Bien plus que de simples bâtiments en pierre, ce sont les témoins vivants de notre histoire spirituelle, et parfois d'excellents endroits pour se cacher quand il pleut ! Découvrez les églises, monastères, cloîtres et édifices religieux des environs de Maison Feyne
Explorez les églises et couvents autour de Maison Feyne. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.
Construite au XIème et XIIème siècle, cette Eglise romane a subi d'importants remaniements. Au Sud, se trouve le portail primitif. La croisée du transept ("croulé au XIIIème siècle) est surmontée d'un clocher carré. La façade Ouest s'ouvre en son centre par un portail en plain ceintre à deux voussures, garnies de boudins, reçues par l'intermédiaire de chapiteaux sur des colonnettes. Ce portail est encadré par deux contreforts plats joignant une corniche au niveau du pignon. Cette corniche est soutenue par une rangée de modillons sculptés de masques humains ou animaux. Eglise classée Monuments Historiques par arrêté du 9 avril 1969.
Edifice roman datant du XIIème siècle. Il est actuellement couvert de petites tuiles. Le clocher est, quant à lui, recouvert de bardeaux de châtaignier. Le portail Sud, en tracé brisé, a des boudins et des colonnettes à chapiteaux isolés où sont figurés un monstre, un oiseau, un homme aux jambes relevées ainsi qu'un masque entre deux palmettes. Autrefois, il ouvrait sur le cimetière. Ce portail est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 16 juin 1926.
L'origine de cette église, de style roman, remonte au XIIème siècle et elle a été remaniée au XIVème siècle. Le clocher est très original: il se compose d'un beffroi carré avec couverture arrondie, surmontée d'une tourelle et d'un clocheton revêtu de tuileaux en châtaignier. Il a été restauré plusieurs fois et la traditionnelle girouette figurant un coq a été remplacée par M. Roy, ferronnier d'art à Fresselines, vers 1980. Les façades latérales et arrières de l'église sont épaulées par des contreforts à bâtières, dont un est surmonté d'une petite croix en granit. Une porte à linteau en accolade est timbrée des armes des de la Marche. Le portail est de tracé brisé, à voussures garnies de boudins reposant sur des colonettes de chaque côté. Un reposoir surmonté d'une croix en granit se trouve sur la place, près de l'église. C'est au pied de cette croix que se faisait la levée des corps lors
Cette église date du XVème siècle et a été remaniée en 1911. Avant 1910, un clocher carré était adossé au Sud de la première travée et le portail s'ouvrait dans ce clocher. A la suite d'un écroulement partiel, la première travée et le clocher ont été démolis. On a fermé à l'Ouest la deuxième travée par un pignon terminé par un clocher-mur triangulaire à trois arcades et transporté le portail dans ce pignon. Le portail en tracé brisé, à deux voussures, avec boudins, colonnettes et chapiteaux formant frise, est du XIIIème siècle. La corniche possède des modillons sculptés.
L'église ancienne, appelée Notre-Dame avant 1711, a été démolie en 1909; il n'en reste que le portail principal du XIIIème siècle, en tracé brisé, réédifié sur la façade de l'hospice Bazenerye. Ce portail est classé Monuments Historiques par arrêté du 22 juin 1911. L'église actuelle fut bâtie de 1902 à 1908. L'édifice mesure 31, 50 mètre de long et 18 mètres de large. Le coq du clocher domine la place de 30 mètres environ. La statue de Notre-Dame de la Renaissance, fut placée dans une niche au-dessus de l'entrée en 1920. Cette église a un clocher-porche couvert d'un toit en charpente.
Dédiée à Saint Gilles, cette chapelle date du XVème siècle. Le curé de Fresselines y allait dire la messe chaque Saint Gilles (début Septembre).
Cette église de style roman, de la fin du XIème siècle et achevée au XIIème siècle a été surélevée et fortifiée au XIVème et XVème siècle. Sa longueur totale est de 31, 5 mètre. Le portail Ouest, en plein cintre, a deux voussures et des colonettes à chapiteaux ornés de masques humains. L'abside a une corniche sur modillons sculptés (têtes humaines); dans le mur Nord de l'édifice des modillons de l'ancienne corniche ont été conservés lors de la surélévation. Il y a des ouvertures rectangulaires, des trous de hourds et des traces de meurtrières. Son clocher rectangulaire, terminé par une flèche en charpente, s'élève sur la croisée du transept. Il reste quelques contreforts romans. Eglise classée Monuments Historiques par arrêté du 16 août 1922.
Cette église romane date du XIIème siècle. La chapelle nord, qui sert de sacristie est du XVème siècle; à sa porte, un écusson présente une croix ancrée (armoiries des d'Aubusson). Le portail Ouest, en tracé brisé, a des boudins et des colonnettes à chapiteaux isolés. Le clocher carré, avec petite cage d'escalier extérieure, a un étage percé de baies plein cintre; une flèche en charpente le surmonte. Il y a une croix antéfixe sur la façade ouest. Aux environs de l'église ont été découverts des sarcophages de granit. Eglise classée Monuments Historiques par arrêté du 8 avril 1933.
Cet édifice date des XIVème et XVème siècle. Cette église, située en dehors de l'agglomération, a été originairement la chapelle du château des Seigneurs (aujourd'hui disparu). La porte Ouest, en tracé brisé, mouluré d'un tore, est du XIVème siècle. La toiture est en tuiles plate. Le clocher est couvert d'un toit fait de bardeaux de châtaignier.
