64 Églises et Sites Religieux Autour d'Archigny
Explorez les églises et couvents autour d'Archigny. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.
Bien plus que de simples bâtiments en pierre, ce sont les témoins vivants de notre histoire spirituelle, et parfois d'excellents endroits pour se cacher quand il pleut ! Découvrez les églises, monastères, cloîtres et édifices religieux des environs d'Archigny
Explorez les églises et couvents autour d'Archigny. Découvrez l'architecture spirituel qui a façonnée notre patrimoine.
L'église Saint-Georges est une église romane du XIIe siècle, à nef unique présentant une magnifique charpente et une voûte en bois en berceau et un chevet plat. L'avant nef était grandiose avec des piliers à plusieurs colonnes formant galerie autour du narthex. Cette magnifique entrée à malheureusement été défigurée en 1937 par l'installation d'une tribune aujourd'hui obsolète. Outre les travaux nécessaires à la sauvegarde de l'édifice, la volonté de la Commune et de l'association Histoire et Patrimoine d'Archigny est de supprimer la tribune afin de retrouver la magnifique entrée du XIIe siècle avec ses colonnes et chapiteaux et son arc en plein cintre.
L’abbaye, fondée en 1124 par Isembaud de l’Etoile, rallia l’ordre de Cîteaux en 1149. Fille directe de Pontigny, elle constitue l’un des rares établissements de cet ordre dans le Haut-Poitou. En ruine aux XVe et XVIe siècles, elle fut rebâtie presque entièrement au XVIIe siècle pour retomber peu à peu à l’abandon au cours du XVIIIe siècle. Vendue à la Révolution, elle devint une exploitation agricole, tandis que les bâtiments religieux étaient pillés et laissés à la ruine. Cet ensemble cistercien est protégé en raison de l’importance historique de cette abbaye et de la qualité architecturale de ses vestiges. La protection s’étend des bâtiments à caractère religieux (église, bâtiment des converts) aux bâtiments à caractère agricole (porche, ferme, portail, moulin).
Au milieu du mur nord, la statue de Jeanne d'Arc a été placée au-dessus du monument aux morts (« Souvenez-vous dans vos prières des enfants de la paroisse morts pour la patrie »). La bergère de Domrémy, qui fit la guerre aux Anglais, fut beaucoup invoquée au début du 20e siècle, comme devant aider à chasser l'Allemand de l'Alsace et de la Lorraine. Elle fut béatifiée en 1909 et canonisée en 1920.
Eglise du XIe siècle (remaniée aux XVIe et XVIIIe siècle) L'église est unie à l'histoire de la communauté acadienne du Poitou : Acadiens qui se sont établis notamment sur la « ligne acadienne » entre La Puye et Archigny lors de leur retour sur le vieux continent en 1773. A ce titre l'église est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 2002. elle est également inscrite dans le circuit de visite au musée Acadien-Abbaye de l'Etoile.
Église Saint-Rémi de Chenevelles
Église Saint-Ambroise de Monthoiron
Outre les pièces provenant des sites archéologiques du pays chauvinois (le site antique du Gué-de-Sciaux, Saint-Pierre-les-Églises, la cité médiévale, ...), une large partie des objets présentés est le fruit de dons fait au musée par la population locale et constitue l'originalité des collections ethnographiques (coiffes et costumes, carafes à vairon, outils de métiers disparus, mobiliers d'art, etc.). Une série de maquettes illustre l'évolution urbaine et rurale de Chauvigny du Néolithique à nos jours.
Située en centre-ville, l'église romane Notre-Dame de Chauvigny, dévolue au culte, n'est accessible qu'en dehors des cérémonies. Une fresque de la fin du 15e siècle orne son transept sud.
Église Saint-Rémi de Leigné-les-Bois
Originellement fondée au cours du XIIe siècle, elle est essentiellement rénovée au cours duXIXe siècle. Les différentes statues et autels qu'elle contient son inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1966 et 19942.
Le plus ancien texte connu mentionnant La Guitière remonte à 1309. Il s'agit alors d'un fief de haute justice relevant de La Roche-Aguet. La Guitière ne conserve de sa construction d'origine du 13ème ou 14ème siècle, que la plus petite de ses tours. La plupart des remaniements ont été effectués à la Renaissance, avec notamment la construction des deux grandes tours rondes. Une nouvelle aile complète l'ensemble à la fin du 19ème siècle. La propriété est attachée à la famille de La Touche d'Avrigny, qui entreprend la reconstruction de la chapelle Notre-Dame du Bas-Bourg en 1909. Inscription aux Monuments Historiques en 2007.
Église Saint-Martin, Cenon-sur-Vienne - Paroisse Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus en Châtelleraudais
Église Saint-Georges de Targé
Cette église, surplombant le bourg de Saint-Sauveur, dépendait de la commanderie de la Foucaudière fondée par l'ordre des Antonins en 1366. Dévastée au cours de la guerre de Cent Ans, elle est réparée une première fois (fin XIVe siècle) puis à la faveur de nombreux dons, connaît une vaste campagne de travaux conduite par le commandeur Laurent Imbert en 1493. L'église est presque refaite à neuf en style gothique flamboyant caractérisé par le riche décor des baies, les arcs en accolade ou les ogives à multiples nervures (prismatiques). Incendiée en 1567, durant les guerres de Religion, elle est restaurée au début du XVIIe siècle. L'ordre des Antonins, jusqu'alors florissant, décline et seuls deux chanoines résident à la commanderie lorsqu'en 1776 l'ordre est rattaché aux Chevaliers de Malte. A la Révolution, l'église est vendue comme bien national.
Église Saint-Martin de Coussay-les-Bois
-Coussay-les-Bois présente la particularité de posséder deux églises, distantes de quelques mètres : l'église Saint-Martin, aujourd'hui désaffectée, et l'église Notre-Dame, aujourd'hui seule église paroissiale. Cette dernière, édifiée à partir du 12esiècle, a pour originalité d'être la seule église du Poitou dont la nef est couverte de coupoles. L'église Notre-Dame prend place dans la partie nord du bourg, juste au bord de la rue principale, avec une petite place àses côtés. La partie basse du clocher, avec ses arcatures aveugles et sa corniche à modillons. ainsi que les deux bras du transept semblent les parties les plus anciennes de l'édifice (1ère moitié du 12e siècle), suivis de peu par la nef (milieu du12e siècle). Le choeur et le chevet plat ont été édifiés au 15e siècle, et la façade occidentale au 19e. L'histoire de la nef se lit sur ses murs.
Cet édifice est l'unique travée restante d'une ancienne église abbatiale, détruite vers 1835. L'église d'origine appartenait à une abbaye fondée à la fin du XIe siècle par Isenbert Ier, évêque de Poitiers. La première pierre de l'édifice fut posée en 1175 et la dédicace eut lieu en 1192. Il fut sans doute réalisé dans le style roman poitevin. Il présentait un plan en forme de croix latine et se composait d'une nef de deux travées, un transept avec deux chapelles et un choeur. La façade présente une ordonnance très régulière avec un portail principal accolé de deux faux portails plus modestes ; deux longues fenêtres géminées au-dessus ; un fronton percé de deux fenêtres dont les rampants forment un angle aigu au bas duquel court une corniche reposant sur modillons. Les quatre voussures du portail principal sont ornées de feuillage et portent sur des chapiteaux à crochets. Les arêtes des p
L'église est mentionnée pour la première fois en 1093 et relève de l'abbaye de Saint-Savin[...]
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