Bien plus que de simples bâtiments en pierre, ce sont les témoins vivants de notre histoire spirituelle, et parfois d'excellents endroits pour se cacher quand il pleut ! Découvrez les églises, monastères, cloîtres et édifices religieux des environs de Cendras

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Par sortie-visite.com. Mis à jour le 11-02-2025.

91 Églises et Sites Religieux Autour de Cendras

Explorez les églises et couvents autour de Cendras. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.

91 Églises et Sites Religieux Autour de Cendras
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Abbaye Bénédictine

Abbaye Bénédictine

Une abbaye de Bénédictins est fondée au Xe siècle sous le vocable de Saint-Loup, puis sous celui de Saint-Martin, sur les restes d'une villa romaine.

Eglise Saint Eloi

Eglise Saint Eloi

L' Eglise Saint Eloi a été bâti entre 1856 et 1858 sur les plans de l'architecte diocésain Henri Revoil. Elle est située au Quartier de Tamaris.

La Chapelle du Château de Mandajors

La Chapelle du Château de Mandajors

La Chapelle du Château de Mandajors date du XIIe siècle et se situe au Hameau de Mandajors.

Le Fort Vauban

Le Fort Vauban

La citadelle d'Alès, dite Fort Vauban, a été construite en 1688 au lendemain de la Révocation de l'Edit de Nantes. Elle fut édifiée sur la butte de la Roque qui dominait la Ville, à l'emplacement des 2 châteaux des Seigneurs d'Alès dont on ne conserva que la poterne (porte du XIIIe siècle) de celui des barons. Archives Municipales d'AlèsLa citadelle d'Alès, dite Fort Vauban, a été construite en 1688 au lendemain de la Révocation de l'Edit de Nantes. Elle fut édifiée sur la butte de la Roque qui dominait la Ville, à l'emplacement des 2 châteaux des Seigneurs d'Alès dont on ne conserva que la poterne (porte du XIIIe siècle) de celui des barons. Le rôle du Fort était double : abriter une garnison qui contrôlait ceux dont la religion protestante venait d'être interdite et enfermer les récalcitrants. Contrairement à l'appellation, ce n'est pas Vauban qui a construit la citadelle. Vauban fut absent des chantiers cévenols (les forts de Nîmes et de St Hippolyte datent de la même époque). Les trois forts ont été construits à la manière de ceux de Vauban. Celui d'Alès a la particularité de dessiner un U. Il a une superficie de 1 500 m² répartis sur trois niveaux. Il est formé de deux corps de logis : côté sud était le logement du gouverneur, de l'état-major, la chapelle. L'autre partie était occupée par la garnison et pouvait servir de prison. Au centre du Fort, l'ingénieur plaça un grand escalier rampe sur rampe. Seule l'enceinte défensive est inscrite à l'Inventaire des Monuments Historiques depuis 1973 : Elle est constituée de six petits bastions, de quarante embrasures à canon, d'un fossé, d'une porte ouvrant en escalier vers la ville et d'une porte de secours défendue par un pont-levis. A la Révolution Française, les prisons deviennent propriétés nationales et occupent tout le Fort jusqu'en 1925, date à laquelle l'Etat remet à la ville d'Alès une partie du bâtiment, où furent hébergés successivement le Musée (avant son transfert au Colombier), la Bibliothèque, les Archives Municipales et l'association archéologique le g. A.r. A. De triste mémoire, dans le Fort Vauban ont été enfermés et torturés des prisonniers lors des deux guerres mondiales. La Maison d'Arrêt a fermé définitivement ses portes en juin 1990. Le département du Gard en est toujours propriétaire. Des visites guidées sont proposées par l'Office du Tourisme d'Alès toute l'année. Pour plus de renseignement et réservation, veuillez contacter l'office du tourisme.(Sources : Archives Municipales d'Alès)

