Bien plus que de simples bâtiments en pierre, ce sont les témoins vivants de notre histoire spirituelle, et parfois d'excellents endroits pour se cacher quand il pleut ! Découvrez les églises, monastères, cloîtres et édifices religieux des environs de Mortroux
Explorez les églises et couvents autour de Mortroux. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.
L'église du XIIe siècle construite sur l'ancien monastère est dédiée à Saint Martin de Tour. Elle renferme de belles statues de bois (XV / XVIIe) et une croix de pierre à l'extérieur ; quant au curieux « auvent de fer », c'est un ajout moderne.
Sur la droite du portail Ouest de l'église, on remarque une pierre le Templiers portant leur signe « Templiers » est un ordre religieux et militaire international issu de la chevalerie chrétienne du Moyen-Âge
Le début de l'édification de cette église date du XIIème siècle les murs comptent nombres de réemplois de bâtiments antérieurs. Elle est décrite dans l'oeuvre de Louis Lacrocq : « Les églises de France ». Cette église n'a jamais été achevée : il manque la nef, et le transept sud (détruit au XIXème siècle). Si sa construction était arrivée à son terme, cette église serait sans doute l'une des plus imposantes du secteur. Dédiée à Sainte Valérie, cette église est inscrite aux Monuments Historiques en 1912. Elle contient du mobilier inscrit : - Une châsse du XIIème siècle (actuellement exposée au Musée de Guéret) - 4 statues : deux apôtres datant du XVIIIème siècle, la Sainte Vierge datant du XVIIIème siècle et Sainte Philomène du XIXème siècle.
Epi faîtage en céramique fabriqué par le potier RENTY ou leurs confrères sur la commune voisine de MORTROUX dans les années 1830 à 1880. Le bourg de LINARD en possède quatre : deux sur cette maison de la rue principale et deux autres au presbytère (en face de l'église au n26). L'épi faîtage simple ou figuratif est d'abord une pièce utilitaire pour protéger le poinçon de la charpente sur les toits à trois ou quatre pentes mais c'est aussi une pièce d'ornement.
Cette église est dédiée à « Saint Pierre ès liens » il est le patron des ferronniers et des savetiers. Le 1er août on commémore le miracle qui fît tomber les chaînes de Saint Pierre emprisonné à Jérusalem. Une procession est organisée jusqu'à la fontaine qui lui est dédiée, l'eau de celle-ci aurait des vertus médicinales. Ce bâtiment contient de nombreux objets classés : Une cuve de chaire à prêcher Un retable du XVIIIème siècle Un tabernacle du XVIIème siècle Trois statues du XVIIème siècle : La Vierge à l'enfant, La Vierge au Chapelet et Saint Fiacre
Eglise dédiée à Saint Sylvain dont le culte est lié à la protection des enfants. Son édification remonte à la fin du XIIIème siècle. Lors de la Guerre de 100 ans, elle a été fortifiée et occupée par des gens d'armes en 1448 et 1449 afin de repousser les assauts des anglais. Aujourd'hui les créneaux construits pour sa défense sont encore visibles. Classée aux Monuments Historiques en 1924, elle contient du mobilier classé : Un tableau d'autel : « Remise du rosaire à Saint Dominique et un évêque » encastré dans un imposant maître autel : deux gradins, un tabernacle à ailes, et un retable architecturé. Une statue de la Vierge à l'enfant et celle d'un apôtre datant du XVIIIème siècle.
L'église romane de l'Assomption du XIIsiècle a remplacé une église plus ancienne dédiée à Saint Martin de Tours. Son ornement est assez riche : portail à colonnettes surmonté d'une frise, modillons sculptés, chapiteaux, bénitier
Cette chapelle en granit ornée de remarquables modillons en façade est signalée dès le XIe siècle. Elle présente un grand intérêt architectural par l'appareillage de ses pierres et par ses vestiges funéraires. Un modillon est un élément d'architecture qui, généralement, sert à soutenir une corniche, un avant-toit ou un balcon. Il se différencie du corbeau par le fait qu'il est sculpté de façon grossière, selon la nature des matériaux utilisés.
Cette chapelle fut érigée vers 1870. Un office religieux en plein air se tenait autrefois le jour de la Saint-Paul, le 29 juin, certainement associé au pèlerinage lié aux vertus curatives des eaux de la fontaine. Une fête champêtre se déroulait sous les tilleuls de ce lieu.
