le Roc-aux-Sorciers est un habitat préhistorique en abri sous-roche, s'étendant sur plus d'une cinquantaine de mètres, au pied de falaise, et présentant un art monumental sculpté, mais aussi un art plus discret sous forme de gravures. Il est daté du Magdalénien moyen, il y a -15 000 ans. Ce site présente la plus longue (20 mètres) frise préhistorique préservée sur place, sculptée, peinte et gravée, qui se soit conservée jusqu'à nous. Les oeuvres sont d'une finesse rare. Classé Monument Historique en 1955, il est fermé au public pour des raisons de conservation. Le Centre d'interprétation du Roc-aux-Sorciers propose de venir découvrir des copies de cette frise préhistorique sculptée, mise e
Située dans un cadre bucolique sur les bords de Vienne, l'église Saint-Hilaire de Toulon a été édifiée au 12ème siècle et reprise au 19ème siècle. Elle a probablement été construite au bord de la Vienne pour desservir un point de passage très fréquenté. La récente restauration met en valeur ses éléments sculptés romans situés en façade occidentale : chapiteaux et bas-reliefs ornés de lions, de la scène du péché originel ou du Christ bénissant. Comme beaucoup d'églises de notre territoire, les murs intérieurs étaient recouverts de peintures murales ici datées du 19ème siècle. Supprimé au 20ème siècle, ce décor vient d'être entièrement refait. Classement aux Monuments Historiques en 1924 (pignon ouest). Inscription aux Monuments Historiques en 1988.
Ce pont a été construit à l'époque gothique, au 13ème siècle ou début 14ème siècle, entre Saint-Savin et Saint-Germain, sur le nouvel itinéraire reliant Poitiers à Bourges. Depuis cette date, la route passe ainsi par Chauvigny et Saint-Savin, contrairement à l'ancienne voie romaine, établie plus au sud et qui traversait Saint-Pierre-Les-Eglises et le Gué de Sciaux à Antigny. D'une longueur de 100 mètres et d'une largeur de 3, 50 mètres, il est conçu en léger dos d'âne et pourvu de 5 arches en arc brisé et une arche marinière en plein centre reposant sur des piles arrondies ou à bec, sur lesquelles sont aménagés des refuges. Ce pont demeure l'axe principal de la ville jusqu'à la construction du pont neuf en 1852. Classement aux Monuments Historiques en 1896.
Ce pont a été construit à l'époque gothique, au 13ème siècle ou début 14ème siècle, entre Saint-Savin et Saint-Germain, sur le nouvel itinéraire reliant Poitiers à Bourges. Depuis cette date, la route passe ainsi par Chauvigny et Saint-Savin, contrairement à l'ancienne voie romaine, établie plus au sud et qui traversait Saint-Pierre-Les-Eglises et le Gué de Sciaux à Antigny. D'une longueur de 100 mètres et d'une largeur de 3, 50 mètres, il est conçu en léger dos d'âne et pourvu de 5 arches en arc brisé et une arche marinière en plein centre reposant sur des piles arrondies ou à bec, sur lesquelles sont aménagés des refuges. Ce pont demeure l'axe principal de la ville jusqu'à la construction du pont neuf en 1852. Classement aux Monuments Historiques en 1896.
Dépendance de l'abbaye de Saint Savin au 12ème siècle, cette petite église romane se situe sur la rive droite de la Gartempe dans un cadre bucolique. Elle abrite des peintures murales du 19ème siècle qui font sa renommée. Des peintures polychromes, classiques pour l'époque, représentent notamment un Christ en majesté et, plus exceptionnelles, des peintures en « grisailles » réalisées par Octave Pichaut ornent le choeur. Ces dernières donnent l'étonnante illusion de bas-relief et représentent des scènes de la vie de saint Germain, évêque d'Auxerre et titulaire de l'église. Prolongez votre découverte de ces peintures en grisaille en vous rendant à la mairie de Saint Germain où est présentée une sculpture qui a servi de modèle à Octave Pichault. Classement aux Monuments Historiques en 1993. La clé est disponible au Bureau d'Information Touristique de Saint Savin situé Place de la libération.