Train touristique d'Alès

Train touristique d'Alès

À travers ce parcours les principaux monuments de la ville sont visibles, commentaires et anecdotes ponctueront ce voyage dans le temps et différents thèmes sur l'histoire seront abordés : la soie, le protestantisme, le charbon...A bord du petit train les commentaires traiteront de la Cathédrale Saint Jean Baptiste, des Remparts du Fort Vauban, du Temple d'Alès, de l'Ancien Théâtre et de l'Ancienne Église des Cordeliers qui abrite aujourd'hui le bureau d'information touristique, de l'Église Saint Joseph et de la place Henri Barbusse, mais aussi du Théâtre le Cratère, de la Médiathèque des Arènes, d'Alès Plage, de la place Gabriel Péri et de la place de l'Abbaye. Vous en saurez plus en lisant l'article : Une visite d'Alès originale !Informations pratiques :- Départs : devant l'Office du tourisme d'Alès - Cévennes Tourisme, place de l'Hôtel de ville- Tous les jours sauf dimanche - Horaires de départ : 10h30 - 16h00 - 17h30 ( 14h30 créneau groupe)- Tarifs : Adulte 5 EUR / Enfant 3 EUR

Ancienne Eglise des Cordeliers

Ancienne Eglise des Cordeliers

Cette ancienne église romane (XIe siècle) a été détruite lors des guerres de Religion.

Eglise Notre Dame de l'Assomption

Eglise Notre Dame de l'Assomption

L'Eglise, édifiée entre 1858 et 1863, est de style néo-roman. Elle est située au quartier de Rochebelle. Elle présenter un plan simple à trois nefs et transept.

L'Ermitage d'Alès

L'Ermitage d'Alès

D'une hauteur de 190m, le sommet de l'Ermitage est accessible par la route bitumée. Il offre un panorama à 360 sur Alès et les Cévennes.

L'Eglise St Joseph

L'Eglise St Joseph

L'Eglise St Joseph a été élevée en 1858 par les religieuses du Sacré-Coeur afin de compléter la cathédrale.

Le Temple

Le Temple

Le temple a été bâti entre 1864 et 1869 sur les plans de l'architecte diocésain Henri Revoil. Il remplace une ancienne chapelle devenue trop petite pour accueillir les fidèles.

La Cathédrale Saint Jean Baptiste

La Cathédrale Saint Jean Baptiste

La cathédrale a été édifiée sur les bases d'une église carolingienne, elle-même bâtie à l'emplacement d'un temple gallo-romain.