Cette église romane, dédiée à Saint-Léon, fut reconstruite en 1942 et inaugurée en 1943. L'ancienne église aurait été construite au XIIème siècle. Cette église est rectangulaire. De l'ancienne église, il reste le portail, le mur de chevet droit et trois contreforts plats romans. La porte Nord, autrefois précédée par un auvent en bois, est en tracé brisé, et est moulurée d'un torse (XIVème siècle). La sacristie a une porte extérieure à accolade. Le clocher est en charpente.
Le château féodal de la place de l'église dépendait des Seigneurs de Sainte-Sévère-sur-Indre et de l'Abbaye de Déols (36). Il fut détruit à la évolution Française et il ne reste aujourd'hui qu'une tour tronquée. ( Propriété Privée)
Ses premiers éléments de construction datent du XIIème siècle. Elle se compose d'une nef unique et d'un chevet droit. Sa caractéristique réside en son porche surmonté d'arcs à peine brisés : des « boudins limousins ».
Fortifié, cet édifice servait de défense au château, d'où sa position excentrée par rapport au bourg. Illuminée par ses vitraux restaurés, l'église conserve un magnifique retable d'albâtre polychrome relatant les épisodes de la Passion du Christ (XVe siècle), une maison de Lorette et une statue de Saint Michel, provenant de l'ancienne chapelle du château. Mais son plus grand trésor reste son magnifique retable d'albâtre sculpté polychrome (XVème siècle) chef d'oeuvre d'un atelier anglais. La tradition veut qu'il ait été rapporté du Hanovre, lors de la guerre de 7 ans, par un Marquis de la Roche-Aymon, seigneur de Châtelus. Placé dans la chapelle de gauche, le retable est composé de sept pièces distinctes en albâtre, renfermées dans un cadre en chêne. Les pièces extrêmes (hauteur de 55 cm/largeur de 13 cm), représentent, à gauche Saint Jacques le Majeur, et à droite, Saint Pierre
Placée sous le vocable de Saint Julien de Brioude, l'église est constituée d'une nef du 12ème siècle à chevet plat, flanquée de 2 chapelles ; l'une au nord, restaurée vers 1870, l'autre au sud, construite vers 1900. Une corniche biseautée, à modillons sculptés, court à l'extérieur. Le clocher en charpente coiffe l'extrémité ouest de la nef.
Cet édifice date des XIVème et XVème siècle. Cette église, située en dehors de l'agglomération, a été originairement la chapelle du château des Seigneurs (aujourd'hui disparu). La porte Ouest, en tracé brisé, mouluré d'un tore, est du XIVème siècle. La toiture est en tuiles plate. Le clocher est couvert d'un toit fait de bardeaux de châtaignier.
C'est un endroit pittoresque, lieu de pèlerinage avec sa chapelle de Notre-Dame de l'Espérance. Dans les années 1870, l'Abbé Jamot, curé de Roches, craignant l'arrivée du protestantisme dans sa paroisse, décide de chercher la protection divine par l'entremise de la Sainte-Vierge. Il fit donc l'acquisition d'une statue en fonte de Marie Immaculée, de 4 m de haut. Elle fut scellée sur un socle de pierres, au sommet d'un chaos rocheux, face au terre-plein, en position d'offrande ou d'invitation. La statue a été amenée en train de Toulouse à Ajain et acheminée par des boeufs jusqu'au pied du rocher. Une chapelle de style roman du XIXe siècle se dresse au pied du chaos. Une croix en granit, récemment restaurée, accueille les pèlerins sur ce site remarquable. Une légende raconte qu'une femme du village aurait déposé une petite bourse de pièces d'or sous la statue. Ce lieu agréable, rich
Placée sous le vocable de St Pierre Apôtre, cet édifice du XIIème Siècle, revouté et fortifié au XVème Siècle, se compose d'une nef unique à chevet droit et de quatre travées, la dernière formant le choeur. Cette église a été fortifiée au moyen de deux tourelles d'angle, pleines, partant du sol pour porter le chemin de ronde ; il reste trois consoles de mâchicoulis entre ces deux tourelles. Elle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1969.
Situé au chevet de l'église, le parc abrite deux croix, un lavoir et une fontaine en granit des XVIIIe - XIXe siècles.
L'église Saint-Michel (XIème , XIIIème et XVème s.) est la seule église fortifiée du département avec son choeur de style roman. L'Eglise doit sa naissance à un oratoire, « oratorium Sancti Michaelis », comme l'indique son nom.
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