La chapelle du prieuré de Cubord remonte probablement au 12ème siècle. Il reste aujourd'hui son choeur rectangulaire, le portail roman orné de chapiteaux sculptés et le clocher-mur. Ce dernier est constitué de deux arcades qui accueillaient autrefois deux cloches et s'achève par un pignon triangulaire. Cette forme de clocher est plutôt rare dans notre région et rappelle celui de l'église de Mazerolles. Classement aux Monuments Historiques en 1924.
La lanterne des morts est la plus ancienne croix d'Antigny, elle se dresse sur la place du village. La lampe, placée dans sa partie haute, était vraisemblablement montée par une personne qui devait alors grimper dans la colonne creuse. Des trous sont d'ailleurs toujours visibles dans la pierre pour servir d'appui pour les pieds. En 1854, la lanterne est très délabrée. Vers 1880, elle est entièrement démontée et remontée. A cette occasion, elle est sans doute légèrement déplacée par rapport à son emplacement originel. En effet, elle était vraisemblablement édifiée au centre de l'ancien cimetière. Sa dernière restauration remonte à 1909. Classement aux Monuments Historiques en 1884.
L'église Notre-Dame, édifiée à l'époque romane, a été reprise à l'époque gothique. Son intérêt tient notamment au décor de peintures murales daté du 12ème et du 14ème siècle qui ornent une grande partie de l'édifice. Dans la chapelle Sainte-Catherine, ancienne chapelle seigneuriale contigüe à l'église, les peintures, datées de la fin du 15ème siècle, rappellent celles visibles à la Chapelle Sainte-Catherine de Jouhet et dans l'oratoire privé du château de Bois-Morand à Antigny. Elles semblent toutes avoir été commanditées par la même famille seigneuriale. Classement aux Monuments Historiques en 1862 et 1913. Un pupitre patrimonial installé à l'entrée vous délivrera des informations sur ce monument.
L'église romane, édifiée entre la fin du 11ème siècle et le début du 12ème siècle, est située sur un promontoire et forme avec le château médiéval un ensemble majeur du bourg. L'édifice a été modifié à l'époque gothique. Le choeur repose sur une crypte romane ornée de peintures murales gothiques représentant le Christ en majesté entouré des symboles des évangélistes et une Vierge à l'Enfant. L'église abrite aussi des enfeux gothiques qui accueillaient les sépultures des seigneurs de Morthemer. C'est aussi dans cette église que le Connétable anglais John Chandos, blessé mortellement lors d'un combat franco-anglais au pont de Lussac en 1369, aurait été enterré. Classement aux Monuments Historiques en 1908.
Siège d'une châtellenie mentionnée dès 1077 et érigée en baronnerie au 15ème siècle, le donjon roman du château de Morthemer a fait l'objet d'une restauration abusive sur l'élévation. Ces travaux ont été confiés à partir de 1865 par le baron de Soubeyran, riche financier et député, à Boeswillwald, disciple de Viollet-le-Duc. Le donjon était à l'origine une tour carrée de cinq étages ; il était relié à l'église par un logis du 17ème siècle. Outrancière, cette restauration applique parfaitement les théories et les options de l'architecte relatives au châteaux forts ; à cet égard, l'exemple est unique dans la Vienne. Le bâtiment reste néanmoins un exemple spectaculaire de château-église. Inscription Monuments Historiques en 1927.
Un véritable petit bijou aux couleurs chatoyantes, elle était au Moyen Âge la chapelle du cimetière. Construite au 15ème siècle à l'initiative du curé de la paroisse, elle est ornée de peintures murales de la fin du 15ème siècle, probablement commanditées par le seigneur de la Contour, Jean de Moussy, également seigneur de Bois-Morand à Antigny. Elles évoquent notamment une scène très en vogue à la fin du Moyen Âge, la « Rencontre des trois morts et des trois vifs » qui occupe près de 20% de sa surface peinte et qui rappelle la fragilité de la vie terrestre et l'espoir de la résurrection. Cet ensemble est à rapprocher des peintures de la chapelle située dans l'église d'Antigny. Classement aux Monuments Historiques en 1908. La clé de cette chapelle est disponible au restaurant Le Val de Gartempe et à la mairie.