Palais épiscopal

Palais épiscopal

Le diocèse d'Alès fut érigé par une bulle donnée par le pape Innocent XII, le 17 mai 1694. Sept évêques l'ont administré : MM. de Saulx, de Hénnin Liétard, d'Avéjan, de Montclus, de Beauteville, de Balore et de Beausset. Archives Municipales d'AlèsLe diocèse d'Alès fut érigé par une bulle donnée par le pape Innocent XII, le 17 mai 1694. Sept évêques l'ont administré : MM. de Saulx, de Hénnin Liétard, d'Avéjan, de Montclus, de Beauteville, de Balore et de Beausset. La constructionLes deux premiers évêques logeaient non loin de la cathédrale au n 16 rue Lafare, dans une maison louée pour eux par le diocèse à M. De Ribaute. Ils possédaient, en outre, une maison de plaisance à Brouzen, connue sous le nom de château de Rochebelle. Monseigneur de Saulx avait bien proposé à l'administration provinciale un devis pour la construction d'un palais épiscopal, mais les plans furent jugés trop somptueux et le projet resta sans exécution. Monseigneur d'Avéjan proposa à son tour des plans plus simples, réduisant de moitié la dépense prévue par son prédécesseur. Les travaux furent adjugés le 16 septembre 1724 à l'architecte Rollin au prix de 81 000 livres, montant du devis primitif. On utilisa la pierre de Navacelles, et non celle de Méjannes comme prévu initialement. Monseigneur d'Avéjan se vit forcer de réduire son premier plan qui comportait un étage très élevé à un rez-de-chaussée et à une attique fort basse. En juin 1728, Monseigneur d'Avéjan put enfin quitter la maison de Ribaute ; le palais était dès lors habitable, quoique non terminé.La réception officielle n'eut lieu que le 8 avril 1741. L'ensemble de la construction coûta environ 130 000 livres au diocèse. D'Avéjan dépensa, sur sa cassette personnelle, 40 000 livres employées principalement à la décoration. Le palais, avec ses jardins et autres dépendances, occupait une surface de 13 000 mètres carrés. Sa magnifique cour d'honneur ouvrait par une porte cochère monumentale sur la haute place Saint Jean. Une fois franchie la porte cochère, l'on se trouvait dans un passage couvert bordé d'un côté par la loge du suisse, de l'autre par les bureaux du secrétariat de l'évêché et de l'officialité diocésaine. Puis l'on pénétrait dans la cour d'honneur que d'élégants ouvrages disposés en ligne courbe séparaient, à gauche de la cour des offices et cuisines, à droite de celle des remises et écuries. Dans la plus grande des écuries, pouvaient trouver place 26 chevaux. Enfin, au fond de la cour, le palais s'élevait, harmonieux et simple, sa partie centrale décorée d'un fronton triangulaire. Quelques marches à gravir et l'on accédait à un large perron précédant le vestibule d'entrée. Le rez-de-chaussée comprenait surtout les appartements de réception. Une partie de l'aile nord de l'édifice était occupée par le cabinet de travail de l'évêque. Les appartements particuliers étaient partagés entre le rez-de-chaussée et l'attique du haut. L'aile sud était bâtie à l'italienne. Le salon de même style autour duquel régnait, à la hauteur de l'attique, une balustrade de fer, en formait la pièce maîtresse. Nouvelles affectationsLa Constitution Civile du clergé décrétée par l'Assemblée Constituante le 12 juillet 1790 supprima les évêchés d'Uzès et d'Alès. Le siège épiscopal d'Alès étant officiellement supprimé, le palais épiscopal cessait d'être réservé à un usage religieux. Appartenant à la Nation, il fut occupé en l'an 2 par l'administration du district et par le Tribunal Judiciaire. En l'an 3, il abrita le Comité Révolutionnaire. Vendu comme bien national, l'évêché eut trois propriétaires :- Jean-Jacques Sugier fils, vice-président du Directoire du district d'Alès, se rendit acquéreur le 27 février 1792 pour la somme de 9 025 livres du jardin potager de l'évêché (804 toises carrées) et de la maison du jardinier qui lui était attenante (26 toises).- Le 7 juillet 1796 (19 Messidor an IV), Adam Edouard et Charles Michel fils, négociants à Nîmes, Jean - Edouard Serres, vérificateur de la Régie Nationale achetèrent l'évêché et des dépendances (bâtiments 440 toises ; cours et jardins 2 022 toises ; orangerie 30 toises).- Le 5 février 1798 (17 pluviôse an VI), Jean-Louis Bonnaud, originaire de Nîmes, acquit la maison appelée « l'évêché d'Alès ».