130 Églises et Sites Religieux Autour de Villandraut
Explorez les églises et couvents autour de Villandraut. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.
Bien plus que de simples bâtiments en pierre, ce sont les témoins vivants de notre histoire spirituelle, et parfois d'excellents endroits pour se cacher quand il pleut ! Découvrez les églises, monastères, cloîtres et édifices religieux des environs de Villandraut
Explorez les églises et couvents autour de Villandraut. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.
Cet édifice, assez complexe, se compose d'un noyau primitif, chevet et nef centrale du XIème siècle agrandi au XIIème siècle par des bas-côtés et des absidioles. Au XIVème siècle est construit le clocher, puis au XVIème siècle est bâti au nord un nouveau bas-côté. D'épais pilastres supportent un clocher-pignon.
Bâtie entre le XIIème et le XVIème siècles à l'extrémité d'un éperon rocheux, l'église servait d'ouvrage de défense, comme l'illustre un hourd surmontant le portail ouest. L'entrée et le choeur de l'église sont d'architecture romane. A l'époque gothique, la nef est recouverte d'ogives qui s'appuient à leur base sur de curieuses têtes grimaçantes en pierre. Une seconde nef est ajoutée dans laquelle s'ouvre la porte réservée aux lépreux. Le mobilier de l'église comprend une chaire, un retable et une statue de Saint Christophe.
Sa cloche fin XVème siècle comporte une gravure rappelant qu'elle fut offerte par Jouna de La Mothe, dame de Roquetaillade, épouse de Charles de Montferrand. Le choeur est décoré d'une rangée de billettes.
Petite commune d'un peu plus de 700 habitants, niché au coeur de l'appellation de Sauternes dont la jolie église Saint-Pierre-ès-Liens, date du XIème siècle. Son abside romane est inscrite aux Monuments Historique. La Mairie de Sauternes est la seule mairie à avoir une vierge sur son fronton au-dessus de la devise « Liberté, Égalité, Fraternité ». Le bâtiment ayant été autrefois une école religieuse.
L'église, consacrée jadis à Saint-Saturnin, 1er évêque de Toulouse au IIIème siècle, est aujourd'hui placée sous le vocable de Saint-Louis. Entourée d'une place ombragée, d'arbres d'essences diverses, elle dresse, au-dessus de son portail cintré, un clocher carré à flèche de pierre. Au niveau de l'abside principale, la corniche d'origine est intacte.
L'église est construite au centre du village, lequel occupe un éperon de terrain dominant une large part de la vallée de la Garonne et de la vallée du Ciron. Cette église est le plus ancien bâtiment de la commune (XIIème siècle). Elle a 120 ans de plus que le château féodal.
De l'édifice roman, l'église conserve le choeur. A l'extérieur, sur le côté est du choeur, les marques laissées sur le mur sont les signatures des tailleurs de pierre. Le clocher carré et le presbytère qui est accolé à l'église dans sa partie nord sont construits en 1600. Le reste de l'église est édifié en 1846 sur les plans de l'architecte Lambert. A l'intérieur, le médaillon du grand autel est en marbre blanc. Il représente l'ange qui brise les liens de Saint Pierre dans sa prison. Le médaillon de l'autel de la Vierge, également en marbre blanc, est un don d'Eugène de Lur Saluces. Il figure l'Annonciation.
Deux croix de mission évoquent le souvenir du passage de prêtres chargés d'entretenir la ferveur religieuse au Nizan dans les années 1900. L'une, en pierre et fer forgé, est placée tout prés de l'église. L'autre est située non loin, dans le cimetière. Conçue en pierre, cette dernière est composée d'un fût cannelé surmonté d'une croix potencée.
1866. Ce lavoir, situé à proximité de l'église, est alimenté par les eaux du ruisseau le Piquan.
A droite de l'église de Saint-Léger de Balson, un petit chemin s'enfonce dans le bois ; en contrebas sur votre droite, se trouve la fontaine Saint-Clair, autrefois un important lieu de pèlerinage, en particulier au Moyen-Age. Ses eaux étaient réputées pour soigner les yeux et si le pèlerinage est beaucoup moins important aujourd'hui, de nombreuses personnes font encore le détour par cette source.
Saint-Léger-de-Balson est connu pour son pèlerinage en l'honneur de saint Clair, qui avait lieu chaque année dans l'église Saint-Léger. Celle-ci possède un chevet roman et une façade avec clocher-mur. Un vaste porche a longtemps servi à accueillir les foules lors du pèlerinage.
Cette église du XIIème siècle, remaniée au XVIème, renferme des peintures murales figurant les travaux des saisons, un moissonneur, un vendangeur et la tuerie du cochon. L'autel est décoré d'un antépendium, toile peinte du XVIIIème siècle. La toile du retable représentant Saint Clair est du XIXème siècle.
L'église, située au centre de la commune, possède une seule nef non voûtée et un chevet plat. Elle date du XVIème et du XVIIème siècles, mais sa façade ouest a été réalisée au XIXème. Cependant, une fenêtre du mur sud est de style roman.
L'église d'origine est rebâtie en 1840 car jugée dangereuse. Le clocher est reconstruit sous Napoléon III, après un don du Vicomte de Pontac. En remerciement, la commune a fait sculpter ses armes et celles de sa femme sur l'édifice. Le Comte fait encore preuve de générosité pour la restauration des vitraux. L'un d'eux est surmonté d'un dessin sur fond de gueule rouge avec des étoiles qui rappellent les armes de Pontac. Les quatre chapiteaux sont scellés dans le mur du presbytère où, tels des modillons, ils servent de consoles à la corniche.
Le lavoir de Bommes se situe au bord du Ciron, tout prés de l'église. Jusqu'à l'arrivée de l'eau courante, les femmes du village venaient y laver le linge.
Cette église romane du XIIè est agrandie au XVème siècle, le clocher est ajouté en 1767, alors que la sacristie date seulement de 1875. De l'édifice roman subsiste un portail orné de femmes aux têtes de diamant. Il est situé au niveau du sanctuaire, qui était alors une chapelle. Le plafond de l'église est quadrillé par des lamelles et des bandes entrecroisées, un décor traditionnel dans les monuments médiévaux. Dans le choeur de l'église, un baldaquin baroque, à colonnes torses et enroulement de vigne surmontées de chapiteaux corinthiens, abrite une Vierge à l'Enfant (Monument Historique). Le baldaquin est décoré à chaque extrémité de deux anges, qui sont considérés comme des chefs-d'oeuvre de la sculpture sur bois (Monument Historique).
C'est à la Révolution que la paroisse Saint-Pierre de Cuilleron et son annexe, Saint-Léger d'Aubiac, forment la commune d'Aubiac. L'église Saint-Pierre, située à l'écart du bourg proprement dit, abrite une cloche de bronze du XIIe siècle qui a été classée à l'inventaire des monuments historiques au titre objet en 1912.
Cette église, dont il ne subsiste plus que des ruines, fut jusqu'en 1846 le siège d'une archiprêtré. Plusieurs grottes entourent le site.
Cette église gothique date de la fin du XVIème siècle. Les clefs de voûte sont ornées de personnages parmi lesquels Saint Antoine Ermine et Sainte Catherine d'Alexandrie.
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