39 Églises et Sites Religieux Autour de Luxey
Explorez les églises et couvents autour de Luxey. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.
Bien plus que de simples bâtiments en pierre, ce sont les témoins vivants de notre histoire spirituelle, et parfois d'excellents endroits pour se cacher quand il pleut ! Découvrez les églises, monastères, cloîtres et édifices religieux des environs de Luxey
Explorez les églises et couvents autour de Luxey. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.
Construite au XIIe siècle et remaniée à différentes époques durant tout le Moyen Age, c'est un édifice agréable à visiter. Sur son côté sud, remarquez un ancienne porte murée, dite « porte des cagots » : cette entrée à part était réservée à ces malheureux marginaux sûrement discriminés à cause d'ancêtres lépreux. Ils devaient en aucun cas se mélanger au reste de la population et porter des vêtements distinctifs. Ces peintures murales en bon état présentent scène remarquable « La fuite en Egypte ». L'histoire raconte que le roi Hérode de Palestine ayant appris la naissance de Jésus, ordonna de tuer tous les enfants de moins de 2 ans : ce fut le « Massacre des Innocents ». Joseph averti par un ange prit l'enfant et sa mère et se retira en Egypte. L'inscription signifie « Comment notre Dame s'enfuit en Egypte avec son fils Jésus".
Eglise gothique construite au XIIIe siècle, remaniée au XVe siècle. Clocher-mur et maçonneries en moellons de garluche sont typiques des églises de la Haute Lande. Rétables du XVIIe siècle. Croix de cimetière datée de 1806.
Cette église romane a été construite au XIIIème siècle et partiellement refaite au XVIIIème. Des peintures murales du XIVème siècle représentent des scènes de la vie de Saint Pierre et de Saint Paul ainsi que le martyr d'Etienne.
Cette église gothique date de la fin du XVIème siècle. Les clefs de voûte sont ornées de personnages parmi lesquels Saint Antoine Ermine et Sainte Catherine d'Alexandrie.
La construction originelle remonterait aux XIe et XIIe siècles pour l´abside en hémicycle, la nef charpentée, le clocher-mur et le portail occidental. Aux XVe et XVIe siècles sont construits au nord une chapelle voûtée d´ogives puis un collatéral dans le prolongement de celle-ci. Dans le même temps, l´abside reçoit une voûte d´ogives épaulée d´épais contreforts, ce qui permet d´ouvrir dans ses murs de larges baies à ramplages flamboyants. En 1998, des sondages effectués dans la chapelle nord révélaient la présence d´un décor peint, restauré en avril 1999.
De la construction primitive du XIIème siècle, il ne reste que le chevet. Le clocher à pignon, très élevé, date du XIVème siècle. La nef centrale a été remaniée au XVIème. Les bas-côtés ont été construits entre le XVIème et le XVIIIème siècles. La tourelle de l'escalier a été refaite au XVIIIème siècle.
Saint-Léger-de-Balson est connu pour son pèlerinage en l'honneur de saint Clair, qui avait lieu chaque année dans l'église Saint-Léger. Celle-ci possède un chevet roman et une façade avec clocher-mur. Un vaste porche a longtemps servi à accueillir les foules lors du pèlerinage.
Cette église du XIIème siècle, remaniée au XVIème, renferme des peintures murales figurant les travaux des saisons, un moissonneur, un vendangeur et la tuerie du cochon. L'autel est décoré d'un antépendium, toile peinte du XVIIIème siècle. La toile du retable représentant Saint Clair est du XIXème siècle.
A droite de l'église de Saint-Léger de Balson, un petit chemin s'enfonce dans le bois ; en contrebas sur votre droite, se trouve la fontaine Saint-Clair, autrefois un important lieu de pèlerinage, en particulier au Moyen-Age. Ses eaux étaient réputées pour soigner les yeux et si le pèlerinage est beaucoup moins important aujourd'hui, de nombreuses personnes font encore le détour par cette source.
L'ancienne paroisse d'Insos relevait, sous l'Ancien Régime, de la seigneurie de Cazeneuve pour le temporel. Après la révolution, elle a été rattachée à Préchac. Cette église, isolée en pleine lande, a été récemment restaurée. Le chevet roman, bien conservé, est percé de lancettes et sommé d'une corniche à modillons sculptés et historiés. Elle comporte un très beau clocher pignon à contreforts, à caractère militaire, homogène du XIVème siècle. Il reçoit au nord une tourelle contenant un escalier à vis. Le portail s'ouvre à la base, simple et d'élégante facture, et il comprend trois colonettes à imposte, trois voussures et une archivolte.