- Enfin, c'est le premier acquéreur, Jean-Jacques Sugier fils, qui racheta l'évêché. Par la suite, il céda ses droits à une société d'actionnaires qui vendit par parcelles le vaste jardin. Des immeubles de rapport furent édifiés sur ces lots. Malgré plusieurs projets pour installer dans l'évêché le Palais de Justice (1825), puis la Sous-Préfecture, la Mairie d'Alès rencontra toutes sortes d'obstacles qui l'empêchèrent de prendre possession du bâtimentEn 1866, la Ville acheta la partie non encore aliénée du jardin de l'évêché à Me Castillon, avocat, pour agrandir la place de l'Hôtel de Ville. Une partie seulement du jardin fut utilisée à cet effet ; l'autre moitié devint terrain d'emplacement. Installation de la Caisse d'EpargnePar délibération du 7 mars 1868, le Bureau des directeurs de la Caisse d'Epargne demanda à la Ville l'autorisation d'acquérir de MM. Chamboredon et Teissonnière, la partie de l'ancien évêché provenant de l'hoirie Castillon. Le Conseil Municipal approuva par délibération du 12 mars. C'est que depuis sa création en 1838, la Caisse d'Epargne se trouvait dans les locaux de l'état civil et souffrait du manque de place. Aussi, fit-elle construire en aile de l'évêché et dans le même style un édifice où elle installa ses bureaux. Ce qui resta du terrain demeura jardin privé pour la Caisse d'Epargne. Depuis, une partie en a été utilisée pour l'édification d'une salle de spectacles et cinéma « Le Casino », démolie en 1988 ; sur l'autre, à l'angle de la place et de la rue Taisson des maisons d'habitations se sont élevées. Le 16 décembre 1892, la Caisse d'Epargne décide de mettre son premier étage à la disposition du Musée. Ceci dura jusqu'en 1929. Suite au développement de ses services et pour assurer de plus grandes commodités au public, divers projets de restauration et d'aménagement de la Caisse d'Epargne furent étudiés entre 1899 et 1900. Parallèlement, impasse de l'évêché donnant sur la haute place Saint-Jean, un café puis restaurant dits « de l'évêché » existèrent jusqu'au premier tiers du XXe siècle (au 1er étage, Michau, le Vatel alésien succéda à Rouger, le non moins réputé « officier de bouche »).C'est en 1936 que la Chambre de Commerce d'Alès décida d'acquérir les bâtiments formant la totalité de l'ancien évêché. La Chambre de Commerce, créée le 30 avril 1909 était installée 1 rue Jules Cazot, mais elle manquait de place. L'évêché était alors aux mains de deux propriétaires : une partie de l'immeuble appartenait à M. Bizot (coût estimé 230 000 F.), l'autre partie aux hoirs Dumas (180 000 F.)Il fut décidé que les deux parties de l'immeuble seraient aménagées pour n'en faire qu'une. Un décret du 3 juin 1936 autorisa La Chambre de Commerce à contracter un emprunt de 900 000 F. en vue de l'acquisition et de l'aménagement de l'ancien évêché. Un second décret en date du 5 février 1937 déclara d'utilité publique cette acquisition. La Chambre de Commerce et d'Industrie s'installa en 1938 dans ses nouveaux locaux rénovés. L'inauguration eut lieu le 24 avril 1938. Des modifications intérieures eurent lieu par la suite pour répondre à l'évolution des besoins. En 1972, l'évêché ne correspondant plus aux nécessités des services de la Chambre de Commerce, des tractations furent entreprises avec la Mairie d'Alès pour l'achat d'un terrain sur lequel serait construit le nouvel Hôtel Consulaire. Le terrain choisi fut celui d'une partie de l'ex-lycée Jean-Baptiste Dumas (1 058m²). La vente eut lieu le 14 mai 1973 (pour un montant de 250 000 F.) entre MM. Roger Roucaute, maire, et Jean Richard-Ducros, industriel alésien, président de la Chambre de Commerce. Le permis de construire de l'Hôtel Consulaire fut délivré le 12 avril 1974. L'ancien évêché étant devenu disponible, la Caisse d'Epargne s'en rendit acquéreur et entreprit dès 1976 des travaux d'aménagement des locaux. Ancien Palais Episcopal, façades et toitures du bâtiment central et ailes en retour, classés Monument Historique le 1er juin 1964. Bibliographie sommaire1 - Ouvrages et articles- Chanoine Bruyère : Alès, Capitale en Cévennes, 1948- Duclaux - Monteils : Recherches historiques sur la ville d'Alais, 1860- Rouvière François : L'aliénation des biens nationaux dans le Gard, 1900- Bulletins de la Chambre de Commerce 1914 - 1951- Cahiers d'histoire et d'archéologie, 1936 - Jean Favand « L'Oeuvre administrative diocésaine de Monseigneur d'Avéjan, 3e évêque d'Alais », 1721 - 1744. 2 - ArchivesArchives Départementales du GardArchives Municipales d'Alès(Sources : Archvies Municipales d'Alès)