Cet édifice date du XIIème siècle et a subi des modifications aux XVème et XVIème siècles. Le clocher, à deux étages, est du XVIème siècle. Il est carré et couvert d'un toit pyramidal d'ardoises. A chaque pignon, il y a une croix antéfixe. Il faut noter la porte extérieure de la chapelle Nord qui est en accolade et ornée du blason de la famille de Rance. Le portail occidental, inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, es typique. D'un tracé en arc brisé, il présente des boudins, des colonnettes et des chapiteaux formant une frise. Autrefois, un porche en matériaux légers protégeait le portail. Contre le clocher, un autel très simple est formé d'une dalle ornée d'une grande croix de granit.
Dédié à Saint Jean, elle est rectangulaire, sans ornement. Jeanne d'Arc y aurait prié vers 1430. On y allait en dévotion pour la protection des moutons. Elle est dominée par un tilleul remarquable.
Cette église fortifiée, de style roman, date du XIIème siècle. Son originalité réside dans l'adossement de la maison-tour du XIVème siècle, une des plus anciennes demeures moyenâgeuses de la région, à rapprocher des Tours de Bridiers, mais bien mieux conservée car sa récupération en clocher aurait permis d'en assurer la sauvegarde. Le clocher de plan carré de plus de 15 mètres de haut est le principal élément fortifié. Le portail ouest, de tracé brisé, présente trois voussures garnies de boudins et de colonnettes à chapiteaux isolés, avec masques humains et feuilles plates. Le mur Sud, remanié et rehaussé, offre une rangée de modillons sculptés. On note une croix antéfixe au chevet. Eglise inscrite aux Monuments Historiques par arrêté du 20 mai 1994.
L'Eglise forme avec l'ancien presbytère et tour carré, un très bel ensemble architectural de caractère constituant, à l'origine un prieuré. Le premier document connu qui parle de l'église indique que, vers 1080, "Guy, évêque de limoges, donna l'église de Colondannes au monastère de Bénévent". La partie Ouest aurait été reconstruite partiellement et rattachée à la partie Est au XVIIème siècle. A la même époque, d'autres travaux importants ont été réalisés comme en témoignent deux dates : 1648 sur les fresques les plus récentes et 1688 sur le bénitier de la porte d'entrée. Cette église était, à l'origine, surmontée en son milieu, d'un clocher-mur. La construction du beffroi actuel date de 1868. Il contient toujours la cloche baptisée le 23 novembre 1868. Entre 2002 et 2012, l'édifice a été entièrement restauré, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, depuis le gros oeuvre jusqu'aux vitraux et
Ses premiers éléments de construction datent du XIIème siècle. Elle se compose d'une nef unique et d'un chevet droit. Sa caractéristique réside en son porche surmonté d'arcs à peine brisés : des « boudins limousins ».
Cette église comprenant, en son état actuel, une nef terminée par une abside à 3 pans et des chapelles nord et sud, a été construite au XIIème siècle ; elle n'avait alors que la nef, le choeur et peut-être, un court transept, comme un fragment de corniche permet de le supposer. Les chapelles ont été construites au XVème et XVIème siècle et l'église agrandie en 1864-1868. La nef a 3 travées ; la 1ère est moderne, les 2 autres sont voûtées d'ogives, postérieures à la construction de la nef, dont les nervures à profil tonique retombent sur les piliers adossés qui reçoivent les doubleaux en tracé brisé. Ces piliers qui présentent des dissemblances de dimensions et de moulures sont diversement ornés de crochets et de palmettes à l'archivolte. L'arc d'entrée du choeur retombe sur des colonnes engagées dans des piliers à ressauts. Ces colonnes sont ornées de beaux chapiteaux figurant des animau
Possède une chapelle funéraire du XVIème, voutée d'ogives avec liernes et tiercerons, qui devait abriter les sépultures des seigneurs voisins. De part et d'autre de la baie de cette chapelle, sont placées deux statues, de facture populaire en bois polychrome représentant Saint Léger, patron de la paroisse et Saint Roch. Elles semblent dater du XVIII.
Cette petite église rurale de plan rectangulaire a été construite au XII mais a subit de nombreux remaniements. La partie inférieure de sa façade est ornée d'un portail en arc légèrement brisé et de deux hautes niches en plein cintre aveugles. Ce type de façade se retrouve à la fois en Limousin, en Poitou et dans le Berry. La façade s'achève par un simple mur-pignon, percé d'une baie en plein cintre, surmontée d'une petite tête sculptée. La nef est un peu plus large que le choeur à chevet plat. Celui-ci a conservé son berceau en pierre alors que la voûte de la nef a été remplacée par un lambris. Le choeur abrite un maître autel du XVII orné d'un tableau endommagé représentant les saints Pierre et Paul. Une baie à remplage de pierre du XIII a été conservée dans la partie supérieure du mur du chevet. L'église possède un retable en bois du XVIIème.
Cette église fortifiée date du XIIIème siècle. Cet édifice roman est de forme rectangulaire. Les contreforts sont utilisés pour soutenir le poids de la voûte et la charpente de l'église. Le portail, datant du XVème siècle, est en tracé brisé avec de minces colonnettes. A droite du portail se trouve l'ancien autel de l'église avec une croix. L'Eglise a un clocher-porche datant du XVème siècle, construit dans un but de défense. Ce clocher, rectangulaire, possède trois étages reliés par une tourelle d'escalier en vis. Chaque étage est percé d'une ou de deux baies à double usage de tir de guet. Le dernier niveau du clocher est percé de quatre longues et étroites archères de jour. Une flèche tors, en charpente, surmonte ce clocher.
L'église Saint-Michel (XIème , XIIIème et XVème s.) est la seule église fortifiée du département avec son choeur de style roman. L'Eglise doit sa naissance à un oratoire, « oratorium Sancti Michaelis », comme l'indique son nom.
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