La nécropole de Civaux fait partie de ces lieux atypiques, totalement originaux, dont il n'existe pas d'équivalent. Utilisée comme cimetière depuis plus de 1. 800 ans, la nécropole contient encore plusieurs centaines de sarcophages mérovingiens (500-750 après JC.), certains en place, d'autres formant des rangées. L'originalité du lieu réside surtout dans sa clôture composée de couvercles de sarcophage dressés tels des menhirs, et qui existait déjà au 18ème siècle. Des décors (poisson, croix, chrisme) et des inscriptions chrétiennes ont été gravés sur des couvercles : Maria, Pientia... Classement aux Monuments Historiques en 1923.
C'est l'une des plus anciennes églises de France. Le choeur, daté des 6ème et 7ème siècles, est construit sur les vestiges d'un sanctuaire romain et d'un mausolée chrétien. De cette époque sont visibles deux pans de murs (4ème et 5ème siècles) et une stèle chrétienne, visibles dans le choeur. La nef a été entièrement édifiée à l'époque romane entre le 10ème et le 12ème siècle. Des chapiteaux originaux l'ornent : dragons et griffons, et une composition unique associe le mariage, la sirène de la tentation et l'eucharistie. La restauration de l'église entre 2010 et 2013 a permis la découverte d'une fresque des 14ème-15ème siècles. Classement aux Monuments Historiques en 1913 (Eglise). Présence d'un pupitre patrimonial devant l'église (F et GB).
Cette tour, également nommée tour aux Cognons, s'élève sur la rive droite de la Vienne. Elle aurait été construite au 11ème siècle par la famille Conis. Haute de 10 mètres, elle est composée de quatre niveaux. Seul le dernier étage, pourvu de larges fenêtres, avait une fonction résidentielle. Inscription aux Monuments Historiques en 1927.
En contrebas du centre de Poitiers, la Cathédrale Saint-Pierre est de très loin son édifice le plus imposant de Poitiers. De style gothique angevin, elle présente une remarquable façade avec rosace et trois portails sculptés suivant l'influence du gothique de l'Ile de France. Construite à partir de la fin du XIIème siècle sous l'impulsion d'Aliénor d'Aquitaine, elle est aujourd'hui classée Monument Historique. Très riche, s'y détache sa collection de 18 verrières de la première moitié du XIIIème, dont le très beau vitrail au centre du chevet du XIIème siècle, les stalles du choeur du milieu du XIIIème, parmi les plus anciennes de France ou encore l'orgue du XVIIIème, oeuvre de F. Clicquot. Le plus spectaculaire ? Un ensemble exceptionnel de peintures murales qui daterait de l'origine des travaux.
Château du XVe siècle sur les bords de la Creuse, situé dans un parc. Vous pourrez visiter la salle des gardes, un salon et les sous-sols voutés qui servaient de grenier à grains, de salle d'artillerie et de prison seigneuriale. La visite commence par une présentation de l'extérieur du château dont
Maison des XVIIIème et XIXème siècles.
Dominant l'Anglin, le château féodal d'Ingrandes date du XIème siècle et restauré au XIVème siècle. se situe dans le parc naturel régional de la Brenne, dans l'Indre et tout proche de la Vienne. Le caractère paisible, chaleureux et naturel offre aux visiteurs quiétude et détente.
L'occupation du site remonte à l'époque gallo-romaine. Au Moyen Age, le fief relève de Montmorillon et possède le droit de basse, moyenne et haute justice. L'hébergement de Pruniers est cité en 1290, mais l'édifice actuel est le fuit de trois campagnes distinctes, menées du 12ème au 15ème siècle. Dès le 15ème siècle, une enceinte entoure l'édifice. Des communs et une chapelle reconstruite au 19ème siècle complètent l'ensemble. Sa silhouette présente aujourd'hui un volume rectangulaire flanqué aux angles de tourelles pleines. Inscription aux Monuments Historiques en 1973.
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