Conférences guidées de la cathédrale St Jean Baptiste

Conférences guidées de la cathédrale St Jean Baptiste

Venez retrouver la splendeur de l'édifice restauré et découvrir 3000 ans d'histoire(s) ! La cathédrale romaine du diocèse de Nîmes révèle ses secrets...Récemment rénovée, la Cathédrale d'Alès vous ouvre ses portes. L'édifice alésien, érigé au XVIIe siècle est classé "monument historique". À l'intérieur de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, le choeur est un bijou architectural notable en Occitanie, avec ses colonnes cannelées, sa coupole avec système de pendentif dit "de Valence" ou ses murs et toiles marouflées peints par Cublet et Marinelli en 1876. La cathédrale est édifiée sur les restes d'une ancienne église carolingienne, elle-même située sur l'emplacement d'un temple gallo-romain. Infos pratiques :- Rendez-vous tous les jeudis du 13 Janvier au 30 Juin 2022- Horaire : 16 h 30 ( se présenter 10mn avant le départ de la visite)- Tarif : 5 euros- Informations et renseignements par téléphone au 04 66 52 21 06- Inscription obligatoire car la visite est conditionnée à la participation de 5 personnes a minima- Sous la responsabilité de l'Association civile de la cathédrale d'Alès

Eglise de St Julien

Eglise de St Julien

L'église de St Julien est située dans le centre du village.

Monastère Notre Dame des Fonts

Monastère Notre Dame des Fonts

Le Monastère Notre Dame des Fonts a été construit au XIe siècle, il est composé d'une église et d'un monastère de religieuses cisterciennes.

Châteaux de Soustelle

Châteaux de Soustelle

Le château d'Olympie XIVe siècle - Privé, visible seulement de l'extérieur. Les premières constructions de ce château, situé à proximité du Galeizon, figurent dans les grimoires en 1308. Un grand flou demeure concernant ce dernier sur la période comprise entre sa construction et les années 1600, les archives ayant dispdans l'incendie du bâtiment en 1703. Il aurait été construit pour surveiller l'entrée de la vallée du Galeizon, les traces des roues des diligences sont encore visibles dans la roche. Le château fut brûlé en 1703 par les Huguenots, puis reconstruit jusqu'en 1733. Durant la seconde guerre mondiale, le château servît de relais au maquis de Saint Martin de Boubaux. Le château de Soustelle XIIe siècle - Privé, visible seulement de l'extérieur. Situé près de l'église Saint-Pierre, il est le moins bien conservé des trois châteaux présents sur la commune, mais il est également le moins modifié par rapport à sa construction d'origine, avec ses deux magnifiques tours et son mâchicoulis. On peut aussi y voir la pierre d'angle où reposait la troisième tour du château, côté nord-est, et une génoise à trois rangées. Les nombreuses meurtrières qu'il est possible d'observer témoignent de sa vocation défensive. Cet édifice très ancien, aurait été incendié trois fois avant 1100. Le château de Périès XIIe siècle - Privé, visible seulement de l'extérieur. Le fief de Périès est évoqué dès le XIIIe siècle. Si plusieurs versions existent sur son rattachement à la famille Firmas, que certains font remonter au XIVe siècle, un fait est absolument certains : Anne des Estienne, dame de Périès, l'a apporté en dot à Bernard de Firmas, écuyer, lors de leur mariage en 1572. Ce château brûla pendant la guerre des Camisards.

La Croix Bertranet

La Croix Bertranet

La Croix de Bertranet domine le village.

Eglise Saint Jean

Eglise Saint Jean

De style roman, l'église Saint Jean est datée du XIIe siècle et se situe au centre du village de St Privat des Vieux

Eglise Saint-Pierre du Mas Dieu

Eglise Saint-Pierre du Mas Dieu

L'église du Mas Dieu est un établissement religieux au style roman très sobre dont la façade principale est dépourvue d'ouverture.

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Plus de 91 glises et Sites Religieux Autour de Cendras !

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