39 Églises et Sites Religieux Autour de Belin Béliet
Explorez les églises et couvents autour de Belin Béliet. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.
Bien plus que de simples bâtiments en pierre, ce sont les témoins vivants de notre histoire spirituelle, et parfois d'excellents endroits pour se cacher quand il pleut ! Découvrez les églises, monastères, cloîtres et édifices religieux des environs de Belin Béliet
Explorez les églises et couvents autour de Belin Béliet. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.
L'eau de la fontaine Saint-Clair, à proximité de l'église Saint-Pierre de Mons, est réputée pour soigner les maladies des yeux.
Mons et son église occupent une place particulière dans la région, situés sur une voie nord sud ancienne qui permettait de rejoindre l'Espagne (voie antique puis itinéraire du pèlerinage vers Saint Jacques de Compostelle). Des textes anciens nous disent que les compagnons de Roland de Roncevaux y seraient enterrés. Un prieuré y a été installé qui a été réformé en 1497. Il contrôlait une bonne partie de la Moyenne Leyre et de son bassin versant jusqu'à Hostens. Des textes datant de la fin du XVe siècles (redevances) nous renseignent sur leurs habitations et ce qu'ils cultivaient. L'église du XIe siècle, d'origine avec son clocher-tour défensif, date de la fin XVe et traduit les préoccupations défensives suscitées par la guerre de cent ans.
Cette église du XIème siècle est le dernier témoin de l'ancien village de Lugo, il a été abandonné progressivement au XVIIè siècle. Nichée au coeur de la forêt des Landes Gascogne, elle constituait une halte importante pour les pèlerins se rendant à Saint-Jacques de Compostelle. Elle est ornée de peintures murales du XVIème siècle.
Cette très simple chapelle gothique, dédiée à Sainte Catherine, est située dans le quartier de Rétis à Hostens, au bord de l'un des chemins de pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle. La forme de la façade est celle d'un simple clocher-mur au-dessus duquel a été logée la vieille cloche, protégée par un double abri de sonneur en bois.
L´église de l´ancienne commune de Biganon, aujourd´hui rattachée à Moustey, fut édifiée au XIe siècle en petits moellons de garluche[...]
L'église paroissiale de Moustey, construite à la fin du XVe - début du XVIe siècle, cohabite depuis cette époque avec l´église Notre-Dame, située à quelques mètres[...]
L'église Notre-Dame fut construite à la fin du XVe - début du XVIe siècle à quelques dizaines de mètres de l´église paroissiale Saint-Martin. Elle était autrefois entourée de bâtiments civils encore visibles sur le cadastre napoléonien, ce qui suscita diverses hypothèses : ancien prieuré ("moustier"), chapelle de cimetière, seigneuriale, réservée aux "cagots" ou à l´accueil des pèlerins (lieu-dit "l´Houspitalet" donné à une maison voisine).En 1985 étaient découvertes dans le choeur des peintures murales, restaurées 4 ans plus tard. Elles figurent au nord et à l´est un cortège de priants, alors que le mur sud est consacré à 2 scènes de la Genèse : le Péché originel et l'expulsion du Paradis
La construction originelle remonterait aux XIe et XIIe siècles pour l´abside en hémicycle, la nef charpentée, le clocher-mur et le portail occidental. Aux XVe et XVIe siècles sont construits au nord une chapelle voûtée d´ogives puis un collatéral dans le prolongement de celle-ci. Dans le même temps, l´abside reçoit une voûte d´ogives épaulée d´épais contreforts, ce qui permet d´ouvrir dans ses murs de larges baies à ramplages flamboyants. En 1998, des sondages effectués dans la chapelle nord révélaient la présence d´un décor peint, restauré en avril 1999.
Eglise Saint Martin de Mios
Suite à la prise de propriété des églises par les communes, l'église Saint-Jean a été abandonnée et détruite. Celle qui se dresse aujourd'hui, assez simple et similaire à l'église de Cabanac, date de 1879 mais conserve sa cloche, un tableau et une pièta d'origine.
Eglise de Saint Jean de Lacanau de Mios
Eglise gothique construite au XIIIe siècle, remaniée au XVe siècle. Clocher-mur et maçonneries en moellons de garluche sont typiques des églises de la Haute Lande. Rétables du XVIIe siècle. Croix de cimetière datée de 1806.
Un lavoir, situé dans le bourg de Cabanac et Villagrains, à côté de l'église, est alimenté en eau potable.
L'église, située sur une petite motte au coeur du village, surplombe le lavoir qui est alimenté par une source d'eau potable où beaucoup de personnes viennent encore se ravitailler en eau car elle est, paraît-il, fraîche et légère.
Bien qu'il n'y ait qu'une mairie et plus qu'un seul groupe scolaire, tout est en double dans la commune : deux lavoirs, deux prisons, deux salles des fêtes et deux églises : Saint Martin de Cabanac qui est une église romane dans sa partie arrière et qui contient un remarquable chemin de croix et de magnifiques vitraux et Saint Jean de Villagrains Aujourd'hui, il ne reste plus que des vestiges de ce village, seule reste une maison partiellement détruite. L'église a été démantelée, les maisons éboulées et le cimetière a dispsous la végétation. En 1879, l'église qui avait été abandonnée fut reconstruite au bourg actuel de Villagrains. Seule une cloche datée de 1544 subsiste encore. Les deux principales ressources économiques actuelles de cette commune forestière sont l'industrie du bois et l'extraction gravière.
Magnifique parc jouxtant l'Eglise Saint Emilion de Marcheprime qui comporte une aire de jeux pour enfants, des sanitaires et des arbres remarquables (séquoia, eucalyptus[...]
Construite en 1862, l'Eglise Saint-Emilion est un édifice imposant dont le haut clocher se dresse fièrement vers le ciel. L'Eglise Saint-Emilion est un ouvrage d'inspiration gothique à l'architecture caractéristique. Elle se compose d'une nef unique et de trois croisées d'ogive.
Construite en 1866, l'église Saint-Gervais abrite des fonts baptismaux romans qui proviennent du prieuré de Comprian. L'oeuvre remarquable de cet édifice religieux est la cuve baptismale taillée dans la pierre, notamment ornée d'un taureau, d'un lion, d'un aigle et d'un ange. La chapelle et le prieuré de Comprian datent vraisemblablement, selon les chroniques saintongeaises, du IXe siècle et étaient un lieu de passage du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle au XIe siècle. Jusqu'au XIVe siècle l'église abritait le tombeau des captaux de Buch.
Cette église, entourée de son cimetière, se distingue par son plan en forme de croix latine. Au XIXème siècle, l'édifice est agrandi dans le style roman, mais n'a pu échapper au grand courant néo-gothique, avec la construction d'une tour qui se prolonge par une flèche.
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