Entre Sabres et Roquefort, la commune de Vert est située dans le Parc naturel régional des Landes de Gascogne. Au centre du village, l'église Saint-Vincent se dresse à côté du monument aux morts, remarquable notamment par sa curieuse façade : outre un porche à entrée ogivale, le clocher-mur avec ses deux cloches est flanqué d'une tour cylindrique à toit conique qui sert de support à l'horloge. Construite au XIIème siècle, l´église de Vert fut remaniée à plusieurs reprises au cours du Moyen-Âge et dernièrement au XIXème siècle par l´adjonction d´un bas-côté. Son chevet abrite de belles peintures murales, restaurées il y a quelques années, tout comme les façades, les enduits intérieurs et les cloches, signées Poulange et Deletang.
Ville étape sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, Captieux fait partie intée du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne. Le lac de Taste se prête volontiers à une promenade en famille, à une partie de pêche sur le ponton ou à un pique-nique au bord de l'eau. En été, plusieurs journées d'activités sportives pour tous les âges sont organisées avec paddle, grimpe d'arbre, canoë, course d'orientation, poney, etc. En quittant le lac, ne manquez pas de découvrir l'oeuvre « Le Pavillon » située sur le parcours de la Forêt d'Art Contemporain. La ville s'anime régulièrement lors de son marché hebdomadaire du lundi situé près de l'église, de la feria Rugby y toros en juin ou encore à l'occasion de la Fête des Boeufs Gras au mois de février. Un cinéma ainsi qu'un centre culturel ou se déroulent de nombreux spectacles font de Captieux une ville où il fait bon vivre toute l'année.
L'église Saint-Martin (1869) remplace l'église primitive qui était en partie fortifiée. De style néo-gothique, elle est composée d'un long vaisseau central de cinq travées terminé par une abside polygonale. Il est bordé de deux bas-côtés. A l'Ouest, un haut clocher porche contribue à l'allure générale de cette église qui est le phare du chef lieu de canton.
La façade reconstruite est assez originale : elle présente une porte haute à deux battants en bois, et décorée par une menuiserie fine. À l'intérieur, l'autel monumental fait la réputation et l'originalité de cette église. Celui-ci est entouré de colonnes provenant de la cathédrale de Bazas. Ces colonnes ont été amenées vers 1870 à Lencouacq par la famille Lubet-Descornes et offertes à l'édifice. Sur l'autel se trouve une Vierge en bois doré datant du XVIIIe siècle. Elle porte un sceptre ainsi que l'Enfant Jésus nu aux cheveux bouclés, tenant un globe dans ses mains.
Cet édifice, assez complexe, se compose d'un noyau primitif, chevet et nef centrale du XIème siècle agrandi au XIIème siècle par des bas-côtés et des absidioles. Au XIVème siècle est construit le clocher, puis au XVIème siècle est bâti au nord un nouveau bas-côté. D'épais pilastres supportent un clocher-pignon.
L'église Notre-Dame fut construite à la fin du XVe - début du XVIe siècle à quelques dizaines de mètres de l´église paroissiale Saint-Martin. Elle était autrefois entourée de bâtiments civils encore visibles sur le cadastre napoléonien, ce qui suscita diverses hypothèses : ancien prieuré ("moustier"), chapelle de cimetière, seigneuriale, réservée aux "cagots" ou à l´accueil des pèlerins (lieu-dit "l´Houspitalet" donné à une maison voisine).En 1985 étaient découvertes dans le choeur des peintures murales, restaurées 4 ans plus tard. Elles figurent au nord et à l´est un cortège de priants, alors que le mur sud est consacré à 2 scènes de la Genèse : le Péché originel et l'expulsion du Paradis
A l'exclusion des bas-côtés et du porche, l'église est classée Monuments Historiques. Elle date des XVème et XVIème siècles pour le chevet et la nef centrale et du XIXème pour les bas-côtés. Son clocher-mur est le plus remarquable de la région. Il repose sur d´imposants contreforts réunis par un arc supportant un balcon, et son fronton est percé de 5 arcades. Le portail occidental, en anse de panier, date du XVIe siècle, époque de transition entre art gothique et renaissance. Ses cinq voussures sont peuplées d´animaux réels ou fantastiques et de personnages pris dans des rinceaux. Trois statues représentent les saints Michel, Loup et Laurent . Magnifique décor architectural en trompe-l'oeil.
L'église, construite au XVIème siècle, est agrandie en 1838. Elle fait l'objet de nouveaux travaux en 1873, date à laquelle la famille Callen offre le clocher. A l'intérieur, sur l'un des piliers, sont mentionnés, en lettres gothiques, le nom du fondateur de l'église, Amédée de Cazeneuve, et la date de 1572. Les nefs latérales sont ornées de retables en bois du XVIIème siècle.
Située dans une clairière du quartier de Guinas, à 3km au sud-est de Cachen, la petite église de Notre-Dame de la Nativité est un édifice plein de charme et d'intérêt. Construite au 13ème siècle, l'abside fut coiffée au 18ème d'un dôme néo-classique surmonté d'un clocheton et tapissé d'ardoises.
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